Un beau matin – Dieu sait lequel car Cole ne s'en souciait pas, même s'il savait parfaitement qu'il s'agissait du soixante huitième jour depuis le départ de Hans – des coups répétés retentirent. Cole qui était en train d'avancer dans son histoire où les personnages ressemblaient à Hans et lui, s'interrompit et descendit sans se presser, supposant que c'était un promeneur égaré. Ceux qui le connaissaient ne s'embarrassaient pas à frapper.
Quand il arriva en bas, il fut étonné que le visiteur inconnu ne soit pas déjà dans le salon, presque tout le monde faisait ça... Dans le cas présent, cela devait être quelqu'un qui n'osait pas s'introduire chez les gens à moins d'y avoir été invité.
Cole ouvrit. C'était Hans. Ses cheveux avaient poussé, mais autrement, il était le même : un régal pour les yeux.
— Bonjour, pouvons-nous parler ? demanda-t-il.
Cole se mit aussitôt de côté pour le laisser passer.
— Entre, il fait froid dehors.
Hans sourit légèrement et une douce chaleur envahit Cole en dépit du vent qui s'engouffrait à l'intérieur. Le jeune homme était revenu, il n'osait y croire. Il aurait pu lui claquer la porte au nez, mais il avait trop de regrets sur la façon dont les choses s'étaient terminées. Peut-être était-ce pareil pour Hans, peut-être n'était-il d'ailleurs là que pour clore proprement leur histoire. Même si ce n'était que pour ça, Cole était heureux de le revoir et cela le démangeait de le prendre dans ses bras, sans soucier de rien. Il lui avait trop manqué.
— Je t'en prie, assieds-toi et prends un bonbon, offrit Cole comme Hans restait planté dans l'entrée dans une attitude reflétant sa nervosité.
Le jeune homme esquissa un sourire. Il déposa le gros sac qu'il avait sur le dos au sol et dégagea le canapé encombré de papiers de façon à libérer deux places.
Cole ne refusa pas cette invitation muette, veillant toutefois à garder un espace entre eux en dépit de son envie de le coller.
— Je sais que vous ne voulez pas de moi, mais je souhaiterais que vous reconsidériez votre proposition... commença Hans.
Cole ouvrit la bouche, prêt à formuler ses regrets de l'avoir obligé à partir, mais Hans continua :
— J'ai désormais passé mon permis de conduire, ce qui me permettra de faire les courses, si vous me prêtez votre voiture. Et j'ai aussi vu plusieurs psy. Ils m'ont presque tous dit que je me cherchais un parent, les miens m'ayant fait défaut et que c'est pour cela que je m'accrochais à vous qui êtes plus nettement plus âgé que moi. Ils voulaient me guérir... Seulement, je ne veux pas, moi. Je vous aime sincèrement et tout ce que je vous demande, c'est d'accepter que je vive sous le même toit que vous. Je promets que je ne ferai plus aucun geste déplacé ni rien pour vous déplaire.
Quand il arriva en bas, il fut étonné que le visiteur inconnu ne soit pas déjà dans le salon, presque tout le monde faisait ça... Dans le cas présent, cela devait être quelqu'un qui n'osait pas s'introduire chez les gens à moins d'y avoir été invité.
Cole ouvrit. C'était Hans. Ses cheveux avaient poussé, mais autrement, il était le même : un régal pour les yeux.
— Bonjour, pouvons-nous parler ? demanda-t-il.
Cole se mit aussitôt de côté pour le laisser passer.
— Entre, il fait froid dehors.
Hans sourit légèrement et une douce chaleur envahit Cole en dépit du vent qui s'engouffrait à l'intérieur. Le jeune homme était revenu, il n'osait y croire. Il aurait pu lui claquer la porte au nez, mais il avait trop de regrets sur la façon dont les choses s'étaient terminées. Peut-être était-ce pareil pour Hans, peut-être n'était-il d'ailleurs là que pour clore proprement leur histoire. Même si ce n'était que pour ça, Cole était heureux de le revoir et cela le démangeait de le prendre dans ses bras, sans soucier de rien. Il lui avait trop manqué.
— Je t'en prie, assieds-toi et prends un bonbon, offrit Cole comme Hans restait planté dans l'entrée dans une attitude reflétant sa nervosité.
Le jeune homme esquissa un sourire. Il déposa le gros sac qu'il avait sur le dos au sol et dégagea le canapé encombré de papiers de façon à libérer deux places.
Cole ne refusa pas cette invitation muette, veillant toutefois à garder un espace entre eux en dépit de son envie de le coller.
— Je sais que vous ne voulez pas de moi, mais je souhaiterais que vous reconsidériez votre proposition... commença Hans.
Cole ouvrit la bouche, prêt à formuler ses regrets de l'avoir obligé à partir, mais Hans continua :
— J'ai désormais passé mon permis de conduire, ce qui me permettra de faire les courses, si vous me prêtez votre voiture. Et j'ai aussi vu plusieurs psy. Ils m'ont presque tous dit que je me cherchais un parent, les miens m'ayant fait défaut et que c'est pour cela que je m'accrochais à vous qui êtes plus nettement plus âgé que moi. Ils voulaient me guérir... Seulement, je ne veux pas, moi. Je vous aime sincèrement et tout ce que je vous demande, c'est d'accepter que je vive sous le même toit que vous. Je promets que je ne ferai plus aucun geste déplacé ni rien pour vous déplaire.
2 commentaires:
YAHOU !!!!!!!! Hans est revenu \\^o^ ^o^// \^ô^/ \\^o^ ^o^// *danse de la joie*
Merci pour l'épisode, je suis trop contente que Hans soit revenu et qu'il est fait tout ce chemin personnel pour être avec Cole ^^ Maintenant il faut que Cole y mette du sien XD
Vivement la suite :)
Ah nan Hans, pas la peine de promettre de ne plus jamais faire de geste déplacé !!
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