Vic Sanders les salua, les gratifia encore d'un sourire éclatant, et il quitta l'appartement.
— File te laver, toi et tes affaires ! Après tu feras le ménage de fond en comble ! Je veux que tout brille ! s'écria aussitôt Vivianne.
Dillon acquiesça. Il était soulagé d'avoir à nouveau un toit au dessus de sa tête. Tant pis si Vivianne le traitait sans la moindre considération. Ce n'était que temporaire, avec une adresse, ses chances d'obtenir un emploi étaient meilleures.
Dans la salle de bain, des moisissures noires s'étaient installées entre les carreaux et le miroir au-dessus du lavabo était si sale qu'on y voyait trouble. Il le nettoya en premier et découvrit son visage et ses cheveux châtains comme gris de poussière. Rien de plaisant à regarder.
Il se doucha, se frottant énergiquement. C'était un bonheur de sentir l'eau chaude ruisseler sur tout son corps. C'était presque jouissif. Il ignora cependant sa légère excitation. Il ne s'était plus masturbé depuis le jour où il avait été jeté dehors en partie à cause de cela. Cela lui avait coûté trop cher, mais cela lui manquait.
La douche prise, il dut remettre des habits d'une propreté douteuse. Cela lui répugnait, mais il n'avait rien d'autre à se mettre.
En sortant de la salle de bain, il tomba sur Vivianne qui s'apprêtait à sortir :
— Que tout son propre quand je serais rentrée, déclara-t-elle.
Un tour rapide de l'appartement apprit à Dillon que cela risquait d'être difficile. Il y en avait pour des jours à tout nettoyer. Il y avait une montagne de linge à sale et en venir à bout promettait d'être long. Les lits étaient défaits dans les chambres, l'évier débordait de vaisselle dans la cuisine, les vitres étaient ternies et tout était poussiéreux, partout.
Si Dillon n'avait pas manqué à Vivianne, ses capacités ménagères, oui.
A leur retour, Violetta et Virginia se précipitèrent sur lui. Elles ne le laissèrent cependant pas placer un mot.
— C'est vrai que tu es homo ? demanda Violetta.
— Que tu étais parti vivre avec ton petit copain ? enchaîna Virginia.
— En tout cas, c'est bien que tu sois de retour parce que sans toi, c'est dur de gérer les lessives, déclara Violetta.
— Tes bons petits plats nous manquaient, enchérit Virginia.
Son père, quand il rentra exceptionnellement ce soir-là, à 21h30, s'étonna de sa présence :
— Alors, finalement, ta collocation avec ta copine n'a pas fonctionné ?
Vivianne vint aussitôt accaparer son père et Dillon n'eut pas à répondre. Elle avait menti à ses filles comme au père de Dillon.
Dillon acquiesça. Il était soulagé d'avoir à nouveau un toit au dessus de sa tête. Tant pis si Vivianne le traitait sans la moindre considération. Ce n'était que temporaire, avec une adresse, ses chances d'obtenir un emploi étaient meilleures.
Dans la salle de bain, des moisissures noires s'étaient installées entre les carreaux et le miroir au-dessus du lavabo était si sale qu'on y voyait trouble. Il le nettoya en premier et découvrit son visage et ses cheveux châtains comme gris de poussière. Rien de plaisant à regarder.
Il se doucha, se frottant énergiquement. C'était un bonheur de sentir l'eau chaude ruisseler sur tout son corps. C'était presque jouissif. Il ignora cependant sa légère excitation. Il ne s'était plus masturbé depuis le jour où il avait été jeté dehors en partie à cause de cela. Cela lui avait coûté trop cher, mais cela lui manquait.
La douche prise, il dut remettre des habits d'une propreté douteuse. Cela lui répugnait, mais il n'avait rien d'autre à se mettre.
En sortant de la salle de bain, il tomba sur Vivianne qui s'apprêtait à sortir :
— Que tout son propre quand je serais rentrée, déclara-t-elle.
Un tour rapide de l'appartement apprit à Dillon que cela risquait d'être difficile. Il y en avait pour des jours à tout nettoyer. Il y avait une montagne de linge à sale et en venir à bout promettait d'être long. Les lits étaient défaits dans les chambres, l'évier débordait de vaisselle dans la cuisine, les vitres étaient ternies et tout était poussiéreux, partout.
Si Dillon n'avait pas manqué à Vivianne, ses capacités ménagères, oui.
A leur retour, Violetta et Virginia se précipitèrent sur lui. Elles ne le laissèrent cependant pas placer un mot.
— C'est vrai que tu es homo ? demanda Violetta.
— Que tu étais parti vivre avec ton petit copain ? enchaîna Virginia.
— En tout cas, c'est bien que tu sois de retour parce que sans toi, c'est dur de gérer les lessives, déclara Violetta.
— Tes bons petits plats nous manquaient, enchérit Virginia.
Son père, quand il rentra exceptionnellement ce soir-là, à 21h30, s'étonna de sa présence :
— Alors, finalement, ta collocation avec ta copine n'a pas fonctionné ?
Vivianne vint aussitôt accaparer son père et Dillon n'eut pas à répondre. Elle avait menti à ses filles comme au père de Dillon.
2 commentaires:
Merci pour l'épisode du jour c'est toujours un pur bonheur de te lire ^^ j'ai hâte de voir la suite comme toujours XD
La suite vient, promis... :)
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