– Mais qu'est-ce que tu veux à la fin ?! s'écria Amélien.
– Que tu admettes que t'es un gros dégueulasse qui prend son pied du moment qu'on lui fourre un truc dans le cul !
Amélien grinça des dents. Il n'avait aucune envie de se retrouver la tête dans les toilettes - son expérience de la chose au lycée lui avait suffit, mais il était hors de question qu'il cède à un connard pareil ! Il tenta sa chance sans trop y croire auprès de Loïc :
– Tu ne pourrais pas raisonner ton ami ?
La réponse tomba comme une sentence :
– Non. Après tout, ce n'est pas faux ce qu'il dit.
Amélien qui avait pensé que Loïc était juste légèrement homophobe, fut surpris par la brutalité du ton.
– Allez, ça suffit de palabrer, baisse ton froc. Puisque tu ne veux pas reconnaître ce que tu es, tu vas le montrer. Loïc, va chercher des marqueurs.
Dorian qui menaçait toujours Amélien avec le cutter, défit d'une main le bouton du jeans et commença à faire coulisser la fermeture éclair. Amélien lui attrapa le poignet et cria :
– Ça suffit maintenant !
La lame du cutter lui entailla le pouce et le sang coula. Amélien se figea. La vue du sang le rendait malade.
– Tu fais moins le malin, hein ? Allez, obéis moi ou je n'hésiterai pas t'arranger le portrait. C'était un taré, se dit Amélien et il se résigna. D'une main tremblante, il acheva d'ouvrir la fermeture éclair de son pantalon vert et le fit descendre sur ses hanches.
Loïc revint alors avec deux marqueurs rouges. – Vas-y la tapette, baisse ton slip et mets les mains sur le mur.
Amélien s'exécuta les dents serrées, se demandant quand est-ce que son cauchemar serait terminé. Il sentit ensuite un main moite sur ses fesses et ce qui devait être un marqueur fut entré dans son anus. Enfin, Loïc ou Dorian se mirent à lui écrire dessus.
– Ça t'excite, hein, la tafiole ?
Le second marqueur rejoignit le premier, arrachant un cri de douleur à Amélien. Cela faisait mal, à sec, comme ça, mais en même temps, malgré lui, son pénis durcissait. Amélien se mordit la lèvre. Il aurait voulu leur donner tort à ses deux salauds.
– Allez une photo pour la postérité !
– Non, protesta Amélien.
A ce moment précis, la voix de Bruno retentit :
– Qu'est-ce que vous faîtes ?
– C'est qui ? demanda Dorian.
– Il bosse avec nous à la librairie, répondit Loïc.
– Dis lui de s'occuper de ses oignons.
– Circule, il n'y a rien à voir, déclara Loïc qui décidément obéissait au doigt et à l'œil à son ami.
Amélien avait presque envie lui aussi de supplier Bruno de partir, car il avait trop honte.
– Que tu admettes que t'es un gros dégueulasse qui prend son pied du moment qu'on lui fourre un truc dans le cul !
Amélien grinça des dents. Il n'avait aucune envie de se retrouver la tête dans les toilettes - son expérience de la chose au lycée lui avait suffit, mais il était hors de question qu'il cède à un connard pareil ! Il tenta sa chance sans trop y croire auprès de Loïc :
– Tu ne pourrais pas raisonner ton ami ?
La réponse tomba comme une sentence :
– Non. Après tout, ce n'est pas faux ce qu'il dit.
Amélien qui avait pensé que Loïc était juste légèrement homophobe, fut surpris par la brutalité du ton.
– Allez, ça suffit de palabrer, baisse ton froc. Puisque tu ne veux pas reconnaître ce que tu es, tu vas le montrer. Loïc, va chercher des marqueurs.
Dorian qui menaçait toujours Amélien avec le cutter, défit d'une main le bouton du jeans et commença à faire coulisser la fermeture éclair. Amélien lui attrapa le poignet et cria :
– Ça suffit maintenant !
La lame du cutter lui entailla le pouce et le sang coula. Amélien se figea. La vue du sang le rendait malade.
– Tu fais moins le malin, hein ? Allez, obéis moi ou je n'hésiterai pas t'arranger le portrait. C'était un taré, se dit Amélien et il se résigna. D'une main tremblante, il acheva d'ouvrir la fermeture éclair de son pantalon vert et le fit descendre sur ses hanches.
Loïc revint alors avec deux marqueurs rouges. – Vas-y la tapette, baisse ton slip et mets les mains sur le mur.
Amélien s'exécuta les dents serrées, se demandant quand est-ce que son cauchemar serait terminé. Il sentit ensuite un main moite sur ses fesses et ce qui devait être un marqueur fut entré dans son anus. Enfin, Loïc ou Dorian se mirent à lui écrire dessus.
– Ça t'excite, hein, la tafiole ?
Le second marqueur rejoignit le premier, arrachant un cri de douleur à Amélien. Cela faisait mal, à sec, comme ça, mais en même temps, malgré lui, son pénis durcissait. Amélien se mordit la lèvre. Il aurait voulu leur donner tort à ses deux salauds.
– Allez une photo pour la postérité !
– Non, protesta Amélien.
A ce moment précis, la voix de Bruno retentit :
– Qu'est-ce que vous faîtes ?
– C'est qui ? demanda Dorian.
– Il bosse avec nous à la librairie, répondit Loïc.
– Dis lui de s'occuper de ses oignons.
– Circule, il n'y a rien à voir, déclara Loïc qui décidément obéissait au doigt et à l'œil à son ami.
Amélien avait presque envie lui aussi de supplier Bruno de partir, car il avait trop honte.
3 commentaires:
Trop trop bien cet épisode malgré le trash de la situation ^^ merci
que va donc faire Bruno?...suite au prochain épisode :D
Oo'! Woaouw! Vraiment trash cette histoire au final mais j'aime bien quand même! xD
Mais je pensais que Bruno arriverait avant tout ça! Pauvre Amélien! :(
Bruno va sûrement les massacrer!
J'espère que ton déménagement s'est bien passé! ^_^
Des Bisous!
C'est trash, je reconnais. Erm. Heureusement que cela ne vous a pas déplu. :)
Pour le déménagement, c'était crevant, mais au moins c'est fait !
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