Doucement, il se rapprocha et, à l'abri derrière des buissons, il les vit. Sous l'auvent du vieux, deux hommes étaient assis dos contre dos sur une épaisse couverture.
– Il devait être taré pour vivre ainsi tout seul dans cette piaule inconfortable, déclara celui de droite, un brun au visage bronzé.
– Il était peinard comme ça, oui, personne pour l'emmerder. Il pouvait se branler quand ça lui chantait, rétorqua celui de gauche, un type costaud tout en muscle.
Bien qu'une bonne partie de ce qui était dit lui échappât, Lykandré comprit qu'ils parlaient du vieux Atsuhiro et qu'il était mort. Levant les yeux sur la lune qu'on apercevait entre les cèdres, il retint le hurlement de tristesse qu'il avait envie de pousser à cette nouvelle.
– Danno, qu'est-ce que tu fiches ?
Sous l'auvent, le costaud s'était retourné et s'était installé juste derrière le brun, le collant étroitement.
– Avec mon membre brûlant contre tes fesses, t'as vraiment besoin d'un dessin ? répondit le fameux Danno en déboutonnant le jeans du brun.
– C'est pas le moment. Chomei, Goro et Kinsue sont en chemin. Ils ne devraient plus tarder à se pointer.
L'idée que plus de monde débarque sur l'île déplut à Lykandré et il décida de rester afin d'en apprendre plus sur le but de leur venue. Le vieil Atsuhiro lui avait bien dit qu'il interdisait à quiconque de venir sur son île, car il aimait la solitude et qu'il souhaitait que personne ne découvre l'existence des derniers loups du Japon.
– Allez, Jun. Me dis pas que tu veux pas. On a l'île pour nous, répliqua Danno tout en fourrageant dans le pantalon de son partenaire.
Ledit Jun ne protesta plus et se mit à gémir. Pendant de longues minutes, ils ne parlèrent plus. Lykandré les regarda se caresser avec fièvre. C'était l'été et la saison des amours était finie depuis longtemps, aussi ne comprit-il pas tout de suite ce qu'ils faisaient. Cependant, quand il vit le costaud fourrer son pénis dans le corps de l'autre homme, il lui apparut qu'aussi étonnant que cela puisse lui sembler, ils s'accouplaient. A ce moment précis, ses mains brunes posées sur le sol se mirent à fondre pour se transformer à nouveau en pattes et dans le processus des branches craquèrent.
– Danno, attends ! J'ai entendu un bruit.
Lykandré se figea, maudissant son corps, mais indifférent aux craintes du brun, le costaud continua à le pilonner.
– Y a personne ici, si ce n'est notre andromorphe. Tu ne crois tout de même pas qu'on aurait la chance que notre proie soit en train de nous épier dans les buissons, juste à portée de mains ?
– Il devait être taré pour vivre ainsi tout seul dans cette piaule inconfortable, déclara celui de droite, un brun au visage bronzé.
– Il était peinard comme ça, oui, personne pour l'emmerder. Il pouvait se branler quand ça lui chantait, rétorqua celui de gauche, un type costaud tout en muscle.
Bien qu'une bonne partie de ce qui était dit lui échappât, Lykandré comprit qu'ils parlaient du vieux Atsuhiro et qu'il était mort. Levant les yeux sur la lune qu'on apercevait entre les cèdres, il retint le hurlement de tristesse qu'il avait envie de pousser à cette nouvelle.
– Danno, qu'est-ce que tu fiches ?
Sous l'auvent, le costaud s'était retourné et s'était installé juste derrière le brun, le collant étroitement.
– Avec mon membre brûlant contre tes fesses, t'as vraiment besoin d'un dessin ? répondit le fameux Danno en déboutonnant le jeans du brun.
– C'est pas le moment. Chomei, Goro et Kinsue sont en chemin. Ils ne devraient plus tarder à se pointer.
L'idée que plus de monde débarque sur l'île déplut à Lykandré et il décida de rester afin d'en apprendre plus sur le but de leur venue. Le vieil Atsuhiro lui avait bien dit qu'il interdisait à quiconque de venir sur son île, car il aimait la solitude et qu'il souhaitait que personne ne découvre l'existence des derniers loups du Japon.
– Allez, Jun. Me dis pas que tu veux pas. On a l'île pour nous, répliqua Danno tout en fourrageant dans le pantalon de son partenaire.
Ledit Jun ne protesta plus et se mit à gémir. Pendant de longues minutes, ils ne parlèrent plus. Lykandré les regarda se caresser avec fièvre. C'était l'été et la saison des amours était finie depuis longtemps, aussi ne comprit-il pas tout de suite ce qu'ils faisaient. Cependant, quand il vit le costaud fourrer son pénis dans le corps de l'autre homme, il lui apparut qu'aussi étonnant que cela puisse lui sembler, ils s'accouplaient. A ce moment précis, ses mains brunes posées sur le sol se mirent à fondre pour se transformer à nouveau en pattes et dans le processus des branches craquèrent.
– Danno, attends ! J'ai entendu un bruit.
Lykandré se figea, maudissant son corps, mais indifférent aux craintes du brun, le costaud continua à le pilonner.
– Y a personne ici, si ce n'est notre andromorphe. Tu ne crois tout de même pas qu'on aurait la chance que notre proie soit en train de nous épier dans les buissons, juste à portée de mains ?
3 commentaires:
Un 2ème épisode chaud bouillant lol vivement la suite qu'on puisse découvrir ce que veulent Danno et Jun même si une petite idée se fais sentir ^___^
C'est toujours un plaisir de te lire :]
Je suis contente que tu accroches au début de l'histoire... :)
c'est très agréable de te lire ^^ j'adore merci pour l'episode =)
Enregistrer un commentaire