Avant qu'il n'ait pu trouver une réponse, il entendit les nains chanter au loin. L'ours grogna et s'éloigna, mais il était trop tard pour le chasseur pour s'esquiver en vitesse avec le corps de Blanc-Neige, sans être vu des nains. S'il s'échappait, cela ne pouvait être que sans poids mort...
Les sept nains soupçonnèrent immédiatement qu'il y avait eu un nouveau problème, car aucune fumée ne s'échappait de la cheminée. Leurs craintes se confirmèrent quand ils virent un curieux vieillard sortir en courant à tout allure de leur demeure. Alors qu'ils hésitaient à se lancer à sa poursuite, un ours se jeta sur l'homme et lui arracha ses vêtements d'un puissant coup de patte. Sans chercher porter secours à la victime de l'ours, considérant que le fuyard ne le méritait pas, ils se dépêchèrent de gagner leur chaumière, mais c'était trop tard. Le jeune prince était étendu sur le sol, la peau plus blanche que jamais et il ne respirait plus. Docteur qui l'examina, ne put que confirmer son décès. Grognon eut beau râler et pester, rien n'y fit. Ils le pleurèrent et le veillèrent durant trois jours et trois nuits, puis Docteur voulut qu'il soit enterré, mais Grognon refusa. Il proposa de fabriquer un cercueil de verre. Il voulait pouvoir continuer à le contempler ainsi endormi aussi longtemps que possible. Cela lui rappelait le premier jour où il l'avait découvert allongé sur son lit et celui de Farouche, le jour où il était tombé amoureux de lui. Ses camarades furent étonnés par sa suggestion, mais il cédèrent à son caprice et ils confectionnèrent un cercueil de verre qu'ils installèrent juste à côté de leur maisonnette.
Ils venaient à peine de finir leur ouvrage et d'allonger Blanc-Neige dedans que deux cavaliers arrivèrent. L'un d'eux était une jeune fille vêtue d'une élégante tenue d'équitation, l'autre un homme aux habits princiers. La jeune fille se plaignait qu'ils s'étaient perdus tandis que l'autre se montrait plein de désinvolture.
– Pouvons-nous vous aider à retrouver votre chemin ? proposa Docteur.
La jeune fille, en voyant les nains, poussa un petit cri horrifié. L'autre cavalier, lui, ne réagit pas. Ignorant la question du nain, il sauta de cheval, s'approcha du cercueil de verre et souleva le couvercle.
Grognon qui était agenouillé devant réagit au quart de tour.
– Que croyez-vous faire ? aboya-t-il en s'interposant entre le cavalier et le cadavre de Blanc-Neige.
– Je voulais juste admirer de plus près cette beauté.
– Vous n'aviez pas besoin d'ouvrir son cercueil pour ça, gronda Grognon.
– Elle est donc morte ? Quel dommage... Je l'aurais bien réveillée d'un baiser, car ce n'est pas un petit bonhomme comme toi qui en trouverait le courage !
– C'est un jeune homme, intervint Heureux tout en retenant Grognon qui voulait se jeter sur le cavalier pour lui apprendre les bonnes manières.
– Un garçon... Quelle déception ! Enfin, ce n'est guère important. Il paraît que la reine de ce pays est très belle et je compte bien demander sa main.
– Encore faut-il que nous arrivions à sortir de cette forêt, rétorqua la cavalière.
Puis jetant un coup d'œil à Blanc-Neige, elle ajouta :
– Cela se voit que c'est un garçon, tu es vraiment aveugle, mon cher frère. Enfin, là où tu as raison c'est qu'aucune femme ne voudrait de lui pour mari, il ferait par trop ombrage à sa propre beauté..
– Une naine, peut-être, avança le cavalier moqueur en remontant sur sa monture.
Les sept nains soupçonnèrent immédiatement qu'il y avait eu un nouveau problème, car aucune fumée ne s'échappait de la cheminée. Leurs craintes se confirmèrent quand ils virent un curieux vieillard sortir en courant à tout allure de leur demeure. Alors qu'ils hésitaient à se lancer à sa poursuite, un ours se jeta sur l'homme et lui arracha ses vêtements d'un puissant coup de patte. Sans chercher porter secours à la victime de l'ours, considérant que le fuyard ne le méritait pas, ils se dépêchèrent de gagner leur chaumière, mais c'était trop tard. Le jeune prince était étendu sur le sol, la peau plus blanche que jamais et il ne respirait plus. Docteur qui l'examina, ne put que confirmer son décès. Grognon eut beau râler et pester, rien n'y fit. Ils le pleurèrent et le veillèrent durant trois jours et trois nuits, puis Docteur voulut qu'il soit enterré, mais Grognon refusa. Il proposa de fabriquer un cercueil de verre. Il voulait pouvoir continuer à le contempler ainsi endormi aussi longtemps que possible. Cela lui rappelait le premier jour où il l'avait découvert allongé sur son lit et celui de Farouche, le jour où il était tombé amoureux de lui. Ses camarades furent étonnés par sa suggestion, mais il cédèrent à son caprice et ils confectionnèrent un cercueil de verre qu'ils installèrent juste à côté de leur maisonnette.
Ils venaient à peine de finir leur ouvrage et d'allonger Blanc-Neige dedans que deux cavaliers arrivèrent. L'un d'eux était une jeune fille vêtue d'une élégante tenue d'équitation, l'autre un homme aux habits princiers. La jeune fille se plaignait qu'ils s'étaient perdus tandis que l'autre se montrait plein de désinvolture.
– Pouvons-nous vous aider à retrouver votre chemin ? proposa Docteur.
La jeune fille, en voyant les nains, poussa un petit cri horrifié. L'autre cavalier, lui, ne réagit pas. Ignorant la question du nain, il sauta de cheval, s'approcha du cercueil de verre et souleva le couvercle.
Grognon qui était agenouillé devant réagit au quart de tour.
– Que croyez-vous faire ? aboya-t-il en s'interposant entre le cavalier et le cadavre de Blanc-Neige.
– Je voulais juste admirer de plus près cette beauté.
– Vous n'aviez pas besoin d'ouvrir son cercueil pour ça, gronda Grognon.
– Elle est donc morte ? Quel dommage... Je l'aurais bien réveillée d'un baiser, car ce n'est pas un petit bonhomme comme toi qui en trouverait le courage !
– C'est un jeune homme, intervint Heureux tout en retenant Grognon qui voulait se jeter sur le cavalier pour lui apprendre les bonnes manières.
– Un garçon... Quelle déception ! Enfin, ce n'est guère important. Il paraît que la reine de ce pays est très belle et je compte bien demander sa main.
– Encore faut-il que nous arrivions à sortir de cette forêt, rétorqua la cavalière.
Puis jetant un coup d'œil à Blanc-Neige, elle ajouta :
– Cela se voit que c'est un garçon, tu es vraiment aveugle, mon cher frère. Enfin, là où tu as raison c'est qu'aucune femme ne voudrait de lui pour mari, il ferait par trop ombrage à sa propre beauté..
– Une naine, peut-être, avança le cavalier moqueur en remontant sur sa monture.
4 commentaires:
Oh pinaise le prince je lui en collerais bien une dans les dents >__< se moquer ainsi de Grognon
Merci pour cet épisode, j'avais aussi adoré celui d'hier avec toute cette action ^^
Bon week-end à toi et j'attends avec beaucoup de plaisir la suite de l'histoire :)
pour l'instant le prince est infame mais j'ai hate de lire le suite =)
merci pour l'episode =D
Le prince fera un bon époux à la belle-mère de Blanc-Neige, vous ne trouvez pas ? :op
Mais c'est un grand couillon ce prince! lol
Ah nan mais dis-moi que Blanc Neige va être avec Grognon...en plus dans ce chapitre tu dévoiles que Grognon aussi est tombé amoureux de lui donc ça ne peut être que ça...à moins qu'un autre prince plus gentil cette fois ne vienne...vivement la suite! ^^
Des Bisous!
£illou
Enregistrer un commentaire