J'avais dit que j'en parlerai, nous y voilà donc avec du retard...
Je me suis bien amusée tout au long de la lecture, car l'accent est plus sur la comédie que sur la romance.
Le premier volume de la série Professor Strange Love est composé de 3 histoires.
Professor Strange Love, l'histoire principale est super cocasse.
Vous le saviez-vous que pour tomber amoureux, il suffit de se casser la figure ? En tout cas, l'excentrique professeur Shiina le pense et c'est pour ça qu'ayant eu le coup de foudre pour Hayama, un étudiant qui travaille pour payer ses études, il se débrouille pour lui faire avaler un médicament qui augmente grandement sa propension à se casser la gueule... Ce qui permet de mettre le personnage dans tout un tas de situations délicieusement embarrassantes. Par ailleurs, le professeur étant un savant pour le moins curieux, Hayama se retrouve même à un moment avec des oreilles et une queue de chat. Et pour finir, le professeur Shiina a un jumeau tout aussi bizarre qui se prend d'affection pour le pauvre Hayama !
Les soucis d'une vie pleine de bizarre, seconde histoire du volume est dans le même ton décalé que la principale, mais il faut avouer que c'est moins drôle. C'est une petite histoire d'amour entre un pâtissier et un garçon à lunettes qui n'aime pas le sucre. Avis aux amateurs de mélange de sexe et de crème fouettée...!
Tu veux bien me donner ton deuxième bouton ? La dernière histoire est la plus mignonne des trois tout en restant amusante. Tout arrive à cause d'un malentendu. A la fin de l'année scolaire au Japon,une coutume veut que le deuxième bouton de la veste de son uniforme soit donné à la fille qu'on aime. Or, le playboy du lycée qui a donné un bouton (soit disant son 2ème) à plein de filles, n'en a plus un seul à sa veste, il en vole donc à un de ses camarades sans savoir que ce dernier, amoureux de lui, va prendre ça pour une déclaration...
En conclusion, j'ai hâte de lire la suite de Professor Strange Love pour voir le pauvre Hayama dans encore plus de situations ridicules ! Oui, je sais, je suis sans pitié... Héhé.
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