Je sais ce qui t'es arrivé, oui, mais de toute manière, tu pourrais avoir couché avec la terre entière que cela me serait égal... Enfin, pas tout à fait, je serais terriblement jaloux...Toujours est-il que je n'accepterai pas un refus de ta part. Surtout pas pour ça.
...Le sexe si nous nous marions ? Ne t'inquiète pas, je ne suis pas pressé. J'attendrai le temps qu'il faudra...
Surtout n'aie pas honte. Ne te dis pas que c'est parce que tu n'es pas assez fort que tu as été violé. Tu étais dépendant de la femme de l'aubergiste, blessé, et elle en a profité. Quant à Carlito, il t'a attaqué par derrière, comme un lâche. Tu aurais été sinon tout à fait en mesure de te défendre, même avec ton petit gabarit.
...Si jamais une femme veut poser la main sur toi alors que tu n'en as pas envie, frappe la à la poitrine. Si c'est un homme, un bon coup dans ses parties génitales calmera ses ardeurs.
Demian serra les dents. Il ne voulait plus subir... Il remonta vivement son genou dans l'entrejambe de Carlito qui s'effondra à ses pieds en gémissant. Le jeune homme aux cheveux rouges n'avait pas vu venir le coup. Sans plus attendre, Demian s'en fut en courant. En sortant des appartements, il entra en collision avec Léo qui arrivait. Demian poussa un cri et serait tombé en arrière si son compagnon ne l'avait pas retenu.
– Que t'arrive-t-il ?
L'adolescent, pâle comme un linge, ouvrit la bouche, mais ne réussit pas à parler. Inquiet, Léo le prit dans ses bras comme une princesse et entra dans ses appartements. Carlito venait tout juste de se relever. Il tenait encore d'une main ses parties génitales endolories.
– Vous avez donc bien épousé ce cul terreux, Chevalier Lyonn ? Je ne savais pas que vous vous contentiez des reste des autres.
Si Léo avait encore eu un doute sur l'identité du jeune homme aux cheveux roux tirant sur le rouge, cette réplique l'aurait levé.
– Qu'est-ce que tu fais ici ? demanda Léo d'un ton sec sans perdre son calme en serrant plus fort contre lui le corps tremblant de Demian.
– Je venais vous apporter un message de félicitations de la part de la baronne Schumiz, ma chère maîtresse... Maintenant que j'y pense, c'est peut-être vous que je devrais remercier pour mon poste auprès de cette harpie.
Léo ignora les propos de Carlito. Il déposa délicatement Demian dans le plus proche fauteuil, puis demanda d'une voix glaciale :
– Es-tu fou ou téméraire ?
– Ni l'un ni l'autre, je vous laisse avec votre... pute, répliqua Carlito en se dirigeant vers la porte d'entrée.
Léo attrapa par la ceinture l'arrogant jeune homme.
– Tu n'iras nulle part...
Carlito comprit qu'il était allé trop loin. Il tenta en vain de se libérer. Léo tenait la ceinture d'une seule main, mais il souleva sans peine le jeune homme et le porta jusqu'à la fenêtre qu'il ouvrit de sa main libre. Carlito se mit à hurler, mais se retrouva tout de même suspendu dans le vide.
...Le sexe si nous nous marions ? Ne t'inquiète pas, je ne suis pas pressé. J'attendrai le temps qu'il faudra...
Surtout n'aie pas honte. Ne te dis pas que c'est parce que tu n'es pas assez fort que tu as été violé. Tu étais dépendant de la femme de l'aubergiste, blessé, et elle en a profité. Quant à Carlito, il t'a attaqué par derrière, comme un lâche. Tu aurais été sinon tout à fait en mesure de te défendre, même avec ton petit gabarit.
...Si jamais une femme veut poser la main sur toi alors que tu n'en as pas envie, frappe la à la poitrine. Si c'est un homme, un bon coup dans ses parties génitales calmera ses ardeurs.
Demian serra les dents. Il ne voulait plus subir... Il remonta vivement son genou dans l'entrejambe de Carlito qui s'effondra à ses pieds en gémissant. Le jeune homme aux cheveux rouges n'avait pas vu venir le coup. Sans plus attendre, Demian s'en fut en courant. En sortant des appartements, il entra en collision avec Léo qui arrivait. Demian poussa un cri et serait tombé en arrière si son compagnon ne l'avait pas retenu.
– Que t'arrive-t-il ?
L'adolescent, pâle comme un linge, ouvrit la bouche, mais ne réussit pas à parler. Inquiet, Léo le prit dans ses bras comme une princesse et entra dans ses appartements. Carlito venait tout juste de se relever. Il tenait encore d'une main ses parties génitales endolories.
– Vous avez donc bien épousé ce cul terreux, Chevalier Lyonn ? Je ne savais pas que vous vous contentiez des reste des autres.
Si Léo avait encore eu un doute sur l'identité du jeune homme aux cheveux roux tirant sur le rouge, cette réplique l'aurait levé.
– Qu'est-ce que tu fais ici ? demanda Léo d'un ton sec sans perdre son calme en serrant plus fort contre lui le corps tremblant de Demian.
– Je venais vous apporter un message de félicitations de la part de la baronne Schumiz, ma chère maîtresse... Maintenant que j'y pense, c'est peut-être vous que je devrais remercier pour mon poste auprès de cette harpie.
Léo ignora les propos de Carlito. Il déposa délicatement Demian dans le plus proche fauteuil, puis demanda d'une voix glaciale :
– Es-tu fou ou téméraire ?
– Ni l'un ni l'autre, je vous laisse avec votre... pute, répliqua Carlito en se dirigeant vers la porte d'entrée.
Léo attrapa par la ceinture l'arrogant jeune homme.
– Tu n'iras nulle part...
Carlito comprit qu'il était allé trop loin. Il tenta en vain de se libérer. Léo tenait la ceinture d'une seule main, mais il souleva sans peine le jeune homme et le porta jusqu'à la fenêtre qu'il ouvrit de sa main libre. Carlito se mit à hurler, mais se retrouva tout de même suspendu dans le vide.
3 commentaires:
Oh mon dieu Léo quel homme viril *_____*
Je suis contente que Demian se soit défendu et Carlito mérite bien d'être balancé par la fenêtre lol
Décidément la suite promet d'être encore plus palpitante ^_____^
Merci pour l'épisode :)
Léo est vraiment trop génial ! =)
Et je suis comme Jeckyll, je suis contente que Démian se soit défendu contre cet idiot de Carlito !
Bises et à plus ! =)
Demian, même s'il est naïf et fragile, est en effet capable de se défendre !
Sinon, j'avoue que j'adore Léo... :)
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