Joël, à tort, n’avait même pas essayé de se trouver un autre toit, jugeant que c’était à Zara de le faire, ou pour être exact, il avait escompté qu’elle parte afin d’avoir le luxe d’une cabane pour lui seul.
Et maintenant, il était dans le pétrin. Il n’avait pas encore appris à distinguer les différents arbres, hormis le sien, et il n’allait pas risquer de grimper à n’importe lequel. C’était d’autant plus inutile que Miranda lui avait expliqué que les passerelles entre habitations pouvaient être retirées. Elle le savait, car Coon se coupait des autres quand elle était avec lui.
Joël appela Zara, mais cette peste fit la sourde oreille.
Bien sûr, il fallait que toutes les filles soient déjà remontées.
Tous les Turquoises n’étaient pas encore couchés, mais Joël n’était pas certain d’avoir le bon vocabulaire pour expliquer son problème.
Et évidemment, plus il hésitait sur quoi faire, moins il avait d’options, sachant que se blottir au pied d’un arbre n’en était pas une, pas après l’horrible bête qu’il avait vu la veille.
Il se décida à aborder un des Turquoises, un certain Cuueil aux longues cornes luisantes qui traînait souvent avec son alien favori.
— Où est Aarp ? demanda-t-il, ses compétences linguistiques actuelles ne lui permettant pas de faire des politesses.
Cuueil répondit avec une foultitude de mots que Joël ne connaissait pas encore. Aarp, lui, faisait attention quand il lui parlait.
Cuueil fit claquer sa langue, l’attrapa par le bras et le guida jusqu’à un large tronc. Il débita encore quelques phrases incompréhensible et l’abandonna.
Normalement, au bout de la liane, il y aurait Aarp.
Joël n’était pas sûr de ce qu’il attendait de l’alien. Peut-être qu’il l’héberge pour la nuit ou bien qu’il soit en mesure de l’orienter vers un autre cabane… Il savait en tout cas qu’à la différence d’autres Turquoises, comme Cuueil, Aarp l’écouterait.
Aarp était assis en tailleur en train de polir sa lance quand Joël débarqua. C’était dur de dire s’il était ou non surpris. Toujours est-il qu’il posa son arme sur le côté, signifiant qu’il était prêt à lui accorder toute son attention.
— Zara a soulevé la liane.
Ce n’était sûrement pas le bon verbe à employer, mais c’était le meilleur que Joël avait à sa disposition.
C’était frustrant ses problèmes pour communiquer. Tant de choses l’étaient sur cette planète !
Et maintenant, il était dans le pétrin. Il n’avait pas encore appris à distinguer les différents arbres, hormis le sien, et il n’allait pas risquer de grimper à n’importe lequel. C’était d’autant plus inutile que Miranda lui avait expliqué que les passerelles entre habitations pouvaient être retirées. Elle le savait, car Coon se coupait des autres quand elle était avec lui.
Joël appela Zara, mais cette peste fit la sourde oreille.
Bien sûr, il fallait que toutes les filles soient déjà remontées.
Tous les Turquoises n’étaient pas encore couchés, mais Joël n’était pas certain d’avoir le bon vocabulaire pour expliquer son problème.
Et évidemment, plus il hésitait sur quoi faire, moins il avait d’options, sachant que se blottir au pied d’un arbre n’en était pas une, pas après l’horrible bête qu’il avait vu la veille.
Il se décida à aborder un des Turquoises, un certain Cuueil aux longues cornes luisantes qui traînait souvent avec son alien favori.
— Où est Aarp ? demanda-t-il, ses compétences linguistiques actuelles ne lui permettant pas de faire des politesses.
Cuueil répondit avec une foultitude de mots que Joël ne connaissait pas encore. Aarp, lui, faisait attention quand il lui parlait.
Cuueil fit claquer sa langue, l’attrapa par le bras et le guida jusqu’à un large tronc. Il débita encore quelques phrases incompréhensible et l’abandonna.
Normalement, au bout de la liane, il y aurait Aarp.
Joël n’était pas sûr de ce qu’il attendait de l’alien. Peut-être qu’il l’héberge pour la nuit ou bien qu’il soit en mesure de l’orienter vers un autre cabane… Il savait en tout cas qu’à la différence d’autres Turquoises, comme Cuueil, Aarp l’écouterait.
Aarp était assis en tailleur en train de polir sa lance quand Joël débarqua. C’était dur de dire s’il était ou non surpris. Toujours est-il qu’il posa son arme sur le côté, signifiant qu’il était prêt à lui accorder toute son attention.
— Zara a soulevé la liane.
Ce n’était sûrement pas le bon verbe à employer, mais c’était le meilleur que Joël avait à sa disposition.
C’était frustrant ses problèmes pour communiquer. Tant de choses l’étaient sur cette planète !
2 commentaires:
Bien maintenant que vous allez vivre ensemble tu peux te dévoiler. ^-^
Merci pour cette suite. ^^
ça progresse, ça progresse... :)
Enregistrer un commentaire