C’était Isabelle qui avait sonné l’alarme. Son alien avait apparemment cherché à l’embrasser.
Si certaines filles fustigeaient le Turquoise coupable, d’autres étaient d’avis qu’Isabelle avait hurlé pour pas grand-chose – ce n’était qu’un baiser, pas la fin du monde. D’autres encore supposaient qu’il s’agissait peut-être d’une incompréhension culturelle.
Joël pensait pour sa part que même si Isabelle avait eu raison de mettre le holà, elle exagérait, et que le Turquoise trop entreprenant avait en effet dû interpréter quelque chose de travers.
Finalement, Miranda mit fin à la dispute. Ce n’était qu’un malentendu. Il y avait eu plus de peur que de mal.
Les Turquoises, sous l’effet d’un discours de Bois-de-cerf et d’un second alien à la ramure tout aussi impressionnante, se calmèrent eux aussi.
Malgré les bonnes volontés de la majorité, la cohabitation entre aliens et terriens promettaient bien des difficultés.
*
Celui qui bâtit avait été trop vite en besogne, pressé à ne pas en douter de jeter les fondations de son couple. Pauvre Baat.
A cause de lui, Celui qui commande et Celui qui est sage avaient été obligés de rappeler à tous les vertus de la patience.
Il était important de laisser le temps aux extraplanétaires de s’acclimater. Elles avaient crashées sur leur planète et étaient par conséquent en situation de détresse. C’étaient à elles de faire le premier pas.
— Elle m’a invité, elle n’arrêtait pas de se lécher les lèvres, répéta Baat plaintivement.
Pour leur peuple, c’était en effet un signal de séduction, mais de toute évidence, cela ne voulait pas dire la même chose pour les extraplanétaires.
Cela n’aurait pas étonné Aarp que ce soit parce qu’elle avait soif. De façon curieuse, les extraplanétaires semblaient en effet perdre l’eau de leurs corps avec la chaleur.
En attendant, il se demandait si, en touchant ses lèvres, son extraplanétaire avait réclamé un baiser de sa part.
Ce n’était que par réflexe qu’il lui avait léché les doigts, et été agréablement surpris par le goût salé de sa peau, mais il fallait qu’il fasse attention à ne pas encourager son extraplanétaire qui semblait déjà bien trop intéressée par sa personne.
Si certaines filles fustigeaient le Turquoise coupable, d’autres étaient d’avis qu’Isabelle avait hurlé pour pas grand-chose – ce n’était qu’un baiser, pas la fin du monde. D’autres encore supposaient qu’il s’agissait peut-être d’une incompréhension culturelle.
Joël pensait pour sa part que même si Isabelle avait eu raison de mettre le holà, elle exagérait, et que le Turquoise trop entreprenant avait en effet dû interpréter quelque chose de travers.
Finalement, Miranda mit fin à la dispute. Ce n’était qu’un malentendu. Il y avait eu plus de peur que de mal.
Les Turquoises, sous l’effet d’un discours de Bois-de-cerf et d’un second alien à la ramure tout aussi impressionnante, se calmèrent eux aussi.
Malgré les bonnes volontés de la majorité, la cohabitation entre aliens et terriens promettaient bien des difficultés.
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Celui qui bâtit avait été trop vite en besogne, pressé à ne pas en douter de jeter les fondations de son couple. Pauvre Baat.
A cause de lui, Celui qui commande et Celui qui est sage avaient été obligés de rappeler à tous les vertus de la patience.
Il était important de laisser le temps aux extraplanétaires de s’acclimater. Elles avaient crashées sur leur planète et étaient par conséquent en situation de détresse. C’étaient à elles de faire le premier pas.
— Elle m’a invité, elle n’arrêtait pas de se lécher les lèvres, répéta Baat plaintivement.
Pour leur peuple, c’était en effet un signal de séduction, mais de toute évidence, cela ne voulait pas dire la même chose pour les extraplanétaires.
Cela n’aurait pas étonné Aarp que ce soit parce qu’elle avait soif. De façon curieuse, les extraplanétaires semblaient en effet perdre l’eau de leurs corps avec la chaleur.
En attendant, il se demandait si, en touchant ses lèvres, son extraplanétaire avait réclamé un baiser de sa part.
Ce n’était que par réflexe qu’il lui avait léché les doigts, et été agréablement surpris par le goût salé de sa peau, mais il fallait qu’il fasse attention à ne pas encourager son extraplanétaire qui semblait déjà bien trop intéressée par sa personne.
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