Joël avait oublié un détail de taille dans l’affaire : comme l’alien ne pouvait donner des conseils de façon verbale, du moins aucun que Joël ne soit capable de saisir, il n’arrêta pas de le toucher. Ses larges mains écailleuses recouvrant les siennes, maintenant ses fesses ou ses cuisses. C’était de la torture. Et, dans ses conditions, fournir des efforts pour grimper sans se laisser distraire appartenait au domaine de l’impossible.
Malgré tout, à sa propre surprise, Joël finit par réussir à retourner dans la cabane qui était sûrement celle de Lance.
Il y parvint en revanche les bras en feu, la gorge sèche et encore plus en sueur qu’il ne l’avait été à l’origine. Ce n’était pas demain la veille qu’il grimperait comme un singe, mais c’était un début.
Il était d’autant plus important qu’il s’habitue que rentrer sur Terre n’était pas au programme. A moins que les Turquoises ne cachent quelque vaisseau spatial dans leur oasis et sachent en prime comment se rendre sur Terre. Non, il ne fallait pas trop rêver… et puis, il y avait la théorie de Lilou sur les Turquoises à la recherche de partenaires.
Est-ce que Lance considérait Joël de la sorte ? Il n’en donnait pas l’impression. En tout cas, à aucun moment l’épaisse et longue verge entre ses jambes n’avait paru entrer en érection. Ce n’était ceci dit peut-être qu’une question de physiologie différente.
En attendant, Joël n’arrivait pas à se retenir d’y jeter des coups d’œil furtifs. La queue à l’arrière était également fascinante, de même que les cornes. Cela démangeait Joël de les caresser. Et il était également curieux de l’effet que pouvait faire la langue fourchue de Lance s’il en venait à l’embrasser.
La chaleur de la planète combiné à l’abstinence dans laquelle il avait vécu ces derniers mois devaient lui monter à la tête. Il n’y avait pas d’autres explications pour ce désir qu’il ressentait à l’égard de l’alien. Ou alors c’était parce que les Turquoises diffusaient des phéromones. Lance sentait vraiment bon. Joël tâcherait de demander aux autres filles si elles étaient attirées par un Turquoise, en espérant ne pas être le seul.
— Et maintenant, que fait-on ?
L’alien lui donna un gros œuf tacheté entouré d’une corde et surmonté d’un bouchon de bois.
— Merci, répondit Joël en prenant ce qui était à priori une gourde primitive.
Lance ne lui parlait guère, ce qui n’était pas super pratique pour apprendre le langage des Turquoises, tout en ayant un côté reposant.
— Rien à raconter ? demanda-t-il après avoir étanché sa soif.
Face au silence de l’alien, Joël, incapable de résister plus longtemps, sous prétexte de faire comprendre à Lance qu’il voulait l’entendre, il leva le bras vers la bouche turquoise et l’effleura.
Les lèvres de l’alien étaient rugueuses. Et la langue de Lance venue lui chatouiller les doigts, râpeuse.
Un petit rire échappa à Joël.
Des cris rompirent le moment, suivi d’une cacophonie de voix humaines et extraterrestres.
Quelque chose s’était passé. Il n’y avait plus qu’à découvrir quoi.
Malgré tout, à sa propre surprise, Joël finit par réussir à retourner dans la cabane qui était sûrement celle de Lance.
Il y parvint en revanche les bras en feu, la gorge sèche et encore plus en sueur qu’il ne l’avait été à l’origine. Ce n’était pas demain la veille qu’il grimperait comme un singe, mais c’était un début.
Il était d’autant plus important qu’il s’habitue que rentrer sur Terre n’était pas au programme. A moins que les Turquoises ne cachent quelque vaisseau spatial dans leur oasis et sachent en prime comment se rendre sur Terre. Non, il ne fallait pas trop rêver… et puis, il y avait la théorie de Lilou sur les Turquoises à la recherche de partenaires.
Est-ce que Lance considérait Joël de la sorte ? Il n’en donnait pas l’impression. En tout cas, à aucun moment l’épaisse et longue verge entre ses jambes n’avait paru entrer en érection. Ce n’était ceci dit peut-être qu’une question de physiologie différente.
En attendant, Joël n’arrivait pas à se retenir d’y jeter des coups d’œil furtifs. La queue à l’arrière était également fascinante, de même que les cornes. Cela démangeait Joël de les caresser. Et il était également curieux de l’effet que pouvait faire la langue fourchue de Lance s’il en venait à l’embrasser.
La chaleur de la planète combiné à l’abstinence dans laquelle il avait vécu ces derniers mois devaient lui monter à la tête. Il n’y avait pas d’autres explications pour ce désir qu’il ressentait à l’égard de l’alien. Ou alors c’était parce que les Turquoises diffusaient des phéromones. Lance sentait vraiment bon. Joël tâcherait de demander aux autres filles si elles étaient attirées par un Turquoise, en espérant ne pas être le seul.
— Et maintenant, que fait-on ?
L’alien lui donna un gros œuf tacheté entouré d’une corde et surmonté d’un bouchon de bois.
— Merci, répondit Joël en prenant ce qui était à priori une gourde primitive.
Lance ne lui parlait guère, ce qui n’était pas super pratique pour apprendre le langage des Turquoises, tout en ayant un côté reposant.
— Rien à raconter ? demanda-t-il après avoir étanché sa soif.
Face au silence de l’alien, Joël, incapable de résister plus longtemps, sous prétexte de faire comprendre à Lance qu’il voulait l’entendre, il leva le bras vers la bouche turquoise et l’effleura.
Les lèvres de l’alien étaient rugueuses. Et la langue de Lance venue lui chatouiller les doigts, râpeuse.
Un petit rire échappa à Joël.
Des cris rompirent le moment, suivi d’une cacophonie de voix humaines et extraterrestres.
Quelque chose s’était passé. Il n’y avait plus qu’à découvrir quoi.
2 commentaires:
Oui petit à petit il va s'habituer et apprendre.
Moi la langue fourchue comme un serpent ne me tenterai pas. (Un serpent ! ><)
Allons donc qu'est-ce qu'une des femmes a fait ?
Merci pour cette suite. ^^
Les serpents, ce n'est pas sexy... Mais tout va bien, c'est une langue de Pizzien ! ;op
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