Xavy inspira à fond, yeux levés vers l’immensité du ciel bleu. Ses ailes s’agitèrent. Cela le démangeait de voler, mais il n’en avait pas le droit. Des humains auraient pu le voir et la majorité d’entre eux n’étaient pas supposés savoir que fées et sorcières existaient.
Xavy, en dépit des explications données par ses parents n’était pas sûr de comprendre vraiment pourquoi, toujours est-il qu’il était obligé de garder les pieds au sol plutôt que de s’élever dans les airs.
De toute façon, même marcher dehors avait quelque chose de magique, sans qu’il y ait de sorcière ou fée derrière. Il était seul, mais libre, hors des murs de sa chambre et de sa maison.
Il croisa quelques passants Des humains, à priori. Il eut l’impression que certains le dévisageaient, comme s’ils devinaient que Xavy n’était pas vraiment à sa place dans la rue et cela le rendit nerveux.
Au bout d’un moment, il consulta le plan de sa mère. Il avait dû se tromper quelque part. Il ne reconnaissait pas le nom de la rue dans laquelle il se trouvait. Il revint en arrière, scrutant les panneaux, luttant contre un sentiment de panique grandissant.
Soudain, il repéra un passage qu’il n’avait pas remarqué avant et s’engouffra dedans. Le nom d’une boutique lui sauta aux yeux « Baguettes de rêve. »
La chance devait l’avoir aidé à arriver à bon port. Ou pas, réalisa-t-il en s’approchant. Même si Xavy ne connaissait pas grand chose au monde extérieur, il était évident qu’il n’était pas en présence d’une boulangerie, mais d’une boutique de sorcellerie. A côté, il y avait une apothicairerie débordante de pots, fioles et herbes séchées.
Xavy n’était pas dans une rue ordinaire. Là où les fées préféraient se mêler aux humains avec d’authentiques commerces où certaines pièces étaient réservées aux fées, les sorcières, elles, cachaient des endroits dédiés à leurs besoins que seuls les êtres doués de magie étaient capables de voir.
— Qu’est-ce que tu fous là, stupide fée ? Tu es venue nous narguer ?
Xavy sursauta et se retourna.
La personne qui l’avait interpellé était une jeune fille tout de noir vêtue avec de flamboyant cheveux roux frisés.
Trois adolescentes étaient avec elle, habillées de façon similaire.
Elles n’étaient pas laides comme les sorcières représentées dans les livres, mais leurs tenues ne laissaient guère de place au doute.
— Je me suis égaré, répondit Xavy.
Il déglutit. Impossible de ne pas remarquer qu’elles n’étaient pas bien disposées à son égard et qu’il était en minorité.
Xavy, en dépit des explications données par ses parents n’était pas sûr de comprendre vraiment pourquoi, toujours est-il qu’il était obligé de garder les pieds au sol plutôt que de s’élever dans les airs.
De toute façon, même marcher dehors avait quelque chose de magique, sans qu’il y ait de sorcière ou fée derrière. Il était seul, mais libre, hors des murs de sa chambre et de sa maison.
Il croisa quelques passants Des humains, à priori. Il eut l’impression que certains le dévisageaient, comme s’ils devinaient que Xavy n’était pas vraiment à sa place dans la rue et cela le rendit nerveux.
Au bout d’un moment, il consulta le plan de sa mère. Il avait dû se tromper quelque part. Il ne reconnaissait pas le nom de la rue dans laquelle il se trouvait. Il revint en arrière, scrutant les panneaux, luttant contre un sentiment de panique grandissant.
Soudain, il repéra un passage qu’il n’avait pas remarqué avant et s’engouffra dedans. Le nom d’une boutique lui sauta aux yeux « Baguettes de rêve. »
La chance devait l’avoir aidé à arriver à bon port. Ou pas, réalisa-t-il en s’approchant. Même si Xavy ne connaissait pas grand chose au monde extérieur, il était évident qu’il n’était pas en présence d’une boulangerie, mais d’une boutique de sorcellerie. A côté, il y avait une apothicairerie débordante de pots, fioles et herbes séchées.
Xavy n’était pas dans une rue ordinaire. Là où les fées préféraient se mêler aux humains avec d’authentiques commerces où certaines pièces étaient réservées aux fées, les sorcières, elles, cachaient des endroits dédiés à leurs besoins que seuls les êtres doués de magie étaient capables de voir.
— Qu’est-ce que tu fous là, stupide fée ? Tu es venue nous narguer ?
Xavy sursauta et se retourna.
La personne qui l’avait interpellé était une jeune fille tout de noir vêtue avec de flamboyant cheveux roux frisés.
Trois adolescentes étaient avec elle, habillées de façon similaire.
Elles n’étaient pas laides comme les sorcières représentées dans les livres, mais leurs tenues ne laissaient guère de place au doute.
— Je me suis égaré, répondit Xavy.
Il déglutit. Impossible de ne pas remarquer qu’elles n’étaient pas bien disposées à son égard et qu’il était en minorité.
2 commentaires:
Oh non décidément Xavy n'a pas de chance, j'espère que quelqu'un viendra l'aider avec ces sorcières avant que ça ne dégénère T__T
Merci pour l'épisode, vivement la suite :D
S'il ne voit pas la boulangerie et que sa mère l'a décrite tel quel est-ce que ça voudrait dire qu'il est meilleur qu'elle ? (Pensée venue avec "euls les êtres doués de magie étaient capables de voir.").
J'espère qu'il ne va pas avoir trop d'ennui…
Merci pour cette suite. ^^
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