Wycka - sans l’empoigner comme Kewyn - le conduisit au réfectoire sans cesser de parler. Xavy ne réussit pas à saisir tout ce qu’elle disait, distrait par les bavardages autour d’eux.
— Tu te sens bien ? demanda Wycka, une fois qu’ils furent assis à une des longues tables réservées au onzième année.
— Oui, ça va. Je ne suis juste pas habitué.
En utilisant les mêmes mots qu’avaient employé sa mère, Xavy espéra fort qu’il finirait par ne plus être dérangé par le bruit et le monde, autrement son séjour à Valeiage promettait d’être horrible.
— Avant tu étais chez toi parce que tu étais malade, c’est ça ?
Xavy confirma d’un hochement de tête. Il ne croyait pas l’avoir dit à Wycka, mais peut-être l’avait-elle entendu dans le bus…
— Mon pauvre, ce ne devait pas être drôle.
Mais au moins, cela avait été calme. Sa tête lui lançait, une pulsation sourde.
Des assiettes volèrent jusqu’à eux dans un élégant ballet.
Xavy se régala. Tout était délicieux. Pas de déception de côté-là.
Leur repas terminé, Wycka lui montra les jardins de l’école, puis l’enjoignit à se dépêcher afin qu’ils ne soient pas en retard au cours de sorts.
Ils furent les premiers devant la porte, Wycka débordant d’une impatience mal contenue, et puis le professeur débarqua.
Il était plutôt rond avec des grands yeux, un nez busqué et des ailes ocres. Il n’avait en effet pas le physique classique d’un fée, mais au moins, lui, personne ne pouvait le confondre avec une fille.
D’autres élèves ne tardèrent pas à débarquer et une fois que tout le monde fut assis, Zibulinion commença un cours qui se révéla si passionnant que Xavy en oublia presque son mal de tête, de quoi mieux comprendre l’enthousiasme de Wycka.
Le cours de dessin sur lequel ils enchaînèrent se révéla nettement plus laborieux, de même que celui sur la littérature.
Au dîner, Xavy mangea sans trop d’appétit et sans prendre part à la conversation animée que tenait Wycka avec l’une de leur voisine de table qui était également dans leur classe. Il n’avait qu’une hâte, aller se coucher.
Des fées assiégeaient les portes du dortoir, pour beaucoup avec le prénom de Kewyn sur les lèvres. Xavy se faufila avec peine à l’intérieur.
Il était tellement épuisé qu’il faillit sauter la douche, puis espérant que cela le détendrait, il se rendit dans la salle de bain collective aux carreaux décorés de poissons et de fleurs.
— Tu te sens bien ? demanda Wycka, une fois qu’ils furent assis à une des longues tables réservées au onzième année.
— Oui, ça va. Je ne suis juste pas habitué.
En utilisant les mêmes mots qu’avaient employé sa mère, Xavy espéra fort qu’il finirait par ne plus être dérangé par le bruit et le monde, autrement son séjour à Valeiage promettait d’être horrible.
— Avant tu étais chez toi parce que tu étais malade, c’est ça ?
Xavy confirma d’un hochement de tête. Il ne croyait pas l’avoir dit à Wycka, mais peut-être l’avait-elle entendu dans le bus…
— Mon pauvre, ce ne devait pas être drôle.
Mais au moins, cela avait été calme. Sa tête lui lançait, une pulsation sourde.
Des assiettes volèrent jusqu’à eux dans un élégant ballet.
Xavy se régala. Tout était délicieux. Pas de déception de côté-là.
Leur repas terminé, Wycka lui montra les jardins de l’école, puis l’enjoignit à se dépêcher afin qu’ils ne soient pas en retard au cours de sorts.
Ils furent les premiers devant la porte, Wycka débordant d’une impatience mal contenue, et puis le professeur débarqua.
Il était plutôt rond avec des grands yeux, un nez busqué et des ailes ocres. Il n’avait en effet pas le physique classique d’un fée, mais au moins, lui, personne ne pouvait le confondre avec une fille.
D’autres élèves ne tardèrent pas à débarquer et une fois que tout le monde fut assis, Zibulinion commença un cours qui se révéla si passionnant que Xavy en oublia presque son mal de tête, de quoi mieux comprendre l’enthousiasme de Wycka.
Le cours de dessin sur lequel ils enchaînèrent se révéla nettement plus laborieux, de même que celui sur la littérature.
Au dîner, Xavy mangea sans trop d’appétit et sans prendre part à la conversation animée que tenait Wycka avec l’une de leur voisine de table qui était également dans leur classe. Il n’avait qu’une hâte, aller se coucher.
Des fées assiégeaient les portes du dortoir, pour beaucoup avec le prénom de Kewyn sur les lèvres. Xavy se faufila avec peine à l’intérieur.
Il était tellement épuisé qu’il faillit sauter la douche, puis espérant que cela le détendrait, il se rendit dans la salle de bain collective aux carreaux décorés de poissons et de fleurs.
4 commentaires:
Pauvre petit… J'espère qu'il aura une bonne nuit pour que son mal de tête passe.
Et va-t-il lui arriver quelque chose dans la salle de bain ?
Merci pour cet épisode. ^^
Pas facile pour Xavy, oui... Je torture mes personnages, comme d'habitude !
Salle de bains signifie nudité avec les conséquences que nous verrons demain ! :)
Je sens que cette douche ne sera pas intime pour Xavy ^^'
Merci pour l'épisode, c'est cool de revoir Zibu, j'aimerais trop le voir discuter avec Xavy pour l'aider ou le conseiller :)
Hâte de lire la suite :D
Je pense que tu devrais être exaucée en ce qui concerne Zibulinion donnant des conseils à Xavy, mais ce ne sera pas pour tout de suite...
Autrement, l'histoire est en train de changer par rapport à mes plans premiers. Ah, ses personnages qui n'en font qu'à leur tête ! :p
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