— Mais qu'avez vous fait pendant tout ce temps ?! s'écria le docteur.
— Rien qui ne nuise à l'intégrité de votre précieux saturnien d'origine humaine.
Le docteur lâcha enfin l'affaire et tourna les talons.
Waldo se réinstalla sur la couchette, plus parce qu'il préférait que ses échanges avec Hoshi ne soit pas écoutés que parce qu'il escomptait qu'ils fassent quoi que ce soit de sexuel.
Hoshi s'allongea à nouveau à ses côtés et referma sur lui.
— Alors, tu me crois pour les vies antérieures que nous avons partagées ?
— J'en ai envie en tout cas, dit Hoshi et, se tortillant dans l'espace réduit, il commença à retirer sa tunique.
Waldo retint son souffle.
— Tu es sûr de vouloir que nous fassions l'amour ? Il n'y a pas d'urgence.
— Et toi ? Même si j'ai été humain un jour, je suis désormais un saturnien, répondit Hoshi,
Waldo se mit sur un coude pour mieux le regarder.
— Oui et tu es magnifique.
Hoshi acheva de se dénuder. Waldo caressa des yeux sa peau étoilée. Malgré une morphologie commune, les saturniens étaient tout de même différent. Ainsi, le pénis du saturnien était enroulé sur lui même et hormis sa bouche, il n'y avait nul endroit pour le pénétrer.
Waldo avait l'habitude d'avoir le rôle dominant. D'ailleurs, avec ses partenaires d'un soir comme avec le sosie de Dake, il avait toujours occupé la position active. Non pas que ses termes aient grand sens, car ce n'était pas comme si celui qui recevait l'autre en lui ne faisait rien. Toujours est-il qu'il avait conservé sa virginité anale, à défaut de son pucelage. Il était heureux de pouvoir l'offrir à Hoshi. Son pénis se raidit et son anus se contracta à l'idée de l'accueillir en lui.
Il ôta ses vêtements à son tour et attendit que Hoshi se décide à le toucher.
— Tu peux me faire ce que tu veux, l'encouragea-t-il.
— Et si je te frappais ou te pinçais...?
— Je te connais. Ce n'est pas ton genre.
— C'est à toi de m'apprendre... protesta Hoshi.
— Il te suffit d'écouter ce que ton cœur et ton corps te dictent.
Comme Hoshi n'esquissait toujours pas un geste dans sa direction, Waldo ajouta :
— Tu peux aussi changer d'avis et nous pouvons nous rhabiller.
— Vraiment ? N'est-il pas trop tard ? C'est ce que le docteur m'a affirmé quand j'ai dit au bout de la cinquième opération, que je ne voulais plus me transformer en saturnien pour devenir un espion.
— Les salauds ! s'écria Waldo.
Tout à coup, il lui semblait que l'humanité méritait de perdre la guerre. Pourquoi ces maudits chefs militaires n'avaient-il pu se contenter de trouver des saturniens prêts à tourner le dos à ceux de leurs espèces ? Ils devaient bien en avoir pourtant. Des couples mixtes existaient, il y a vingt ans de cela, avant que saturniens et humaines ne se mettent à s'entredéchirer... Comment avaient-il pu oser utiliser un enfant ? L'opérer encore et encore, lui apprenant à obéir et c'est tout.
— Rien qui ne nuise à l'intégrité de votre précieux saturnien d'origine humaine.
Le docteur lâcha enfin l'affaire et tourna les talons.
Waldo se réinstalla sur la couchette, plus parce qu'il préférait que ses échanges avec Hoshi ne soit pas écoutés que parce qu'il escomptait qu'ils fassent quoi que ce soit de sexuel.
Hoshi s'allongea à nouveau à ses côtés et referma sur lui.
— Alors, tu me crois pour les vies antérieures que nous avons partagées ?
— J'en ai envie en tout cas, dit Hoshi et, se tortillant dans l'espace réduit, il commença à retirer sa tunique.
Waldo retint son souffle.
— Tu es sûr de vouloir que nous fassions l'amour ? Il n'y a pas d'urgence.
— Et toi ? Même si j'ai été humain un jour, je suis désormais un saturnien, répondit Hoshi,
Waldo se mit sur un coude pour mieux le regarder.
— Oui et tu es magnifique.
Hoshi acheva de se dénuder. Waldo caressa des yeux sa peau étoilée. Malgré une morphologie commune, les saturniens étaient tout de même différent. Ainsi, le pénis du saturnien était enroulé sur lui même et hormis sa bouche, il n'y avait nul endroit pour le pénétrer.
Waldo avait l'habitude d'avoir le rôle dominant. D'ailleurs, avec ses partenaires d'un soir comme avec le sosie de Dake, il avait toujours occupé la position active. Non pas que ses termes aient grand sens, car ce n'était pas comme si celui qui recevait l'autre en lui ne faisait rien. Toujours est-il qu'il avait conservé sa virginité anale, à défaut de son pucelage. Il était heureux de pouvoir l'offrir à Hoshi. Son pénis se raidit et son anus se contracta à l'idée de l'accueillir en lui.
Il ôta ses vêtements à son tour et attendit que Hoshi se décide à le toucher.
— Tu peux me faire ce que tu veux, l'encouragea-t-il.
— Et si je te frappais ou te pinçais...?
— Je te connais. Ce n'est pas ton genre.
— C'est à toi de m'apprendre... protesta Hoshi.
— Il te suffit d'écouter ce que ton cœur et ton corps te dictent.
Comme Hoshi n'esquissait toujours pas un geste dans sa direction, Waldo ajouta :
— Tu peux aussi changer d'avis et nous pouvons nous rhabiller.
— Vraiment ? N'est-il pas trop tard ? C'est ce que le docteur m'a affirmé quand j'ai dit au bout de la cinquième opération, que je ne voulais plus me transformer en saturnien pour devenir un espion.
— Les salauds ! s'écria Waldo.
Tout à coup, il lui semblait que l'humanité méritait de perdre la guerre. Pourquoi ces maudits chefs militaires n'avaient-il pu se contenter de trouver des saturniens prêts à tourner le dos à ceux de leurs espèces ? Ils devaient bien en avoir pourtant. Des couples mixtes existaient, il y a vingt ans de cela, avant que saturniens et humaines ne se mettent à s'entredéchirer... Comment avaient-il pu oser utiliser un enfant ? L'opérer encore et encore, lui apprenant à obéir et c'est tout.
2 commentaires:
Décidément Hoshi n'a pas un passé très joyeux T_T le pauvre il a du morfler avec toutes ces opérations pour le transformer
Merci pour l'épisode, un peu de douceur pour cette fin de semaine que tu nous offre dans ce tête à tête entre Waldo et Hoshi :)
On sent bien que Waldo ne ferait rien pour déplaire à Hoshi, il est très sage en même temps avec toute ses réincarnations
Passe un bon week-end end et hâte de lire la suite XD
Heureusement que Waldo est un minimum sage après toutes ses vies... Bon week-end à toi aussi !
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