L'habit à moitié remis fut à nouveau complètement ôté. Le pénis de Pierrick s'allongea. Le membre de Korel durcit à nouveau. Ils demeurèrent longuement ainsi dans les bras l'un de le l'autre, leurs bouches collées, leurs langues suçant et aspirant, leurs sexes brûlants se touchant.
Quand ils s'étendirent, Pierrick demanda à Korel la permission de défaire sa tresse et, le licornéen ayant donné son accord, il joua avec les mèches de ses cheveux dorés, les humant avec délice. Pierrick, pour sa part, ne donna pas à l'autorisation à Korel de caresser son pénis. Pour éviter tout malentendu, en repoussant sa main, il lui expliqua avec embarras qu'il craignait d'exploser trop tôt une fois encore. Il plongea deux doigts humides de salive à l'intérieur de Korel afin de le préparer à l'accueillir. Finalement, putôt que de lui intimer de s'asseoir sur lui, il le lui suggéra. Korel se positionna alors au-dessus de lui et descendit sur son pénis, le prenant en lui en gémissant. Pierrick s'enfonça les ongles dans les paumes, il ne voulait pas jouir, pas de suite. Korel bougeait, heureusement, avec précaution, montant et redescendant avec lenteur.
Il était magnifique ainsi, sans chapeau, ses cheveux dénoués ruisselant sur son torse nu, sa corne étincelant dans le corne de lune.
Pierrick se mordit la lèvre jusqu'au sang. Cette fois, il donnerait un orgasme à Korel avant d'avoir le sien. Le licornéen qui gagnait en assurance se mit à accélérer le rythme. Le rouquin, au bord de la jouissance tint bon jusqu'à ce Korel éjacule. Alors, à son tour, dans un frisson, il lâcha tout.
La corne de Korel brillait toujours à son front et il avait l'air heureux et détendu.
— C'était bien. Tu peux me donner l'ordre que nous recommencions quand tu veux.
Pierrick éclata d'un rire joyeux. C'était merveilleux que Korel plaisante avec lui. Jamais il ne l'avait fait auparavant. C'était bien aussi qu'il lui pose des questions. Sans cela, les choses ne se seraient pas résolues aussi vite. Maintenant il n'y aurait plus de gros problèmes entre eux. Korel était sien et de la même façon, Pierrick lui appartenait.
Débordant d'amour, il leva la main pour caresser une des longues mèches de cheveux dorés du licornéen. L'oiseau bleu tatoué à son poignet entra dans son champ de vision et soudain il descendit du petit nuage sur lequel il flottait. Korel et lui formaient enfin un couple dans tous les sens du terme, mais lui avait perdu sa liberté en cherchant à ce que tout le monde la recouvre. Il était à présent obligé d'aller porter ce fichu message à ce Jenkins à Kossalos avec cette sinistre prédiction qui lui pendait au nez.
Korel qui avait dû percevoir son changement d'humeur vint nicher sa tête contre son épaule.
— Tout vas s'arranger, assura-t-il.
A son front, sa corne brilla brièvement. Il essayait magiquement de l'en persuader. Pierrick ne s'en offusqua pas. Il savait que ce n'était pas volontaire et dans une bonne intention. De toute façon, il avait envie d'y croire. Oui, ils allaient trouver une solution pour se tirer d'affaire avec le mouvement de la Liberté et mettre fin à l'esclavage sur Erret.
Quand ils s'étendirent, Pierrick demanda à Korel la permission de défaire sa tresse et, le licornéen ayant donné son accord, il joua avec les mèches de ses cheveux dorés, les humant avec délice. Pierrick, pour sa part, ne donna pas à l'autorisation à Korel de caresser son pénis. Pour éviter tout malentendu, en repoussant sa main, il lui expliqua avec embarras qu'il craignait d'exploser trop tôt une fois encore. Il plongea deux doigts humides de salive à l'intérieur de Korel afin de le préparer à l'accueillir. Finalement, putôt que de lui intimer de s'asseoir sur lui, il le lui suggéra. Korel se positionna alors au-dessus de lui et descendit sur son pénis, le prenant en lui en gémissant. Pierrick s'enfonça les ongles dans les paumes, il ne voulait pas jouir, pas de suite. Korel bougeait, heureusement, avec précaution, montant et redescendant avec lenteur.
Il était magnifique ainsi, sans chapeau, ses cheveux dénoués ruisselant sur son torse nu, sa corne étincelant dans le corne de lune.
Pierrick se mordit la lèvre jusqu'au sang. Cette fois, il donnerait un orgasme à Korel avant d'avoir le sien. Le licornéen qui gagnait en assurance se mit à accélérer le rythme. Le rouquin, au bord de la jouissance tint bon jusqu'à ce Korel éjacule. Alors, à son tour, dans un frisson, il lâcha tout.
La corne de Korel brillait toujours à son front et il avait l'air heureux et détendu.
— C'était bien. Tu peux me donner l'ordre que nous recommencions quand tu veux.
Pierrick éclata d'un rire joyeux. C'était merveilleux que Korel plaisante avec lui. Jamais il ne l'avait fait auparavant. C'était bien aussi qu'il lui pose des questions. Sans cela, les choses ne se seraient pas résolues aussi vite. Maintenant il n'y aurait plus de gros problèmes entre eux. Korel était sien et de la même façon, Pierrick lui appartenait.
Débordant d'amour, il leva la main pour caresser une des longues mèches de cheveux dorés du licornéen. L'oiseau bleu tatoué à son poignet entra dans son champ de vision et soudain il descendit du petit nuage sur lequel il flottait. Korel et lui formaient enfin un couple dans tous les sens du terme, mais lui avait perdu sa liberté en cherchant à ce que tout le monde la recouvre. Il était à présent obligé d'aller porter ce fichu message à ce Jenkins à Kossalos avec cette sinistre prédiction qui lui pendait au nez.
Korel qui avait dû percevoir son changement d'humeur vint nicher sa tête contre son épaule.
— Tout vas s'arranger, assura-t-il.
A son front, sa corne brilla brièvement. Il essayait magiquement de l'en persuader. Pierrick ne s'en offusqua pas. Il savait que ce n'était pas volontaire et dans une bonne intention. De toute façon, il avait envie d'y croire. Oui, ils allaient trouver une solution pour se tirer d'affaire avec le mouvement de la Liberté et mettre fin à l'esclavage sur Erret.