Pierrick protesta. Il ne voyait pas le mal qu'il y avait à être du genre rapide. Le dragon ne se donna pas la peine de lui répondre. Il avait apparemment vite compris comment il fallait se comporter avec Pierrick : le mieux était en effet de l'ignorer quand il tenait des propos aberrants. Cela lui permettait en général de se rendre compte de lui-même qu'il avait proféré une stupidité.
Il y eut un silence durant lequel Korel s'efforça de transformer le dragon, supposant que ce dernier devait essayer de faire de même de son côté.
Byll les regardait dans l'expectative tandis que Pierrick effritait un morceau de paroi rocheuse du bout de ses doigts gantés.
Korel ne put s'empêcher de se demander quel effet cela lui ferait si Pierrick le touchait. Il chassa cependant bien vite cette distrayante pensée. Il désirait garder ses pouvoirs magiques et que tous les licornéens d'Erret obtiennent ce droit.
— Il y a aussi la possibilité que quelqu'un qu'on ne voit pas soit avec nous dans la grotte, suggéra Byll.
— Mais oui, bien sûr ! s'exclama Pierrick en se frappant les mains l'une contre l'autre.
Dans la foulée, il dégaina son épée et prononça une incantation.
— Oh, c'est bon, pas la peine de sortir le grand jeu, je vais me montrer.
La voix féminine semblait provenir de nulle part. Mais soudain, ce qui n'était qu'une minuscule tache sur le pagne de Byll se mit à grossir et grandir.
L'orcéant l'empoigna sans hésitation.
— Hé ! se plaignit l'inconnue. Pose-moi à terre !
Byll n'obéit pas à son injonction, même quand la petite bête noire devint une belle jeune fille blonde au teint porcelaine et aux magnifiques yeux violets qui portait une combinaison assortie qui épousait les courbes de son corps comme une seconde peau. Sa beauté était comparable à celle des licornéens.
— Je suis de votre côté, assura-t-elle.
— Alors pourquoi nous avoir espionné ? objecta Byll.
Elle se lança d'une explication extravagante comme quoi elle avait voulu savoir si les orcéants étaient vraiment des bêtes comme sa préceptrice se plaisait à le répéter quand elle s'indignait de les voir trimer du matin au jour en ayant à se mettre sous la dent que des restes dont un chien n'aurait pas voulu.
C'était une fille humaine du même genre que Pierrick, le type qu'il aurait dû épouser s'il était resté sagement dans la propriété familiale au lieu de partir à l'aventure. Tout deux étaient jeunes, séduisants, riches, prétentieux, mais généreux malgré tout. Elle n'aurait en effet pas été là si le sort des orcéants ne lui avait pas paru injuste. Ils formaient un couple parfait et Korel en ressentit un inexplicable pincement de cœur.
Il y eut un silence durant lequel Korel s'efforça de transformer le dragon, supposant que ce dernier devait essayer de faire de même de son côté.
Byll les regardait dans l'expectative tandis que Pierrick effritait un morceau de paroi rocheuse du bout de ses doigts gantés.
Korel ne put s'empêcher de se demander quel effet cela lui ferait si Pierrick le touchait. Il chassa cependant bien vite cette distrayante pensée. Il désirait garder ses pouvoirs magiques et que tous les licornéens d'Erret obtiennent ce droit.
— Il y a aussi la possibilité que quelqu'un qu'on ne voit pas soit avec nous dans la grotte, suggéra Byll.
— Mais oui, bien sûr ! s'exclama Pierrick en se frappant les mains l'une contre l'autre.
Dans la foulée, il dégaina son épée et prononça une incantation.
— Oh, c'est bon, pas la peine de sortir le grand jeu, je vais me montrer.
La voix féminine semblait provenir de nulle part. Mais soudain, ce qui n'était qu'une minuscule tache sur le pagne de Byll se mit à grossir et grandir.
L'orcéant l'empoigna sans hésitation.
— Hé ! se plaignit l'inconnue. Pose-moi à terre !
Byll n'obéit pas à son injonction, même quand la petite bête noire devint une belle jeune fille blonde au teint porcelaine et aux magnifiques yeux violets qui portait une combinaison assortie qui épousait les courbes de son corps comme une seconde peau. Sa beauté était comparable à celle des licornéens.
— Je suis de votre côté, assura-t-elle.
— Alors pourquoi nous avoir espionné ? objecta Byll.
Elle se lança d'une explication extravagante comme quoi elle avait voulu savoir si les orcéants étaient vraiment des bêtes comme sa préceptrice se plaisait à le répéter quand elle s'indignait de les voir trimer du matin au jour en ayant à se mettre sous la dent que des restes dont un chien n'aurait pas voulu.
C'était une fille humaine du même genre que Pierrick, le type qu'il aurait dû épouser s'il était resté sagement dans la propriété familiale au lieu de partir à l'aventure. Tout deux étaient jeunes, séduisants, riches, prétentieux, mais généreux malgré tout. Elle n'aurait en effet pas été là si le sort des orcéants ne lui avait pas paru injuste. Ils formaient un couple parfait et Korel en ressentit un inexplicable pincement de cœur.
3 commentaires:
Merci pour cet épisode ^o^
Pourquoi je sens que cette fille va créer des soucis lol
Korel se sentirait-il jaloux.. :)
Vivement la suite
ça manquait de personnage féminin, alors j'ai remédié au problème en espérant qu'elle vous plaira. :)
La jalousie permettra peut-être à korel de prendre conscience de ses sentiments ^^
J'ai hâte de voir la forme humanoïde de rouge =)
Merci.
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