Quand le baiser s'acheva, Carmin avait le souffle court, le visage rouge et le pénis dur. Les yeux dorés de Lou pétillaient. Il captura à nouveau ses lèvres et sa main se glissa entre les jambes de Carmin, palpant son érection à travers le caleçon et le pantalon. Carmin gémit. Si cela continuait, il allait jouir. Mais pour rien au monde, il n'aurait voulu que Lou ne s'arrête, si bien qu'il émit une légère protestation quand ce dernier retira sa main.
— Il ne s'agirait pas de mouiller tes vêtements, mon chou.
Carmin se déboutonna à la hâte, libérant son érection. Tant pis pour la honte, il avait désespérément envie d'être touché.
La main rugueuse de Lou monta et descendit sur son membre. Carmin s'arcbouta pour mieux s'offrir à la caresse.
— Ton anus palpite, trésor.
Carmin garda le silence à ce commentaire. Il ne pouvait nier avoir envie de le sentir en lui. Que quelqu'un le désire, lui, était trop extraordinaire.
— Puis-je te toucher aussi ?
Il voulait en profiter au maximum. Tant pis s'il se rendait ridicule.
— C'est plus que bienvenu, chéri.
Lou abaissa ses vêtements et son pénis apparut, imposant. Carmin referma les doigts dessus, le serrant.
— Hé ! Doucement !
— Pardon, désolé, balbutia Carmin en ôtant aussitôt sa main.
— En fait, tu n'es pas du genre à te masturber...
Carmin ne le faisait en effet que fort peu. Il acquiesça.
— C'est pour cela que tu réagis au quart de tour, parce que tu n'écoutes pas assez les désirs de ton corps et c'est aussi pour ça que l'art et la manière de caresser un pénis n'est pas dans tes cordes. Essaie encore. Tu peux t'inspirer de ce que je te fais.
Carmin tenta d'imiter les mouvements de va-et-vient de Lou sur son propre sexe. C'était brûlant et infiniment doux, aussi excitant que les caresses qui lui étaient prodiguées. Carmin éjacula. Les larges mains de Lou vinrent recouvrir la sienne qui s'efforçait maladroitement de lui donner du plaisir.
Carmin était prêt à se retirer, pour lui laisser champ libre, mais Lou ne l'entendait pas de cette oreille.
— Non, mon chou, apprends.
Lou eût tôt fait de pousser un râle tandis que dans la main de Carmin se déversait son sperme chaud et collant.
Après un brin de toilettage avec les moyens du bord et une fois rhabillés, Lou repartit à la fenêtre.
— On dirait que ça se calme enfin, encore un peu et je vais pouvoir te reconduire au village.
Carmin aurait dû s'en réjouir, mais il en fut incapable. Il appréciait trop la compagnie de son sauveur pour cela.
— Je préférais aller chez toi.
— Mais qu'est-ce que tu racontes ? Les gens vont s'inquiéter pour toi.
Carmin haussa les épaules.
— Mes parents n'étant plus de ce monde, ma disparition n'affligera personne.
— Et l'écrivain que tu cherchais, il doit attendre ta venue, non ?
— Si, mais que ce soit moi ou un autre, cela ne changerait rien pour lui.
— Pourquoi veux-tu que je t'emmène chez moi ? Il n'y a rien à y voir.
Découvrir le logis de quelqu'un était un bon moyen d'en apprendre davantage sur la personne qui l'habitait et Carmin avait soif d'en savoir plus sur Lou. Cependant, comme il craignait que la raison ne soit guère recevable pour Lou, il en donna une autre, vraie également, qu'il espérait plus convaincante :
— Pour coucher encore avec toi.
Le guide eut un sourire, ses dents blanches éclatantes contrastant avec sa barbe noire.
— OK. Mais il faut grimper et c'est plus fatiguant que de descendre et tu n'es pas au mieux de ta forme.
— Cela ira, assura Carmin, désireux de rester plus longtemps avec cet homme qui l'abreuvait de petits noms tendres et le traitait avec indulgence et non comme un incapable doublé d'un maladroit.
— Il ne s'agirait pas de mouiller tes vêtements, mon chou.
Carmin se déboutonna à la hâte, libérant son érection. Tant pis pour la honte, il avait désespérément envie d'être touché.
La main rugueuse de Lou monta et descendit sur son membre. Carmin s'arcbouta pour mieux s'offrir à la caresse.
— Ton anus palpite, trésor.
Carmin garda le silence à ce commentaire. Il ne pouvait nier avoir envie de le sentir en lui. Que quelqu'un le désire, lui, était trop extraordinaire.
— Puis-je te toucher aussi ?
Il voulait en profiter au maximum. Tant pis s'il se rendait ridicule.
— C'est plus que bienvenu, chéri.
Lou abaissa ses vêtements et son pénis apparut, imposant. Carmin referma les doigts dessus, le serrant.
— Hé ! Doucement !
— Pardon, désolé, balbutia Carmin en ôtant aussitôt sa main.
— En fait, tu n'es pas du genre à te masturber...
Carmin ne le faisait en effet que fort peu. Il acquiesça.
— C'est pour cela que tu réagis au quart de tour, parce que tu n'écoutes pas assez les désirs de ton corps et c'est aussi pour ça que l'art et la manière de caresser un pénis n'est pas dans tes cordes. Essaie encore. Tu peux t'inspirer de ce que je te fais.
Carmin tenta d'imiter les mouvements de va-et-vient de Lou sur son propre sexe. C'était brûlant et infiniment doux, aussi excitant que les caresses qui lui étaient prodiguées. Carmin éjacula. Les larges mains de Lou vinrent recouvrir la sienne qui s'efforçait maladroitement de lui donner du plaisir.
Carmin était prêt à se retirer, pour lui laisser champ libre, mais Lou ne l'entendait pas de cette oreille.
— Non, mon chou, apprends.
Lou eût tôt fait de pousser un râle tandis que dans la main de Carmin se déversait son sperme chaud et collant.
Après un brin de toilettage avec les moyens du bord et une fois rhabillés, Lou repartit à la fenêtre.
— On dirait que ça se calme enfin, encore un peu et je vais pouvoir te reconduire au village.
Carmin aurait dû s'en réjouir, mais il en fut incapable. Il appréciait trop la compagnie de son sauveur pour cela.
— Je préférais aller chez toi.
— Mais qu'est-ce que tu racontes ? Les gens vont s'inquiéter pour toi.
Carmin haussa les épaules.
— Mes parents n'étant plus de ce monde, ma disparition n'affligera personne.
— Et l'écrivain que tu cherchais, il doit attendre ta venue, non ?
— Si, mais que ce soit moi ou un autre, cela ne changerait rien pour lui.
— Pourquoi veux-tu que je t'emmène chez moi ? Il n'y a rien à y voir.
Découvrir le logis de quelqu'un était un bon moyen d'en apprendre davantage sur la personne qui l'habitait et Carmin avait soif d'en savoir plus sur Lou. Cependant, comme il craignait que la raison ne soit guère recevable pour Lou, il en donna une autre, vraie également, qu'il espérait plus convaincante :
— Pour coucher encore avec toi.
Le guide eut un sourire, ses dents blanches éclatantes contrastant avec sa barbe noire.
— OK. Mais il faut grimper et c'est plus fatiguant que de descendre et tu n'es pas au mieux de ta forme.
— Cela ira, assura Carmin, désireux de rester plus longtemps avec cet homme qui l'abreuvait de petits noms tendres et le traitait avec indulgence et non comme un incapable doublé d'un maladroit.