Zibulinion lâcha les mains de ses amis et se précipita au chevet de son professeur. Ce dernier était plongé dans une transe réparatrice. Sa respiration était régulière. Le bandage autour de sa taille était propre, en revanche de nouvelles et vilaines marques rouges barraient son torse nu.
Il faudrait que Validocielle paie ses méfaits à un moment ou un autre, se promit Zibulinion. Il l'habilla chaudement d'un tour de baguette magique et à contrecœur interrompit son repos d'un sort qu'il conclut par un baiser avant de jeter en rougissant un coup d'œil à ses deux amis. Waltharan et Folebiol étaient absorbés, l'un par la contemplation du sol, l'autre par celle du plafond.
– Zibu... Elle t'a repris ? murmura Relhnad, les paupières papillonnantes.
– Pas encore non. Je suis venu te chercher.
Le temps jouait d'ailleurs contre eux, car dès que Validocielle aurait résolu le bazar mis par Neyenje, elle serait à même de s'interposer.
Quitter la pièce était normalement impossible, mais Zibulinion effectua quand même un essai en solitaire, au cas où les choses auraient changé. Hélas, rien ne se produisit. Cependant, par rapport à avant, il y avait une énorme différence : il n'était plus seul.
– Folebiol, est-ce que tu pourrais appeler les rongeurs creusant des galeries vivant dans les parages ? Et toi, Waltharan, veux-tu bien t'adresser aux plantes ? Si Relhnad rentre en parallèle en résonance avec les pierres tandis que moi, j'use de sorcellerie pour perturber les protections qui entourent la pièce...
– Sorcellerie !? s'écria Folebiol.
– Oui, rien ne lui est impossible, hein ? glissa Waltharan.
– Féerie et sorcellerie sont proches. La première n'est pas meilleure que la seconde, se justifia Zibulinion comme Folebiol continuait à le regarder d'un air soucieux.
– J'ai testé dans ma jeunesse, déclara Relhnad, soutenant l'adolescent. Une action conjuguée à toutes les chances de fonctionner, ajouta-t-il.
Ils se mirent à l'ouvrage, sans que Folebiol ne discute plus. Plantes et animaux étaient difficiles à joindre, les pierres hostiles et les connaissances en sorcellerie de Zibulinion, modestes, aussi la tâche était difficile.
Soudain, Folebiol s'alarma :
– Ton oiseau se remet à grossir...
– Concentrez-vous, ne vous laissez pas distraire, dit Relhnad.
Sa belle voix manquait de force. Inquiet pour lui, Zibulinion dut faire un effort pour se focaliser sur son sortilège.
Il faudrait que Validocielle paie ses méfaits à un moment ou un autre, se promit Zibulinion. Il l'habilla chaudement d'un tour de baguette magique et à contrecœur interrompit son repos d'un sort qu'il conclut par un baiser avant de jeter en rougissant un coup d'œil à ses deux amis. Waltharan et Folebiol étaient absorbés, l'un par la contemplation du sol, l'autre par celle du plafond.
– Zibu... Elle t'a repris ? murmura Relhnad, les paupières papillonnantes.
– Pas encore non. Je suis venu te chercher.
Le temps jouait d'ailleurs contre eux, car dès que Validocielle aurait résolu le bazar mis par Neyenje, elle serait à même de s'interposer.
Quitter la pièce était normalement impossible, mais Zibulinion effectua quand même un essai en solitaire, au cas où les choses auraient changé. Hélas, rien ne se produisit. Cependant, par rapport à avant, il y avait une énorme différence : il n'était plus seul.
– Folebiol, est-ce que tu pourrais appeler les rongeurs creusant des galeries vivant dans les parages ? Et toi, Waltharan, veux-tu bien t'adresser aux plantes ? Si Relhnad rentre en parallèle en résonance avec les pierres tandis que moi, j'use de sorcellerie pour perturber les protections qui entourent la pièce...
– Sorcellerie !? s'écria Folebiol.
– Oui, rien ne lui est impossible, hein ? glissa Waltharan.
– Féerie et sorcellerie sont proches. La première n'est pas meilleure que la seconde, se justifia Zibulinion comme Folebiol continuait à le regarder d'un air soucieux.
– J'ai testé dans ma jeunesse, déclara Relhnad, soutenant l'adolescent. Une action conjuguée à toutes les chances de fonctionner, ajouta-t-il.
Ils se mirent à l'ouvrage, sans que Folebiol ne discute plus. Plantes et animaux étaient difficiles à joindre, les pierres hostiles et les connaissances en sorcellerie de Zibulinion, modestes, aussi la tâche était difficile.
Soudain, Folebiol s'alarma :
– Ton oiseau se remet à grossir...
– Concentrez-vous, ne vous laissez pas distraire, dit Relhnad.
Sa belle voix manquait de force. Inquiet pour lui, Zibulinion dut faire un effort pour se focaliser sur son sortilège.
1 commentaire:
YES!!!!!!! Il l'a enfin tutoyé \^o^/
Merci pour cet épisode, je suis trop trop contente qu'ils aient pu retrouver Relhnad et qu'il aille pas trop mal ^^
J'espère qu'ils vont réussir à sortir et que cette peste de Validocielle va payer pour tout le mal qu'elle leur a fait >_<
Vivement la suite XD
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