Il était allongé sur le lit, mais avait les yeux grands ouverts.
– Tu as été rapide. Mon accompagnatrice vient tout juste de partir, car elle a tenu à me soigner.
– Elles ne sont quand même pas très aimables. Nous sommes pourtant les victimes...
– C'est très embarrassant pour le Comité que ce soit l'un de leurs membres hauts placés dans la hiérarchie qui se soit rendue coupable de pareils actes.
– Tu les excuses ?
– Non, mais l'essentiel est que toi et moi, nous soyons ensemble et libres.
Zibulinion vint s'étendre à côté de Relhnad, leurs ailes se touchant.
– Tu souffres ?
– Plus trop, grâce aux soins. Et toi ?
– J'ai aussi eu le droit à des sorts de guérison. Ceci dit, je ne me suis guère reposé et c'est un peu douloureux...
– Viens-là.
Zibulinion se rapprocha, posant délicatement sa tête sur l'épaule de Relhnad. Il craignait de lui faire mal.
– Je ne suis pas en sucre.
– J'ai eu si peur de te perdre, souffla Zibulinion.
– La réciproque est vraie.
Ils se turent, plongeant dans un silence qui n'avait rien de pesant. Ils jouissaient simplement du bonheur d'être l'un avec l'autre.
S'ils ne firent pas l'amour ce jour-là, ni le lendemain, s'embrassant toutefois à satiété, ce fut à cause de leur blessure partagée et du torse zébré du professeur de sort. Rien que manger et dormir ensemble était cependant un véritable plaisir. Zibulinion n'avait pas manqué d'écrire à ses amis pour leur faire part de son lieu de résidence et de son bonheur.
Le matin du troisième jour de leur vie commune, Zibulinion prit l'initiative de caresser Relhnad qui l'encouragea à continuer avec des gémissements de plaisir. Avec fièvre, ils s'unirent l'un à l'autre, s'imbriquant l'un dans l'autre.
Quand ils eurent reprit leur souffle, Zibulinion passa la main sur la cicatrice qui entourait la taille de Relhnad. Il se sentait coupable. Relhnad toucha en retour celle de l'adolescent.
– Cela ressemble à des anneaux, c'est comme des alliances, comme si nous étions mariés, déclara-t-il.
Zibulinion rougit. Relhnad s'empara à nouveau de ses lèvres, entremêlant leurs langues.
– Et nous sommes comme en voyage de noce, ajouta-t-il, à l'oreille de l'adolescent avant de lui mordiller le lobe de l'oreille, tout en le caressant.
– Tu as été rapide. Mon accompagnatrice vient tout juste de partir, car elle a tenu à me soigner.
– Elles ne sont quand même pas très aimables. Nous sommes pourtant les victimes...
– C'est très embarrassant pour le Comité que ce soit l'un de leurs membres hauts placés dans la hiérarchie qui se soit rendue coupable de pareils actes.
– Tu les excuses ?
– Non, mais l'essentiel est que toi et moi, nous soyons ensemble et libres.
Zibulinion vint s'étendre à côté de Relhnad, leurs ailes se touchant.
– Tu souffres ?
– Plus trop, grâce aux soins. Et toi ?
– J'ai aussi eu le droit à des sorts de guérison. Ceci dit, je ne me suis guère reposé et c'est un peu douloureux...
– Viens-là.
Zibulinion se rapprocha, posant délicatement sa tête sur l'épaule de Relhnad. Il craignait de lui faire mal.
– Je ne suis pas en sucre.
– J'ai eu si peur de te perdre, souffla Zibulinion.
– La réciproque est vraie.
Ils se turent, plongeant dans un silence qui n'avait rien de pesant. Ils jouissaient simplement du bonheur d'être l'un avec l'autre.
S'ils ne firent pas l'amour ce jour-là, ni le lendemain, s'embrassant toutefois à satiété, ce fut à cause de leur blessure partagée et du torse zébré du professeur de sort. Rien que manger et dormir ensemble était cependant un véritable plaisir. Zibulinion n'avait pas manqué d'écrire à ses amis pour leur faire part de son lieu de résidence et de son bonheur.
Le matin du troisième jour de leur vie commune, Zibulinion prit l'initiative de caresser Relhnad qui l'encouragea à continuer avec des gémissements de plaisir. Avec fièvre, ils s'unirent l'un à l'autre, s'imbriquant l'un dans l'autre.
Quand ils eurent reprit leur souffle, Zibulinion passa la main sur la cicatrice qui entourait la taille de Relhnad. Il se sentait coupable. Relhnad toucha en retour celle de l'adolescent.
– Cela ressemble à des anneaux, c'est comme des alliances, comme si nous étions mariés, déclara-t-il.
Zibulinion rougit. Relhnad s'empara à nouveau de ses lèvres, entremêlant leurs langues.
– Et nous sommes comme en voyage de noce, ajouta-t-il, à l'oreille de l'adolescent avant de lui mordiller le lobe de l'oreille, tout en le caressant.
1 commentaire:
Whaouu quel épisode de fin de semaine, merci ^o^
J'en ai versée ma petite larme de les voir enfin réunis et heureux ^^
J'espère que plus rien ne leur arrivera et qu'ils pourront goûter un repos bien mérité :)
Bon week-end à toi et rdv Lundi pour un nouvel épisode XD
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