En essayant de faire abstraction des visiteurs extraterrestres aux apparences aussi diverses étranges qui se promenaient dans les allées, Merwan refit le tour de sa prison et testa la solidité de chaque barreau. Il remarqua que quand il gardait trop longtemps les mains dessus, le matériau lui chauffaient désagréablement les paumes. Il tenta quand même de grimper, mais essuya un échec cuisant car la plante de ses pieds glissaient contre les longues et lisses tiges noires.
Il tâta le sol partout qui se révéla être uniformément rugueux et increusable. Le tapis était indéchirable tandis que la bouteille était en train de se désagréger. Rien en gros ne pouvait l'aider à fabriquer quoique ce soit pour s'échapper. N'est pas Mc Guyver qui veut. Il ne semblait rester que l'option de prendre le dessus sur un des extraterrestres à plateforme. Le problème, c'est que «Huit » ne descendait pas jusqu'à lui et demeurait hors de portée tandis que « Pieuvre » avait de longs et multiples bras. Mais sûrement, il devait avoir un point faible... Un coup à la tête peut-être ? Merwan ne s'était jamais bagarré sérieusement avec personne de sa vie. Il n'avait jamais été favorable à la violence. Il portait bien son nom et était du genre bienveillant. En cas de conflit, il argumentait avec des mots et non avec ses poings. Mais comment faire avec des individus qui ne vous comprennent pas et vous considère comme bête ? Il restait à tenter de communiquer par gestes ou à apprendre la langue d'un des extraterrestres, en commençant par « Pieuvre »
Dès la fermeture du zoo, il se mit à attendre la venue de l'alien à tentacule, mais seul « Huit » vint lui lancer une nouvelle bouteille. Merwan finit par se coucher sur le tapis en chien de fusil, regrettant de ne pas avoir une couverture à se mettre dessus.
Des bruits inconnus le tirèrent de son sommeil. Un engin noir et ronronnant, en forme de bulle flottait juste au-dessus de sa cage. Il déversa un rayon éblouissant à quelques pas de Merwan pendant une minute ou deux avant de s'élever dans les airs et de disparaître dans le ciel psychédélique.
A l'endroit qui avait été touché par le rayon, était allongée une femme nue à la peau blanche et aux cheveux bruns. Elle respirait doucement, les traits détendus, ne sachant pas encore ce qui lui était arrivé. Malgré son envie de parler à quelqu'un, Merwan ne la réveilla pas. Elle découvrirait bien assez tôt leur triste situation.
Ce fut la bruyante ouverture du zoo qui tira la belle endormie de sa bienheureuse inconscience.
Il tâta le sol partout qui se révéla être uniformément rugueux et increusable. Le tapis était indéchirable tandis que la bouteille était en train de se désagréger. Rien en gros ne pouvait l'aider à fabriquer quoique ce soit pour s'échapper. N'est pas Mc Guyver qui veut. Il ne semblait rester que l'option de prendre le dessus sur un des extraterrestres à plateforme. Le problème, c'est que «Huit » ne descendait pas jusqu'à lui et demeurait hors de portée tandis que « Pieuvre » avait de longs et multiples bras. Mais sûrement, il devait avoir un point faible... Un coup à la tête peut-être ? Merwan ne s'était jamais bagarré sérieusement avec personne de sa vie. Il n'avait jamais été favorable à la violence. Il portait bien son nom et était du genre bienveillant. En cas de conflit, il argumentait avec des mots et non avec ses poings. Mais comment faire avec des individus qui ne vous comprennent pas et vous considère comme bête ? Il restait à tenter de communiquer par gestes ou à apprendre la langue d'un des extraterrestres, en commençant par « Pieuvre »
Dès la fermeture du zoo, il se mit à attendre la venue de l'alien à tentacule, mais seul « Huit » vint lui lancer une nouvelle bouteille. Merwan finit par se coucher sur le tapis en chien de fusil, regrettant de ne pas avoir une couverture à se mettre dessus.
Des bruits inconnus le tirèrent de son sommeil. Un engin noir et ronronnant, en forme de bulle flottait juste au-dessus de sa cage. Il déversa un rayon éblouissant à quelques pas de Merwan pendant une minute ou deux avant de s'élever dans les airs et de disparaître dans le ciel psychédélique.
A l'endroit qui avait été touché par le rayon, était allongée une femme nue à la peau blanche et aux cheveux bruns. Elle respirait doucement, les traits détendus, ne sachant pas encore ce qui lui était arrivé. Malgré son envie de parler à quelqu'un, Merwan ne la réveilla pas. Elle découvrirait bien assez tôt leur triste situation.
Ce fut la bruyante ouverture du zoo qui tira la belle endormie de sa bienheureuse inconscience.
2 commentaires:
Whaouuuu génial Merwan a enfin de la compagnie, partager sa prison va peut-être lui alléger un peu le coeur ^^
Merci pour cet épisode, j'ai hâte de voir la réaction de sa nouvelle compagne quand elle va découvrir le Zoo XD
je suis un peut perplexe par l'arrivée de cette femme, j'attends de voir la suite avec impatience!
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