La rebuffade était évidente, mais Roza ne se laissa pas démonter.
– Je suppose que vous vous sentez pris au piège, mais, franchement, discuter, cela n'engage à rien, si ?
Vlad fut obligé d'admettre que non. Pauline était l'ennemi à abattre, car elle se mêlait de ce qui ne la regardait pas. Roza, elle, avait bien le droit de vouloir faire des rencontres pour se trouver quelqu'un.
Tout en restant sur ses gardes, Vlad fit la conversation avec la jeune femme et fut amené à reconnaître qu'elle était une interlocutrice agréable. C'était une auditrice attentive et en même temps, elle n'hésitait pas à parler d'elle-même, se mettant en scène avec beaucoup d'humour. Qui plus est, elle était jolie, ce qui ne gâtait rien. Vlad n'avait pu s'empêcher d'être troublé en remarquant que le haut échancré de Roza laissait voir la naissance de sa poitrine.
Son déplaisir d'avoir été coincé par Pauline finit par s'estomper, et il était presque l'heure du goûter quand il annonça qu'il était vraiment temps pour lui de partir.
– Pourquoi ne nous reverrions-nous pas dans un autre cadre ? proposa Roza.
Vlad ne sut quoi répondre, bêtement surpris par l'invitation. Oui, Roza était charmante et excitante, mais elle n'était pas fascinante comme avait pu l'être Katia... ou émouvante comme l'était Ludovic. Même s'il la revoyait, il était peu probable qu'elle lui inspire un jour autre chose qu'une simple sympathie. Et pour le coup, répondre positivement, c'était prendre un engagement.
– Désolé, mais c'est non.
– Oh ! Et pourquoi ça ? J'ai adoré discuter avec vous. J'aimerai faire plus ample connaissance.
Elle posa une main sur son avant bras, l'air très déçu. Vlad hésita. Il avait peut-être tort de ne pas lui donner sa chance.
A ce moment-là, la porte du salon s'ouvrit en grand et Misha débarqua, sa grand-mère toute essoufflée derrière lui.
– Papa ! Je savais bien que tu étais encore là ! Mamie, elle disait que tu étais déjà reparti, mais moi, je savais bien que tu serais pas rentré à la maison sans me dire au revoir.
– Et tu avais raison, répondit Vlad en lançant un regard noir à sa belle-mère.
– Je voulais juste que vous puissiez bavarder tranquillement, Roza et toi, déclara Pauline en haussant les épaules.
– C'est gentil, mais nous aurions été enchanté d'avoir Misha avec nous, intervint Roza.
– Et qu'est-ce qui vous empêchait de venir me chercher, hein ? demanda Misha.
Vlad se mordit la joue pour ne pas éclater de rire. Son fils était impayable.
– Je suppose que vous vous sentez pris au piège, mais, franchement, discuter, cela n'engage à rien, si ?
Vlad fut obligé d'admettre que non. Pauline était l'ennemi à abattre, car elle se mêlait de ce qui ne la regardait pas. Roza, elle, avait bien le droit de vouloir faire des rencontres pour se trouver quelqu'un.
Tout en restant sur ses gardes, Vlad fit la conversation avec la jeune femme et fut amené à reconnaître qu'elle était une interlocutrice agréable. C'était une auditrice attentive et en même temps, elle n'hésitait pas à parler d'elle-même, se mettant en scène avec beaucoup d'humour. Qui plus est, elle était jolie, ce qui ne gâtait rien. Vlad n'avait pu s'empêcher d'être troublé en remarquant que le haut échancré de Roza laissait voir la naissance de sa poitrine.
Son déplaisir d'avoir été coincé par Pauline finit par s'estomper, et il était presque l'heure du goûter quand il annonça qu'il était vraiment temps pour lui de partir.
– Pourquoi ne nous reverrions-nous pas dans un autre cadre ? proposa Roza.
Vlad ne sut quoi répondre, bêtement surpris par l'invitation. Oui, Roza était charmante et excitante, mais elle n'était pas fascinante comme avait pu l'être Katia... ou émouvante comme l'était Ludovic. Même s'il la revoyait, il était peu probable qu'elle lui inspire un jour autre chose qu'une simple sympathie. Et pour le coup, répondre positivement, c'était prendre un engagement.
– Désolé, mais c'est non.
– Oh ! Et pourquoi ça ? J'ai adoré discuter avec vous. J'aimerai faire plus ample connaissance.
Elle posa une main sur son avant bras, l'air très déçu. Vlad hésita. Il avait peut-être tort de ne pas lui donner sa chance.
A ce moment-là, la porte du salon s'ouvrit en grand et Misha débarqua, sa grand-mère toute essoufflée derrière lui.
– Papa ! Je savais bien que tu étais encore là ! Mamie, elle disait que tu étais déjà reparti, mais moi, je savais bien que tu serais pas rentré à la maison sans me dire au revoir.
– Et tu avais raison, répondit Vlad en lançant un regard noir à sa belle-mère.
– Je voulais juste que vous puissiez bavarder tranquillement, Roza et toi, déclara Pauline en haussant les épaules.
– C'est gentil, mais nous aurions été enchanté d'avoir Misha avec nous, intervint Roza.
– Et qu'est-ce qui vous empêchait de venir me chercher, hein ? demanda Misha.
Vlad se mordit la joue pour ne pas éclater de rire. Son fils était impayable.
3 commentaires:
Oh oh heureusement que Ludovic n'est pas là pour voir Vlad et Roza papoter ensemble, il aurait été peiné et jaloux ^^
Merci pour l'épisode, je te souhaite de passer un bon week-end et vivement la suite :)
Heureusement que Ludovic n'est pas là, oui... mais il ne va pas tarder à rentrer de vacances, héhé
Bon week-end à toi également !
Vivement que ludovique rentre, roza a pas le droit de toucher a vlad grrrr !!!!
Merci pour l'episode, bon week end a vous deux ^^
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