La vue de Ludovic dont le regard étincelait de désir calma son début d'excitation. Il ne pouvait pas s'abandonner dans les bras d'un homme... ou il ne voulait pas ? Ce n'était pas le souvenir de Katia qui le retenait, car il était persuadé qu'elle n'aurait souhaitée que son bonheur, mais bien une question de désir. Et en même temps, s'il refusant de voir la réalité, gardant les yeux fermés, il lui était aisé d'avoir une érection sous la main de Ludovic.
Ce dernier s'était immobilisé, l'air partagé entre tristesse et espoir, un mélange auquel Vlad ne sut pas résister. Il referma ses paupières, en une invitation muette à ce que Ludovic reprenne ses caresses.
De nouveau, une langue brûlante vint se mêler à la sienne tandis qu'à nouveau des doigts montaient et descendaient sur son pénis, l'excitant lentement, mais sûrement. La respiration de Vlad s'accéléra. Cela faisait si longtemps que quelqu'un ne l'avait pas embrassé et touché ainsi. Il poussa un léger râle et éjacula.
Il rouvrit ensuite lentement les yeux et se retrouva assis dans la cuisine, le souffle court, son pantalon déboutonné, son caleçon maculé de sperme devant un homme en érection qui le couvait des yeux. Il aurait aimé se cacher dans un trou de souris, mais c'était impossible, alors il affronta la situation.
– Nous devrions arrêter là. Je ne nie pas que vous... tu... aies réussi à m'exciter et me donner du plaisir, mais je n'éprouve pas de désir pour toi, déclara-t-il d'une voix mal assurée. Et ce, même si j'apprécie énormément ta compagnie, ajouta-t-il, en soupirant.
– J'ai assez de désir pour deux. Même si tu n'as pas envie de me caresser, moi je brûle de te... toucher.
Vlad se demanda ce que cachait l'hésitation de Ludovic quant au choix du verbe, mais décida qu'il ne valait mieux pas le savoir. Il tenta de le décourager.
– Cela ne changera rien au fond du problème.
– Peut-être, mais cela me rendra heureux.
C'était un argument de poids, mais Vlad essaya une fois encore de lui faire comprendre que c'était une mauvaise idée qu'ils aillent plus loin.
– Même si je te laisse faire, je penserai à Katia.
– Je comprends et je l'accepte.
L'obstination de Ludovic était impressionnante et Vlad ne trouva plus rien à objecter. Il avait soif de chaleur humaine. C'était une chose que les plaisirs solitaires ne pouvaient donner.
– Allons nous coucher, répondit-il.
En silence, ils sortirent de la cuisine, grimpèrent les escaliers et pénètrent dans la chambre.
Ce dernier s'était immobilisé, l'air partagé entre tristesse et espoir, un mélange auquel Vlad ne sut pas résister. Il referma ses paupières, en une invitation muette à ce que Ludovic reprenne ses caresses.
De nouveau, une langue brûlante vint se mêler à la sienne tandis qu'à nouveau des doigts montaient et descendaient sur son pénis, l'excitant lentement, mais sûrement. La respiration de Vlad s'accéléra. Cela faisait si longtemps que quelqu'un ne l'avait pas embrassé et touché ainsi. Il poussa un léger râle et éjacula.
Il rouvrit ensuite lentement les yeux et se retrouva assis dans la cuisine, le souffle court, son pantalon déboutonné, son caleçon maculé de sperme devant un homme en érection qui le couvait des yeux. Il aurait aimé se cacher dans un trou de souris, mais c'était impossible, alors il affronta la situation.
– Nous devrions arrêter là. Je ne nie pas que vous... tu... aies réussi à m'exciter et me donner du plaisir, mais je n'éprouve pas de désir pour toi, déclara-t-il d'une voix mal assurée. Et ce, même si j'apprécie énormément ta compagnie, ajouta-t-il, en soupirant.
– J'ai assez de désir pour deux. Même si tu n'as pas envie de me caresser, moi je brûle de te... toucher.
Vlad se demanda ce que cachait l'hésitation de Ludovic quant au choix du verbe, mais décida qu'il ne valait mieux pas le savoir. Il tenta de le décourager.
– Cela ne changera rien au fond du problème.
– Peut-être, mais cela me rendra heureux.
C'était un argument de poids, mais Vlad essaya une fois encore de lui faire comprendre que c'était une mauvaise idée qu'ils aillent plus loin.
– Même si je te laisse faire, je penserai à Katia.
– Je comprends et je l'accepte.
L'obstination de Ludovic était impressionnante et Vlad ne trouva plus rien à objecter. Il avait soif de chaleur humaine. C'était une chose que les plaisirs solitaires ne pouvaient donner.
– Allons nous coucher, répondit-il.
En silence, ils sortirent de la cuisine, grimpèrent les escaliers et pénètrent dans la chambre.
3 commentaires:
Merci pour cet épisode ^^
On peut dire que la mayonnaise est bien montée lol
Très belle scène de cuisine ^o^ et contente que mes commentaires te plaisent :)
Je trouve qu'encourager les personnes qui ont du talent est une bonne chose ^____^
J'ai lu toutes tes histoires ellesont fantastiques ^^ et je pense comme jeckyll donc je vais moi aussi essayer de t'encourrager du mieux que je peux =)
Par contre je ne peux pas acheter sur internet alors j'aimerais savoir ou trouver tes livres s'il te plait.
En tout cas merci de nous faire partager ces belles histoires.
Je suis contente que tu aies aimé mes histoires :)
Par contre, mes livres ne peuvent s'acheter que sur internet.
Enregistrer un commentaire