Quand Vlad émergea, il était 9 heures et quart du matin. Encore ensommeillé, il s'étira en baillant et se força à se lever, sachant que Misha devait l'attendre pour petit déjeuner. Il attrapa son peignoir accroché derrière la porte et traversa le couloir pour dire bonjour à son fils.
Il toqua et entra. Misha lisait tranquillement un magazine. Cependant, il se dépêcha de le poser et de bondir hors du lit en voyant son père.
– T'as dormi longtemps, j'ai faim, moi, décréta-t-il d'un ton accusateur.
– Cela m'a fatigué de porter le sapin et tout et tout hier, je ne suis plus jeune et débordant d'énergie comme toi.
– Tu dis n'importe quoi ! Je te parie que M.Yamatatomo, lui, il est en forme et debout depuis une heure.
– Je ne parierai pas à ta place, répliqua Vlad en essayant d'imaginer quelle tête Ludovic pouvait avoir au réveil.
Ses cheveux noir de jais, naturellement ébouriffés, devaient être tout fou sur sa tête et ses joues légèrement bronzées, marbrées par les plis du drap... Ou bien, Misha avait raison, et son professeur revenait de son jogging matinal, à peine essoufflé, un croissant à la main et une baguette sous le bras. Katia, elle, était du matin. C'était d'ailleurs elle qui trouvait le courage de sortir le dimanche matin pour chercher du pain frais à la boulangerie.
Tout en mangeant leur petit déjeuner composé de biscottes à la confiture et de lait chaud, ils parlèrent de ce qu'ils allait faire de leur dimanche.
Vlad qui avait été très occupé avec son travail ces derniers temps, se mit volontiers à la disposition de Misha pour la journée. Et c'est ainsi, qu'après leurs toilettes respectives, il se retrouva à jouer à « Qui perd gagne » à dix heures tapantes.
Ils étaient donc en pleine partie quand le téléphone fixe sonna, une demi-heure plus tard. Malgré les protestations de Misha qui n'était pas content que le jeu soit interrompu, Vlad alla décrocher. Cependant, à peine l'eut-il fait qu'il le regretta. Cette voix acidulée reconnaissable entre toutes, était celle de la mère de Katia.
– Ah ! Vlad ! C'est Pauline à l'appareil. Je te contacte à propos du 24. Je sais que toi et Misha, vous envisagez de passer Noël seuls tout les deux. Mais vraiment, c'est impensable, ce serait trop triste. Il faut absolument que vous veniez. J'ai invité les Rigaldi et les Matuld, des gens tout à fait charmants à faire la fête avec nous. La fille des Gloppos, Roza sera là aussi, ses parents ne pouvant pas rentrer en France cette année. Non, vraiment, il faut que tu viennes.
Il toqua et entra. Misha lisait tranquillement un magazine. Cependant, il se dépêcha de le poser et de bondir hors du lit en voyant son père.
– T'as dormi longtemps, j'ai faim, moi, décréta-t-il d'un ton accusateur.
– Cela m'a fatigué de porter le sapin et tout et tout hier, je ne suis plus jeune et débordant d'énergie comme toi.
– Tu dis n'importe quoi ! Je te parie que M.Yamatatomo, lui, il est en forme et debout depuis une heure.
– Je ne parierai pas à ta place, répliqua Vlad en essayant d'imaginer quelle tête Ludovic pouvait avoir au réveil.
Ses cheveux noir de jais, naturellement ébouriffés, devaient être tout fou sur sa tête et ses joues légèrement bronzées, marbrées par les plis du drap... Ou bien, Misha avait raison, et son professeur revenait de son jogging matinal, à peine essoufflé, un croissant à la main et une baguette sous le bras. Katia, elle, était du matin. C'était d'ailleurs elle qui trouvait le courage de sortir le dimanche matin pour chercher du pain frais à la boulangerie.
Tout en mangeant leur petit déjeuner composé de biscottes à la confiture et de lait chaud, ils parlèrent de ce qu'ils allait faire de leur dimanche.
Vlad qui avait été très occupé avec son travail ces derniers temps, se mit volontiers à la disposition de Misha pour la journée. Et c'est ainsi, qu'après leurs toilettes respectives, il se retrouva à jouer à « Qui perd gagne » à dix heures tapantes.
Ils étaient donc en pleine partie quand le téléphone fixe sonna, une demi-heure plus tard. Malgré les protestations de Misha qui n'était pas content que le jeu soit interrompu, Vlad alla décrocher. Cependant, à peine l'eut-il fait qu'il le regretta. Cette voix acidulée reconnaissable entre toutes, était celle de la mère de Katia.
– Ah ! Vlad ! C'est Pauline à l'appareil. Je te contacte à propos du 24. Je sais que toi et Misha, vous envisagez de passer Noël seuls tout les deux. Mais vraiment, c'est impensable, ce serait trop triste. Il faut absolument que vous veniez. J'ai invité les Rigaldi et les Matuld, des gens tout à fait charmants à faire la fête avec nous. La fille des Gloppos, Roza sera là aussi, ses parents ne pouvant pas rentrer en France cette année. Non, vraiment, il faut que tu viennes.
2 commentaires:
Mdr la belle-mère casse-pied rentre en scène lol
Merci pour cet épisode sur la vie quotidienne de Vlad et Misha ^^
Hâte de lire la suite :)
La belle-mère est pénible, en effet, et encore, tu n'as pas tout vu ! :op
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