Une fois le petit garçon bordé, Vlad conduisit Ludovic dans sa chambre. Contrairement aux autres pièces de la maison que Ludovic avait pu voir, la couleur des murs n'était pas vive et chaude, mais d'un bleu pâle, doux et apaisant. Le lit, encadré de deux tables de chevet en pin, occupait la majeure partie de l'espace. Au fond, une porte s'ouvrait sur un cabinet de toilette avec un lavabo surmonté d'une glace et un minuscule placard. La moquette était bouclée, mouchetée de gris.
Ludovic, mal à l'aise, portait une attention plus grande que nécessaire à ce qui l'entourait, évitant ainsi de croiser le regard de Vlad. Il savait qu'il n'était que là pour dormir et rien d'autre, mais il se sentait nerveux.
– Je suis désolé, mais je n'ai pas de pyjama à vous prêter. Je n'en porte jamais, annonça Vlad.
Ludovic arrêta de laisser vagabonder son regard et se figea sur place. Une vision fugitive de Vlad, nu entre les draps, venait de lui traverser l'esprit. Il déglutit, se demandant s'il réussirait à garder le contrôle de lui-même.
– Ce n'est pas grave. Chez moi, je dors en sous-vêtement, répondit-il d'une voix rauque.
– Je vais vous passer une brosse à dent neuve, déclara Vlad, en allant chercher dans le placard l'objet en question.
Il la tendit à Ludovic, l'invitant à utiliser le cabinet en premier. Ludovic ne discuta pas. A l'abri derrière la porte, il s'efforça de retrouver son calme, se brossa les dents et se déshabilla, content d'avoir choisi de porter un caleçon ample plutôt qu'un slip.
Quand il ressortit, Vlad lui indiqua le côté droit du lit, puis entra à son tour dans le réduit. Ludovic se glissa sous la couette bleue nuit et la remonta jusqu'au menton, tout en se disant que la situation était surréaliste.
Le cœur battant, il attendit que Vlad le rejoigne. Quand la porte du cabinet de toilettes s'ouvrit, il retint son souffle. Il eu le temps d'apercevoir que Vlad portait un caleçon blanc moulant avant que ce dernier n'éteigne la lumière, plongeant la chambre dans l'obscurité.
– J'espère que vous avez passé une bonne soirée, déclara Vlad en se couchant à son tour dans le lit.
– Excellente, murmura Ludovic, essayant d'ignorer son érection grandissante.
Vlad lui souhaita un « bonne nuit » auquel Ludovic fit écho alors qu'il doutait fortement parvenir à dormir.
Dans le silence de la nuit, le bruit de la respiration de Vlad lui paraissait terriblement érotique et il serra le poing pour résister à l'envie qu'il avait d'allonger le bras pour le caresser. C'était douloureux que Vlad soit à la fois, si proche et si loin, triste de penser qu'il ne se rendait sûrement pas compte de la torture que c'était pour Ludovic de ne pouvoir le toucher.
– Vlad ? appela-t-il d'un ton interrogateur, incapable de rester plus longtemps immobile dans le silence.
Ludovic, mal à l'aise, portait une attention plus grande que nécessaire à ce qui l'entourait, évitant ainsi de croiser le regard de Vlad. Il savait qu'il n'était que là pour dormir et rien d'autre, mais il se sentait nerveux.
– Je suis désolé, mais je n'ai pas de pyjama à vous prêter. Je n'en porte jamais, annonça Vlad.
Ludovic arrêta de laisser vagabonder son regard et se figea sur place. Une vision fugitive de Vlad, nu entre les draps, venait de lui traverser l'esprit. Il déglutit, se demandant s'il réussirait à garder le contrôle de lui-même.
– Ce n'est pas grave. Chez moi, je dors en sous-vêtement, répondit-il d'une voix rauque.
– Je vais vous passer une brosse à dent neuve, déclara Vlad, en allant chercher dans le placard l'objet en question.
Il la tendit à Ludovic, l'invitant à utiliser le cabinet en premier. Ludovic ne discuta pas. A l'abri derrière la porte, il s'efforça de retrouver son calme, se brossa les dents et se déshabilla, content d'avoir choisi de porter un caleçon ample plutôt qu'un slip.
Quand il ressortit, Vlad lui indiqua le côté droit du lit, puis entra à son tour dans le réduit. Ludovic se glissa sous la couette bleue nuit et la remonta jusqu'au menton, tout en se disant que la situation était surréaliste.
Le cœur battant, il attendit que Vlad le rejoigne. Quand la porte du cabinet de toilettes s'ouvrit, il retint son souffle. Il eu le temps d'apercevoir que Vlad portait un caleçon blanc moulant avant que ce dernier n'éteigne la lumière, plongeant la chambre dans l'obscurité.
– J'espère que vous avez passé une bonne soirée, déclara Vlad en se couchant à son tour dans le lit.
– Excellente, murmura Ludovic, essayant d'ignorer son érection grandissante.
Vlad lui souhaita un « bonne nuit » auquel Ludovic fit écho alors qu'il doutait fortement parvenir à dormir.
Dans le silence de la nuit, le bruit de la respiration de Vlad lui paraissait terriblement érotique et il serra le poing pour résister à l'envie qu'il avait d'allonger le bras pour le caresser. C'était douloureux que Vlad soit à la fois, si proche et si loin, triste de penser qu'il ne se rendait sûrement pas compte de la torture que c'était pour Ludovic de ne pouvoir le toucher.
– Vlad ? appela-t-il d'un ton interrogateur, incapable de rester plus longtemps immobile dans le silence.
1 commentaire:
Nyaaaaa trop trop bien cet épisode merci ^^
Ok il ne se passe pas grand chose mais c'est tellement chargé en tension érotique lol
Vivement la suite ^_______^
Bon week-end à toi :)
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