Alex avait de l’argent donné par son créateur, mais Val refusa qu’il paye son billet en plus du sien. C’était une situation typique de rendez-vous.
— D’accord, mais dans ce cas, tu m’offres ta place et moi, la tienne, déclara Alex, sans insister.
L’hôtesse de caisse dit que c’était trop adorable tandis que le client derrière eux, grommelait que c’était stupide. Mais tout ce qui comptait, c’était la réaction de Val et, d’après les commissures relevées de ses lèvres, il partageait plutôt l’avis de la jeune femme à la caisse que celui de l’homme dans la file.
La salle n’était pas très remplie, leur laissant l’embarras du choix pour s’asseoir. Val le tira par la manche pour qu’ils s’installent sur le côté, ce qui n’était pas l’angle de vue optimale selon Alex.
— Au centre, ce ne serait pas mieux ?
— C’est moins tranquille, répliqua Val tout bas.
A l’écran, de gros robots gris ne tardèrent pas à ravager des villes entières, massacrant leurs habitants.
Val était captivé, même s’il le regardait de temps à autre, pressant sa main qu’il avait attrapée au début de la séance.
A la fin, le héros humain réussit à arrêter les robots, les détruisant tous au moyen d’un virus informatique.
— Ça t’a plu ? demanda Val tandis que des noms défilaient à l’écran et que les autres spectateurs commençaient à quitter la salle.
Répondre à ce genre de questions était complexe pour Alex. Il biaisa :
— Je ne comprends pas comment les robots ont pu s’attaquer aux humains. N’avaient-ils pas été programmés pour être inoffensifs ?
— L’histoire ne le dit pas, mais ceux qui les avaient fabriqués n’avaient à priori pas pensé à utiliser les lois de la robotique d’Isaac Asimov !
Le nom ne figurait pas dans la base de données d’Alex. Il faudrait qu’il effectue des recherches. En attendant, Val était là.
— Qui ?
— Tu ne le connais pas ? Cet écrivain est brillant !
Tandis qu’ils attendaient le bus qui les rapprocherait de chez Val où ils devaient passer le reste de l’après-midi, Val parla de nouvelles et de romans d’Isaac Asimov pendant 4 minutes avant de s’interrompre :
— Pardon, je me suis emballé. Je ne sais même pas si tu aimes lire !
— Tu ferais un bon cadeau, répondit Alex. Peux-tu me prêter une des histoires d’Isaac Asimov ? ajouta-t-il.
— D’accord, mais dans ce cas, tu m’offres ta place et moi, la tienne, déclara Alex, sans insister.
L’hôtesse de caisse dit que c’était trop adorable tandis que le client derrière eux, grommelait que c’était stupide. Mais tout ce qui comptait, c’était la réaction de Val et, d’après les commissures relevées de ses lèvres, il partageait plutôt l’avis de la jeune femme à la caisse que celui de l’homme dans la file.
La salle n’était pas très remplie, leur laissant l’embarras du choix pour s’asseoir. Val le tira par la manche pour qu’ils s’installent sur le côté, ce qui n’était pas l’angle de vue optimale selon Alex.
— Au centre, ce ne serait pas mieux ?
— C’est moins tranquille, répliqua Val tout bas.
A l’écran, de gros robots gris ne tardèrent pas à ravager des villes entières, massacrant leurs habitants.
Val était captivé, même s’il le regardait de temps à autre, pressant sa main qu’il avait attrapée au début de la séance.
A la fin, le héros humain réussit à arrêter les robots, les détruisant tous au moyen d’un virus informatique.
— Ça t’a plu ? demanda Val tandis que des noms défilaient à l’écran et que les autres spectateurs commençaient à quitter la salle.
Répondre à ce genre de questions était complexe pour Alex. Il biaisa :
— Je ne comprends pas comment les robots ont pu s’attaquer aux humains. N’avaient-ils pas été programmés pour être inoffensifs ?
— L’histoire ne le dit pas, mais ceux qui les avaient fabriqués n’avaient à priori pas pensé à utiliser les lois de la robotique d’Isaac Asimov !
Le nom ne figurait pas dans la base de données d’Alex. Il faudrait qu’il effectue des recherches. En attendant, Val était là.
— Qui ?
— Tu ne le connais pas ? Cet écrivain est brillant !
Tandis qu’ils attendaient le bus qui les rapprocherait de chez Val où ils devaient passer le reste de l’après-midi, Val parla de nouvelles et de romans d’Isaac Asimov pendant 4 minutes avant de s’interrompre :
— Pardon, je me suis emballé. Je ne sais même pas si tu aimes lire !
— Tu ferais un bon cadeau, répondit Alex. Peux-tu me prêter une des histoires d’Isaac Asimov ? ajouta-t-il.
2 commentaires:
Merci pour cet épisode, on peux dire que leur rendez-vous est une réussite pour le moment ^^
J'espère que rien ne viendra gâcher ce moment
Hâte de lire la suite :)
Eh bien, il va bien se passer un truc, mais je ne dirais pas que ça va gâcher le rendez-vous...
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