— Tu le connais à peine ! Je veux bien que sa plastique parfaite t’ait fait craquer, mais ne me fais pas croire que tu as déjà des sentiments pour ce… pour lui ! s’écria Jason.
Le pauvre ne comprenait rien à rien et il croyait Valérian bien superficiel s’il s’imaginait qu’il sortait avec Alex uniquement pour son beau visage. Non, parce que si cela avait été juste cela, Jason aurait tout aussi bien fait l’affaire. Lui aussi était séduisant même s’il avait un nez moins droit, des dents moins blanches et une stature moins imposante que son frère. C’était surtout son caractère qui laissait désirer.
— Tu ferais mieux de rompre avec mon frère, décréta Jason.
C’était n’importe quoi, une rivalité déplacée entre frères...
— Ton histoire ne tient pas debout. Tu me me reproches de ne pas connaître ton frère, sans paraître réaliser que c’est en le fréquentant que j’apprendrai…
— Pas la peine d’être son petit ami pour cela. Tu pourrais te contenter d’être copain avec lui.
Était-il possible d’être aussi maladroit ? Plutôt que de l’énervement contre Jason et ses bêtises, c’était de la pitié qu’il éveillait chez Valérian.
Alex revint vers eux à ce moment.
— 180 secondes se sont écoulées, affirma-t-il.
— Oui, oui, soupira Jason avant de s’éloigner.
Valérian hésita sur la conduite à tenir : devait-il ou non prévenir Alex que Jason avait cherché à les séparer, mentionner ou non cette histoire d’impuissance… ? Si Jason n’avait pas menti, cela méritait discussion, mais entre deux cours, au lycée, ce n’était pas ni le bon lieu, ni le bon moment.
— Jason ne t’a rien dit de blessant ? demanda Alex.
— Non, pas vraiment… Mais la conversation a été pour le moins bizarre, alors pour une autre fois, ne me laisse pas seul avec lui.
— Je verrai ce que je peux faire pour éviter ça, répondit Alex.
Sa réponse alambiquée fit sourire Valérian. Alex employait souvent de drôles de formules.
— Oublions ça, voudrais-tu venir chez moi samedi ou dimanche ? Enfin, si cela ne te fait pas peur de rencontrer mes parents et ma sœur...
— Oui. Nous pourrions aussi aller au cinéma, si tu en as envie ?
L’invitation fit plaisir à Valérian.
Rompre avec un petit ami en or comme ça… Jason était fou ! Il serait toujours temps de s’inquiéter de ce qu’ils pouvaient faire (ou pas) ensemble au lit...
Le pauvre ne comprenait rien à rien et il croyait Valérian bien superficiel s’il s’imaginait qu’il sortait avec Alex uniquement pour son beau visage. Non, parce que si cela avait été juste cela, Jason aurait tout aussi bien fait l’affaire. Lui aussi était séduisant même s’il avait un nez moins droit, des dents moins blanches et une stature moins imposante que son frère. C’était surtout son caractère qui laissait désirer.
— Tu ferais mieux de rompre avec mon frère, décréta Jason.
C’était n’importe quoi, une rivalité déplacée entre frères...
— Ton histoire ne tient pas debout. Tu me me reproches de ne pas connaître ton frère, sans paraître réaliser que c’est en le fréquentant que j’apprendrai…
— Pas la peine d’être son petit ami pour cela. Tu pourrais te contenter d’être copain avec lui.
Était-il possible d’être aussi maladroit ? Plutôt que de l’énervement contre Jason et ses bêtises, c’était de la pitié qu’il éveillait chez Valérian.
Alex revint vers eux à ce moment.
— 180 secondes se sont écoulées, affirma-t-il.
— Oui, oui, soupira Jason avant de s’éloigner.
Valérian hésita sur la conduite à tenir : devait-il ou non prévenir Alex que Jason avait cherché à les séparer, mentionner ou non cette histoire d’impuissance… ? Si Jason n’avait pas menti, cela méritait discussion, mais entre deux cours, au lycée, ce n’était pas ni le bon lieu, ni le bon moment.
— Jason ne t’a rien dit de blessant ? demanda Alex.
— Non, pas vraiment… Mais la conversation a été pour le moins bizarre, alors pour une autre fois, ne me laisse pas seul avec lui.
— Je verrai ce que je peux faire pour éviter ça, répondit Alex.
Sa réponse alambiquée fit sourire Valérian. Alex employait souvent de drôles de formules.
— Oublions ça, voudrais-tu venir chez moi samedi ou dimanche ? Enfin, si cela ne te fait pas peur de rencontrer mes parents et ma sœur...
— Oui. Nous pourrions aussi aller au cinéma, si tu en as envie ?
L’invitation fit plaisir à Valérian.
Rompre avec un petit ami en or comme ça… Jason était fou ! Il serait toujours temps de s’inquiéter de ce qu’ils pouvaient faire (ou pas) ensemble au lit...
3 commentaires:
Alex et Valérian sont si mignon ensemble ^__^
Pour cette fois ci Jason n'a pas pu interférer entre eux mais je suis sûre qu'il n'en a pas fini avec eux pour les faire rompre ^^"
Merci pour l'épisode, vivement la suite :D
J'ai un peu de peine pour Jason, la façon dont il est perçu.
Après tout là vouloir les faire rompre c'est tout de même parti d'un bon sentiment envers Valérian.
Merci pour cette suite.
Je confirme que Jason est plutôt à plaindre... Mais il va falloir qu'il comprenne qu'Alex n'est pas juste une machine...
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