— Il y a quand même un côté cocasse à ce qu’après avoir empêché Marin de tout me raconter par le menu, c’est toi qui t’y colles, fit remarquer Blaise.
— Je n’en serais pas là si tu n’avais pas cru savoir mieux que tout le monde.
— Désolé.
— Non, c’est bon. Tu apportes une dynamique nouvelle et bienvenue à notre groupe. Nous avons enfin pu nous débarrasser d’une partie de nos étouffants ennemis grâce à toi... Tu me montres aussi une voie nouvelle. Ce que vous désirez Huo et toi m’a conduit à réaliser que Gaïus et moi, nous avons renoncé trop vite. Nous ne sommes pas rendu compte qu’avoir un troisième partenaire, voire plus, pourrait résoudre notre problème.
Blaise avait du mal à en croire ses oreilles : Céleste semblait vouloir leur donner une chance. Tout à coup, il comprenait mieux pourquoi il lui avait raconté les débuts de sa relation avec Gaïus.
— Tu veux dire que…
Il n’osa finir sa phrase.
— Oui, mais avant tout de choses, je parlerai à Gaïus.
Si Blaise n’avait pas été menotté, il l’aurait pris dans ses bras et serré contre lui. Après quoi, il aurait couru voir Huo pour lui annoncer la nouvelle.
— Je suppose que tu ne vas pas vouloir me détacher, même si je contiens la bête, à défaut de l’avoir empêchée complètement de se manifester.
Gaïus grondait toujours dans son crâne.
— Tu devines bien. La position inconfortable dans laquelle tu trouves devrais t’aider à ne pas t’endormir et t’apprendre peut-être à réfléchir avant d’agir.
Blaise émit un grognement, sorte d’écho déformé à ceux émis par Gaïus.
Ils continuèrent à parler, Céleste questionnant Blaise sur sa vie.
L’ange compatit avec la manière dont ses parents l’avait rejeté.
Ceux de Gaïus comme les siens avaient été limite indifférents à la nouvelle de leur homosexualité. C’était des gens occupés par leurs affaires.
Quand la nuit s’acheva, Blaise défusionna avec le colosse qui avait hurlé à la lune toute la nuit durant.
Blaise était épuisé, mais ravi de s’être rapproché de Céleste, et de pouvoir espérer être avec lui et Gaïus comme il était avec Huo.
En baillant à s’en décrocher la mâchoire, Céleste le raccompagna à sa chambre et le borda dans son lit de poupée qui avait été placé sur la table de nuit, à côté du grand où Huo dormait, roulé en boule.
— Dors-bien, murmura l’ange.
Et il s’en fut, refermant sans bruit la porte derrière lui.
— Je n’en serais pas là si tu n’avais pas cru savoir mieux que tout le monde.
— Désolé.
— Non, c’est bon. Tu apportes une dynamique nouvelle et bienvenue à notre groupe. Nous avons enfin pu nous débarrasser d’une partie de nos étouffants ennemis grâce à toi... Tu me montres aussi une voie nouvelle. Ce que vous désirez Huo et toi m’a conduit à réaliser que Gaïus et moi, nous avons renoncé trop vite. Nous ne sommes pas rendu compte qu’avoir un troisième partenaire, voire plus, pourrait résoudre notre problème.
Blaise avait du mal à en croire ses oreilles : Céleste semblait vouloir leur donner une chance. Tout à coup, il comprenait mieux pourquoi il lui avait raconté les débuts de sa relation avec Gaïus.
— Tu veux dire que…
Il n’osa finir sa phrase.
— Oui, mais avant tout de choses, je parlerai à Gaïus.
Si Blaise n’avait pas été menotté, il l’aurait pris dans ses bras et serré contre lui. Après quoi, il aurait couru voir Huo pour lui annoncer la nouvelle.
— Je suppose que tu ne vas pas vouloir me détacher, même si je contiens la bête, à défaut de l’avoir empêchée complètement de se manifester.
Gaïus grondait toujours dans son crâne.
— Tu devines bien. La position inconfortable dans laquelle tu trouves devrais t’aider à ne pas t’endormir et t’apprendre peut-être à réfléchir avant d’agir.
Blaise émit un grognement, sorte d’écho déformé à ceux émis par Gaïus.
Ils continuèrent à parler, Céleste questionnant Blaise sur sa vie.
L’ange compatit avec la manière dont ses parents l’avait rejeté.
Ceux de Gaïus comme les siens avaient été limite indifférents à la nouvelle de leur homosexualité. C’était des gens occupés par leurs affaires.
Quand la nuit s’acheva, Blaise défusionna avec le colosse qui avait hurlé à la lune toute la nuit durant.
Blaise était épuisé, mais ravi de s’être rapproché de Céleste, et de pouvoir espérer être avec lui et Gaïus comme il était avec Huo.
En baillant à s’en décrocher la mâchoire, Céleste le raccompagna à sa chambre et le borda dans son lit de poupée qui avait été placé sur la table de nuit, à côté du grand où Huo dormait, roulé en boule.
— Dors-bien, murmura l’ange.
Et il s’en fut, refermant sans bruit la porte derrière lui.
3 commentaires:
Quel épisode touchant on se rend compte que finalement Céleste et Gaïus auraient aussi des sentiments pour chacun de leur compagnon même si Marin n'a pas été évoqué et c'est trop mignon qu'il est bordé Blaise dans le lit je l'imaginais trop manquait plus qu'un petit bisous ^^
Merci pour l'épisode, je suis curieuse de voir comment Céleste va aborder le sujet avec Gaïus et ce qu'il va en penser...
Hâte de lire a suite XD
Super !
Plus qu'à convaincre Marin. Ce qui ne devrait plus être trop compliqué.
Merci pour cette suite. ^^
Ce n'est pas encore fait pour Gaïus et Céleste, mais oui, c'est en bonne voie... Excepté que... Arh, je ne peux rien dire. ;)
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