— Alors ? demanda Wyatt.
— Alors quoi ?
— Une préférence ?
Les deux avaient été bien. Le pénétrer avait été meilleur, mais il n’osa le dire. Une fois, c’était trop rapide pour se décider.
— Et toi ? répliqua-t-il.
— Il faudra que l’on recommence pour que je sache vraiment.
Cela convenait parfaitement à Kembou.
— Tu es si beau, murmura-t-il, le cœur débordant d’amour.
— Et toi, tu es superbe, dit Wyatt.
Kembou lui donna un léger baiser sur les lèvres suivi d’un sur l’épaule.
Il avait peine à croire que ça y est, ils avaient perdu tous les deux pucelages et virginités. Peut-être avaient-il brûlé les étapes, mais ce n’était que le début.
Ils restèrent encore un petit moment allongés côte à côte, puis Wyatt suggéra qu’ils se douchent.
— Ensemble ? voulut savoir Kembou.
— Pervers ! s’écria Wyatt, d’une façon qui ne laissait douter qu’il plaisantait.
Il avait cependant à priori prévu qu’ils y aillent l’un après l’autre. Ce serait pour une autre fois.
Wyatt se mit debout et grimaça.
Kembou remarqua alors les marques rouges sur ses cuisses. C’étaient quand il l’avait agrippé pour le pénétrer.
— Désolé.
— Mais non, ça va. Ne t’inquiète pas. Ce n’est rien. Et j’ai aimé comme tu as dû remarqué, ajouta Wyatt en rosissant.
Ils ne parlaient pas de la même chose, réalisa Kembou, mais il ne le corrigea pas, tout à coup certain que son précieux ami ne lui en voudrait pas.
Wyatt gagna la salle de bain d’une démarche de canard et Kembou ne put contenir son hilarité.
— Lève-toi, on verra comment tu t’en sors ! le défia Wyatt.
Kembou comprit en effet dès qu’il eut fait un pas et ce fut au tour de Wyatt de le taquiner. Même s’ils étaient désormais un couple, leur camaraderie ne s’étaient pas envolée pour autant et c’était magique.
Kembou n’avait jamais été si heureux de sa vie. Ils passèrent le reste de la journée à jouer, s’embrasser et bavarder.
Le soir, ils regardèrent un film d’action dont ils ratèrent un bon morceau, trop occuper à se frotter l’un contre l’autre.
Ils dormirent ensemble dans le lit trop petit pour deux et s’amusèrent tout le dimanche, Wyatt affirmant qu’il étudierait plus tard. Ils s’en tinrent toutefois aux baisers et caresses, trop moulus pour retenter l’expérience du sexe anal.
C’est avec beaucoup de difficulté qu’ils se quittèrent, s’arrachant aux bras l’un de l’autre avec peine.
— Alors quoi ?
— Une préférence ?
Les deux avaient été bien. Le pénétrer avait été meilleur, mais il n’osa le dire. Une fois, c’était trop rapide pour se décider.
— Et toi ? répliqua-t-il.
— Il faudra que l’on recommence pour que je sache vraiment.
Cela convenait parfaitement à Kembou.
— Tu es si beau, murmura-t-il, le cœur débordant d’amour.
— Et toi, tu es superbe, dit Wyatt.
Kembou lui donna un léger baiser sur les lèvres suivi d’un sur l’épaule.
Il avait peine à croire que ça y est, ils avaient perdu tous les deux pucelages et virginités. Peut-être avaient-il brûlé les étapes, mais ce n’était que le début.
Ils restèrent encore un petit moment allongés côte à côte, puis Wyatt suggéra qu’ils se douchent.
— Ensemble ? voulut savoir Kembou.
— Pervers ! s’écria Wyatt, d’une façon qui ne laissait douter qu’il plaisantait.
Il avait cependant à priori prévu qu’ils y aillent l’un après l’autre. Ce serait pour une autre fois.
Wyatt se mit debout et grimaça.
Kembou remarqua alors les marques rouges sur ses cuisses. C’étaient quand il l’avait agrippé pour le pénétrer.
— Désolé.
— Mais non, ça va. Ne t’inquiète pas. Ce n’est rien. Et j’ai aimé comme tu as dû remarqué, ajouta Wyatt en rosissant.
Ils ne parlaient pas de la même chose, réalisa Kembou, mais il ne le corrigea pas, tout à coup certain que son précieux ami ne lui en voudrait pas.
Wyatt gagna la salle de bain d’une démarche de canard et Kembou ne put contenir son hilarité.
— Lève-toi, on verra comment tu t’en sors ! le défia Wyatt.
Kembou comprit en effet dès qu’il eut fait un pas et ce fut au tour de Wyatt de le taquiner. Même s’ils étaient désormais un couple, leur camaraderie ne s’étaient pas envolée pour autant et c’était magique.
Kembou n’avait jamais été si heureux de sa vie. Ils passèrent le reste de la journée à jouer, s’embrasser et bavarder.
Le soir, ils regardèrent un film d’action dont ils ratèrent un bon morceau, trop occuper à se frotter l’un contre l’autre.
Ils dormirent ensemble dans le lit trop petit pour deux et s’amusèrent tout le dimanche, Wyatt affirmant qu’il étudierait plus tard. Ils s’en tinrent toutefois aux baisers et caresses, trop moulus pour retenter l’expérience du sexe anal.
C’est avec beaucoup de difficulté qu’ils se quittèrent, s’arrachant aux bras l’un de l’autre avec peine.
1 commentaire:
Merci pour l'épisode ^__^
C'est beau de les voir si complice et amoureux
Vivement le prochain épisode :)
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