— Comme je disais à Dominique, comment savoir, sans essayer ?
Kembou éprouva une bouffée de jalousie qu’il s’efforça de contenir : Wyatt avait bien le droit de discuter de choses intimes avec les personnes de son choix.
— Pas faux, répondit-il, plus sèchement qu’il ne l’aurait voulu.
— Content que tu sois d’accord avec moi parce que je te propose qu’on se prépare en même temps à la pénétration. Ce sera moins gênant ainsi, tu ne trouves pas ?
Il sembla à Kembou que cela ne résolvait pas vraiment le truc, mais il voulait bien.
Dans l’espace confiné, son pénis cherchait désespérément à se mette au garde-à-vous depuis un bon moment déjà.
Ils se déshabillèrent, Wyatt avec plus d’aisance que Kembou rendu maladroit dans son impatience mêlée de nervosité.
Cela aurait été plus simple s’ils avaient agi sous l’effet de la passion plutôt que de façon si préméditée. Enfin, s’il était honnête avec lui-même, il aurait été gêné de toute manière.
Une fois nus, ils s’installèrent en face l’un de l’autre sur la couette, jambes écartées et fesses relevées pour donner accès à l’autre. La posture n’était pas très confortable, mais cela n’empêchait pas Kembou d’être excité. Et apparemment, Wyatt non plus, ce qui était essentiel.
Wyatt versa généreusement du lubrifiant sur les doigts de Kembou avant d’en mettre dans la sienne.
Les mots étaient devenus superflus. Leurs mains se croisèrent et chacun badigeonna l’entrée de l’autre avant d’y introduire un doigt. Si Wyatt s’était informé avec à priori l’aide de Dominique, Kembou aussi. Il avait lu un certain nombre de textes sur internet sur le sexe anal et sur les manières de donner du plaisir à son partenaire en caressant la prostate.
Il tâtonna, mais sut qu’il avait trouvé la si sensible glande quand Wyatt se contracta autour de son doigt en émettant une légère plainte.
Kembou le regarda sans cesse de le toucher à l’intérieur : Wyatt, yeux écarquillés, se mordait la lèvre.
Kembou persévéra et soudain, la main de Wyatt quitta la raie de ses fesses et il se cambra. Kembou passa à deux doigts, puis trois, moment où il se mit à caresser le pénis de Wyatt.
Kembou éprouva une bouffée de jalousie qu’il s’efforça de contenir : Wyatt avait bien le droit de discuter de choses intimes avec les personnes de son choix.
— Pas faux, répondit-il, plus sèchement qu’il ne l’aurait voulu.
— Content que tu sois d’accord avec moi parce que je te propose qu’on se prépare en même temps à la pénétration. Ce sera moins gênant ainsi, tu ne trouves pas ?
Il sembla à Kembou que cela ne résolvait pas vraiment le truc, mais il voulait bien.
Dans l’espace confiné, son pénis cherchait désespérément à se mette au garde-à-vous depuis un bon moment déjà.
Ils se déshabillèrent, Wyatt avec plus d’aisance que Kembou rendu maladroit dans son impatience mêlée de nervosité.
Cela aurait été plus simple s’ils avaient agi sous l’effet de la passion plutôt que de façon si préméditée. Enfin, s’il était honnête avec lui-même, il aurait été gêné de toute manière.
Une fois nus, ils s’installèrent en face l’un de l’autre sur la couette, jambes écartées et fesses relevées pour donner accès à l’autre. La posture n’était pas très confortable, mais cela n’empêchait pas Kembou d’être excité. Et apparemment, Wyatt non plus, ce qui était essentiel.
Wyatt versa généreusement du lubrifiant sur les doigts de Kembou avant d’en mettre dans la sienne.
Les mots étaient devenus superflus. Leurs mains se croisèrent et chacun badigeonna l’entrée de l’autre avant d’y introduire un doigt. Si Wyatt s’était informé avec à priori l’aide de Dominique, Kembou aussi. Il avait lu un certain nombre de textes sur internet sur le sexe anal et sur les manières de donner du plaisir à son partenaire en caressant la prostate.
Il tâtonna, mais sut qu’il avait trouvé la si sensible glande quand Wyatt se contracta autour de son doigt en émettant une légère plainte.
Kembou le regarda sans cesse de le toucher à l’intérieur : Wyatt, yeux écarquillés, se mordait la lèvre.
Kembou persévéra et soudain, la main de Wyatt quitta la raie de ses fesses et il se cambra. Kembou passa à deux doigts, puis trois, moment où il se mit à caresser le pénis de Wyatt.
1 commentaire:
Une belle façon de découvrir ensemble leur sexualité :)
Hâte e lire la suite ^^
Enregistrer un commentaire