*
Wyatt savait bien qu’il exagérait. D’abord, il avait esquivé le baiser parce qu’il voulait qu’ils parlent avant tout, puis il avait réalisé qu’il avait blessé son ami, alors, il lui avait donné un petit bisou de rien du tout.
Après, il avait été surpris par l’intensité du baiser de Kembou, ce qui l’avait poussé à demander qu’ils prennent leur temps. Seulement, quand il avait repéré l’érection de Kembou, la curiosité l’avait emporté sur le reste.
Le pénis de Kembou, plus long et plus gros que le sien, tressaillit.
— Caresse-toi comme tu as déjà dû le faire en pensant à moi ou peut-être même devant une de mes photos, l’encouragea Wyatt.
Lui-même s’était souvent masturbé devant des filles dénudées devant son ordinateur.
— Non, je ne me suis jamais autorisé ça ! Je ne voulais pas trahir notre amitié !
Cela n’aurait rien retiré à Wyatt, mais c’était terriblement adorable. Il n’y en avait pas deux comme Kembou.
Son cœur se gonfla de tendresse et d’amour et sa main se referma sur sexe dressé de son ami - non, de son amoureux.
La respiration de Kembou eut un raté et si Wyatt l’entendit, c’est que lui-même avait retenu un instant son souffle.
Il fit preuve de douceur dans un premier temps avant d’y aller plus franchement. Kembou jouit aussitôt, en se mordant la lèvre, maculant les doigts de Wyatt de sperme chaud et collant.
C’était son tour d’être excité. Il ouvrit avec maladresse son jeans de sa main gauche.
Kembou écarquilla les yeux, puis l’aida à tirer sur son boxer blanc devenu rose, et dès que le membre de Wyatt fut visible, il se pencha et le prit dans sa bouche.
C’était incroyablement chaud. Et cette langue qui courait sur son gland…
Une plainte rauque échappa à Wyatt.
— Kem… le prévint-il.
Ce dernier ne s’écarta pas.
Wyatt éjacula et Kembou avala en partie avant de le relâcher et de se redresser. Il lui lança un rapide coup d’œil, clairement embarrassé, puis se leva et prit la direction de la salle de bain.
Encore un peu hébété, Wyatt le suivit avec un temps de retard. Un brin de nettoyage s’imposait, pas de doute. C’était un miracle qu’il ait eu la présence d’esprit de garder sa main droite collante en l’air, sa gauche, elle, avait allègrement froissé le dessus de lit.
Wyatt savait bien qu’il exagérait. D’abord, il avait esquivé le baiser parce qu’il voulait qu’ils parlent avant tout, puis il avait réalisé qu’il avait blessé son ami, alors, il lui avait donné un petit bisou de rien du tout.
Après, il avait été surpris par l’intensité du baiser de Kembou, ce qui l’avait poussé à demander qu’ils prennent leur temps. Seulement, quand il avait repéré l’érection de Kembou, la curiosité l’avait emporté sur le reste.
Le pénis de Kembou, plus long et plus gros que le sien, tressaillit.
— Caresse-toi comme tu as déjà dû le faire en pensant à moi ou peut-être même devant une de mes photos, l’encouragea Wyatt.
Lui-même s’était souvent masturbé devant des filles dénudées devant son ordinateur.
— Non, je ne me suis jamais autorisé ça ! Je ne voulais pas trahir notre amitié !
Cela n’aurait rien retiré à Wyatt, mais c’était terriblement adorable. Il n’y en avait pas deux comme Kembou.
Son cœur se gonfla de tendresse et d’amour et sa main se referma sur sexe dressé de son ami - non, de son amoureux.
La respiration de Kembou eut un raté et si Wyatt l’entendit, c’est que lui-même avait retenu un instant son souffle.
Il fit preuve de douceur dans un premier temps avant d’y aller plus franchement. Kembou jouit aussitôt, en se mordant la lèvre, maculant les doigts de Wyatt de sperme chaud et collant.
C’était son tour d’être excité. Il ouvrit avec maladresse son jeans de sa main gauche.
Kembou écarquilla les yeux, puis l’aida à tirer sur son boxer blanc devenu rose, et dès que le membre de Wyatt fut visible, il se pencha et le prit dans sa bouche.
C’était incroyablement chaud. Et cette langue qui courait sur son gland…
Une plainte rauque échappa à Wyatt.
— Kem… le prévint-il.
Ce dernier ne s’écarta pas.
Wyatt éjacula et Kembou avala en partie avant de le relâcher et de se redresser. Il lui lança un rapide coup d’œil, clairement embarrassé, puis se leva et prit la direction de la salle de bain.
Encore un peu hébété, Wyatt le suivit avec un temps de retard. Un brin de nettoyage s’imposait, pas de doute. C’était un miracle qu’il ait eu la présence d’esprit de garder sa main droite collante en l’air, sa gauche, elle, avait allègrement froissé le dessus de lit.
1 commentaire:
Hé bien quel tête à tête chaud bouillant, Wyatt a pris les devants mais Kembou n'est pas en reste ^__^
Merci pour l'épisode, j'ai hâte de lire la suite :)
Enregistrer un commentaire