Il arpenta les rayons du supermarché en long et en large et en vain. Kembou devait être dans une partie du magasin inaccessible aux clients. Wyatt s’acheta une tablette de chocolat histoire de donner un sens à sa venue et aussi parce qu’en manger le réconforterait.
En passant à la caisse, il constata qu’il était tard et que l’heure de fermeture approchait.
Il sortit et attendit donc dans le froid, même en sachant que les probabilités de rater Kembou étaient élevées : ce n’était pas comme s’il y avait une seule sortie à ce vaste magasin. Cela aurait été certes plus pratique si son ami avait eu un portable.
La chance était toutefois avec lui. Il achevait de savourer un carré de chocolat quand Kembou passa la porte, le repéra aussitôt et le rejoignit à grandes enjambées pressés.
— Tu as l’air frigorifié, déclara-t-il en enveloppant son ami d’un regard inquiet.
Wyatt ne put nier. Il avait eu beau garder le plus possible les mains dans ses poches et remonter le col de son manteau, il était glacé. Sa colère envers ses parents avait cessé de lui tenir chaud. Il était surtout malheureux à présent.
Des larmes brûlantes lui échappèrent. Cela faisait pourtant des années qu’il n’avait pas pleuré.
Kembou lui passa un bras par dessus l’épaule et l’attira contre lui. Son corps dégageait une chaleur réconfortante.
— Je t’aime, lâcha Wyatt.
Il n’avait pas prévu de lui dire comme ça, à l’improviste, sans préparation aucune.
Kembou avait déclaré qu’il resterait son ami que Wyatt quel que soit le sexe de la personne dont il tomberait amoureux, mais cela ne signifiait pas qu’il apprécierait d’être l’objet de l’affection de Wyatt.
Kembou le serra plus fort contre lui au point que les lèvres de Wyatt se retrouvèrent dans le cou de son ami.
— Moi aussi, murmura Kembou.
Wyatt arrêta de respirer un instant et son cœur s’emballa, puis un doute l’assaillit. Était-il bien clair qu’il ne s’agissait pas d’amitié ?
Kembou passa tendrement les pouces sur ses joues pour effacer ses larmes. Non, à priori, ils étaient bien sur la même longueur d’ondes.
— Plus qu’un ami ? demanda Wyatt pour être parfaitement certain.
Kembou opina.
Wyatt en oublia presque la discussion avec ses parents qui l’avait bouleversé. Après toutes ses nuits sans sommeil à s’interroger sur la manière dont Kembou réagirait à ses sentiments, apprendre qu’ils étaient réciproques était incroyable.
En passant à la caisse, il constata qu’il était tard et que l’heure de fermeture approchait.
Il sortit et attendit donc dans le froid, même en sachant que les probabilités de rater Kembou étaient élevées : ce n’était pas comme s’il y avait une seule sortie à ce vaste magasin. Cela aurait été certes plus pratique si son ami avait eu un portable.
La chance était toutefois avec lui. Il achevait de savourer un carré de chocolat quand Kembou passa la porte, le repéra aussitôt et le rejoignit à grandes enjambées pressés.
— Tu as l’air frigorifié, déclara-t-il en enveloppant son ami d’un regard inquiet.
Wyatt ne put nier. Il avait eu beau garder le plus possible les mains dans ses poches et remonter le col de son manteau, il était glacé. Sa colère envers ses parents avait cessé de lui tenir chaud. Il était surtout malheureux à présent.
Des larmes brûlantes lui échappèrent. Cela faisait pourtant des années qu’il n’avait pas pleuré.
Kembou lui passa un bras par dessus l’épaule et l’attira contre lui. Son corps dégageait une chaleur réconfortante.
— Je t’aime, lâcha Wyatt.
Il n’avait pas prévu de lui dire comme ça, à l’improviste, sans préparation aucune.
Kembou avait déclaré qu’il resterait son ami que Wyatt quel que soit le sexe de la personne dont il tomberait amoureux, mais cela ne signifiait pas qu’il apprécierait d’être l’objet de l’affection de Wyatt.
Kembou le serra plus fort contre lui au point que les lèvres de Wyatt se retrouvèrent dans le cou de son ami.
— Moi aussi, murmura Kembou.
Wyatt arrêta de respirer un instant et son cœur s’emballa, puis un doute l’assaillit. Était-il bien clair qu’il ne s’agissait pas d’amitié ?
Kembou passa tendrement les pouces sur ses joues pour effacer ses larmes. Non, à priori, ils étaient bien sur la même longueur d’ondes.
— Plus qu’un ami ? demanda Wyatt pour être parfaitement certain.
Kembou opina.
Wyatt en oublia presque la discussion avec ses parents qui l’avait bouleversé. Après toutes ses nuits sans sommeil à s’interroger sur la manière dont Kembou réagirait à ses sentiments, apprendre qu’ils étaient réciproques était incroyable.
2 commentaires:
Oups, je me suis trompée de jour pour la mise en ligne... Tant pis ! On verra si j'arrive à avoir 5 épisodes la semaine prochaine quand même ! :)
Whaou merci quand même pour ta gaffe, je suis trop contente de voir que j'ai 2 épisodes à lire ^__^
Enfin Wyatt et Kembou se sont avoués leurs sentiments, j'ai trop hâte de lire le prochain épisode et j'y vais de ce pas :)
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