Quand ils furent arrivés devant le vieil arbre, Léo eut tout juste le temps d'admirer sa beauté sous la lune avant que Demian ne retire son vêtement de nuit. Léo avait déjà vu l'adolescent nu, mais cette fois, ce n'était pas pareil. Demian s'offrait cette fois volontairement et délibérement à son regard. Mieux, il lui ouvrait les bras, l'invitant à venir se serrer contre lui. Léo se demanda s'il n'était pas dans le lit en train de rêver...
– Tu es sûr que c'est ce que tu veux ? murmura-t-il, n'osant pas y croire.
– Oui, je ne veux pas que tu partes sans cela. Je le regretterai toujours sinon. Je sais que jamais tu ne me feras de mal.
Léo s'approcha, et avec une infinie douceur, il se plia en deux pour embrasser les lèvres de Demian. Elles étaient douces et sucrées comme s'il venait de manger une tranche de pain d'épices qu'il affectionnait tant. Léo posa ensuite ses mains sur les épaules de l'adolescent, puis les fit glisser avec lenteur le long des bras minces. Il se sentait soudainement maladroit : les mains de Demian étaient si petites et si fragiles dans les siennes. Il s'accroupit et caressa le dos de l'adolescent. Quand ses mains descendirent sur les fesses de Demian, ce dernier frémit, mais ne chercha pas à se soustraire à ses caresses. Avec patience et délicatesse, il passa ses mains sur tout le corps de l'adolescent, ne s'attardant nulle part. Il déposa ensuite une pluie de baisers sur son torse, puis joua délicatement avec les tétons durcis. Enfin, il se mit à genoux et osa prendre dans sa bouche le pénis de Demian qui rejeta la tête en arrière pour mieux savourer le plaisir qu'il éprouvait. Il ne ressentait ni dégoût ni peur à être ainsi touché par Léo. C'était étrangement naturel. Attendre aussi longtemps pour s'offrir à lui avait été stupide... mais, il avait fallu qu'il se dise que c'était peut-être la seule chance qu'il aurait de partager l'intimité de Léo pour trouver le courage d'affronter ses peurs. Trop de souvenirs désagréables étaient liés au sexe. Cependant, ce que Léo lui faisait vivre n'avait rien de comparable. Une larme roula sur la joue de Demian. Cette nuit, c'était peut-être la première et la dernière fois qu'ils faisaient l'amour. Léo cessa de le lécher et s'écarta légèrement de lui.
– Tu veux que j'arrête ?
Demian secoua négativement la tête et se coucha dans l'herbe, ouvrant une nouvelle fois les bras à Léo qui hésita un instant avant de se déshabiller et de s'allonger à ses côtés.
– Pourquoi pleures-tu ? lui souffla-t-il à l'oreille.
– Je me disais que demain, tu seras parti.
– Je suis là pour le moment, déclara Léo tout en collant son corps brûlant contre celui de Demian.
– Tu es sûr que c'est ce que tu veux ? murmura-t-il, n'osant pas y croire.
– Oui, je ne veux pas que tu partes sans cela. Je le regretterai toujours sinon. Je sais que jamais tu ne me feras de mal.
Léo s'approcha, et avec une infinie douceur, il se plia en deux pour embrasser les lèvres de Demian. Elles étaient douces et sucrées comme s'il venait de manger une tranche de pain d'épices qu'il affectionnait tant. Léo posa ensuite ses mains sur les épaules de l'adolescent, puis les fit glisser avec lenteur le long des bras minces. Il se sentait soudainement maladroit : les mains de Demian étaient si petites et si fragiles dans les siennes. Il s'accroupit et caressa le dos de l'adolescent. Quand ses mains descendirent sur les fesses de Demian, ce dernier frémit, mais ne chercha pas à se soustraire à ses caresses. Avec patience et délicatesse, il passa ses mains sur tout le corps de l'adolescent, ne s'attardant nulle part. Il déposa ensuite une pluie de baisers sur son torse, puis joua délicatement avec les tétons durcis. Enfin, il se mit à genoux et osa prendre dans sa bouche le pénis de Demian qui rejeta la tête en arrière pour mieux savourer le plaisir qu'il éprouvait. Il ne ressentait ni dégoût ni peur à être ainsi touché par Léo. C'était étrangement naturel. Attendre aussi longtemps pour s'offrir à lui avait été stupide... mais, il avait fallu qu'il se dise que c'était peut-être la seule chance qu'il aurait de partager l'intimité de Léo pour trouver le courage d'affronter ses peurs. Trop de souvenirs désagréables étaient liés au sexe. Cependant, ce que Léo lui faisait vivre n'avait rien de comparable. Une larme roula sur la joue de Demian. Cette nuit, c'était peut-être la première et la dernière fois qu'ils faisaient l'amour. Léo cessa de le lécher et s'écarta légèrement de lui.
– Tu veux que j'arrête ?
Demian secoua négativement la tête et se coucha dans l'herbe, ouvrant une nouvelle fois les bras à Léo qui hésita un instant avant de se déshabiller et de s'allonger à ses côtés.
– Pourquoi pleures-tu ? lui souffla-t-il à l'oreille.
– Je me disais que demain, tu seras parti.
– Je suis là pour le moment, déclara Léo tout en collant son corps brûlant contre celui de Demian.
2 commentaires:
Waouh y'a comme une vague de chaleur proche de la canicule dans cet épisode lol
Merci du temps que tu prends pour nous ^____^
Quel joie de voir enfin ce couple s'abandonner l'un l'autre :)
Merci de m'encourager à écrire !
Je vais terminer la semaine avec Demian et Léo, après retour à la cour de Aldrick ! :)
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