La dispute entre les deux frères prenait un vilain tour. L’air furieux de Wata promettait le pire. Avant qu’il ne dise quelque chose qu’il aurait du mal à reprendre et regretterait à son frère, Lukas l’embrassa. Et tant pis pour le spectateur !
Ryuu fut suffoqué, puis marmonna quelque chose sur « ces barbares d’étranger. »
Le baiser s’acheva. Wata cligna des yeux. La colère avait laissé place au désir. Lukas ne demandait pas mieux que d’y répondre, mais encore fallait-il se débarrasser de Ryuu.
Wataru s’en chargea avec les formes.
— Ryuu, que je déménage ou non, cela ne va pas se faire en deux jours, alors en attendant, laisse-moi profiter de Lukas qui n’est au Japon que pour quelques jours.
Ryuu quitta les lieux, non sans une dernière mise en garde à l’égard de son frère.
— Tu ne parles pas un mot de français. Comment te dérouilleras-tu là-bas ? Tu seras complètement dépendant de lui.
— Je suis en train d’apprendre, rétorqua Wata avant de claquer la porte sur son jumeau.
Décidément, Wata était un cachotier. Ses mangas. L’autobiographique comme l’érotique. Son apprentissage de la langue française… Cela aurait peut-être dû inquiéter Lukas que Wata ait autant de secrets, excepté qu’ils n’avaient rien de négatifs. Quelque part, cela contribuait à son charme.
— On peut se parler en français plutôt qu’en japonais, si tu veux t’entraîner.
— Je ne suis qu’au début du manuel, murmura Wata avec embarras.
— Je t’aime, dit Lukas en français.
Les yeux de Wata brillèrent. Il lui dit la même chose avec un accent aussi terrible que craquant.
A l’exception d’une sortie pour remplir le réfrigérateur et les placards, ils passèrent le restant du séjour de Lukas dans l’appartement de Wata, l’hôtel oublié. Il y étaient seuls comme dans leur île, sans le bleu du ciel et avec tout le confort moderne. Ryuu eut la bonne grâce de ne pas revenir à l’improviste.
Ils firent l’amour à de nombreuses reprises et se parlèrent en japonais comme en français, même si Wata n’avait pas menti en prévenant qu’il débutait.
Ils se dirent au revoir sur place plutôt qu’à l’aéroport. Même en sachant que Wata allait effectuer les démarches nécessaires pour le rejoindre en France, ce fut un véritable arrachement.
Ryuu fut suffoqué, puis marmonna quelque chose sur « ces barbares d’étranger. »
Le baiser s’acheva. Wata cligna des yeux. La colère avait laissé place au désir. Lukas ne demandait pas mieux que d’y répondre, mais encore fallait-il se débarrasser de Ryuu.
Wataru s’en chargea avec les formes.
— Ryuu, que je déménage ou non, cela ne va pas se faire en deux jours, alors en attendant, laisse-moi profiter de Lukas qui n’est au Japon que pour quelques jours.
Ryuu quitta les lieux, non sans une dernière mise en garde à l’égard de son frère.
— Tu ne parles pas un mot de français. Comment te dérouilleras-tu là-bas ? Tu seras complètement dépendant de lui.
— Je suis en train d’apprendre, rétorqua Wata avant de claquer la porte sur son jumeau.
Décidément, Wata était un cachotier. Ses mangas. L’autobiographique comme l’érotique. Son apprentissage de la langue française… Cela aurait peut-être dû inquiéter Lukas que Wata ait autant de secrets, excepté qu’ils n’avaient rien de négatifs. Quelque part, cela contribuait à son charme.
— On peut se parler en français plutôt qu’en japonais, si tu veux t’entraîner.
— Je ne suis qu’au début du manuel, murmura Wata avec embarras.
— Je t’aime, dit Lukas en français.
Les yeux de Wata brillèrent. Il lui dit la même chose avec un accent aussi terrible que craquant.
A l’exception d’une sortie pour remplir le réfrigérateur et les placards, ils passèrent le restant du séjour de Lukas dans l’appartement de Wata, l’hôtel oublié. Il y étaient seuls comme dans leur île, sans le bleu du ciel et avec tout le confort moderne. Ryuu eut la bonne grâce de ne pas revenir à l’improviste.
Ils firent l’amour à de nombreuses reprises et se parlèrent en japonais comme en français, même si Wata n’avait pas menti en prévenant qu’il débutait.
Ils se dirent au revoir sur place plutôt qu’à l’aéroport. Même en sachant que Wata allait effectuer les démarches nécessaires pour le rejoindre en France, ce fut un véritable arrachement.
1 commentaire:
Ils sont si mignons ensemble ^o^
Merci pour l'épisode, je l'ai dévoré et maintenant ça va être dur d'attendre la suite ^___^
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