Il était adorable et Lukas lui donna un baiser que Wata lui rendit avec enthousiasme, sans que les choses n’aillent plus loin pour autant.
Wata devait être aussi d’avis qu’il était important qu’ils discutent.
— Ce qu’a dit mon frère… Cela ne te dérange pas que j’utilise notre histoire pour mes mangas ?
Sur le principe, non. C’était normal que cela inspire Wata. Après, c’était difficile à dire sans avoir vu ce qu’il avait dessiné.
— Tu veux bien me les montrer ?
— Oui… Quand nous retournerons chez moi.
Lukas acquiesça.
— Je me douche et allons-y.
Sans être vraiment pressé de découvrir les mangas de Wata, Lukas était curieux et aussi désireux de tranquilliser Wata qui avait l’air de culpabiliser à fond.
Le mieux était de tirer l’affaire au clair au plus vite et de mettre ça derrière eux. Il doutait que Wata l’ait ridiculisé d’une façon ou d’une autre dans ses dessins.
Wata tint à lui faire emprunter les transports en commun pour le ramener chez lui. Ils n’échangèrent que quelques commentaires d’ordre pratique dans le wagon bondé et dans les rues animées.
Une fois dans l’appartement, Wata sortit immédiatement le magazine dans lequel était publié leur aventure sur l’île.
Lukas s’assit sur une chaise tandis que Wata restait debout, à regarder par dessus son épaule pour guetter sa réaction.
Si Lukas commençait à connaître les hiraganas et les katanas, il ne pouvait prétendre lire le japonais, pas alors que les kanjis demeuraient indéchiffrables en l’absence de furiganas, les dessins étaient heureusement assez parlant et sa version de papier barbu avait une bonne bouille. Il sourit en voyant son double dessiné jeté son harpon de fortune d’un geste furieux sur le sable, frustré d’avoir échoué une fois de plus à attraper un poisson.
Il n’y avait là rien de compromettant ou de gênant.
Lukas était surtout admiratif de la manière dont Wata avait réussi à croquer leur vie sur l’île.
Il feuilleta différents numéros de plus en plus fasciné par le travail de Wata. Il remarqua que leur rapprochement physique était suggéré sans être montré, même s’il était peut-être verbalement explicité.
Lukas complimenta Wata qui parut ne plus savoir où se mettre.
Wata devait être aussi d’avis qu’il était important qu’ils discutent.
— Ce qu’a dit mon frère… Cela ne te dérange pas que j’utilise notre histoire pour mes mangas ?
Sur le principe, non. C’était normal que cela inspire Wata. Après, c’était difficile à dire sans avoir vu ce qu’il avait dessiné.
— Tu veux bien me les montrer ?
— Oui… Quand nous retournerons chez moi.
Lukas acquiesça.
— Je me douche et allons-y.
Sans être vraiment pressé de découvrir les mangas de Wata, Lukas était curieux et aussi désireux de tranquilliser Wata qui avait l’air de culpabiliser à fond.
Le mieux était de tirer l’affaire au clair au plus vite et de mettre ça derrière eux. Il doutait que Wata l’ait ridiculisé d’une façon ou d’une autre dans ses dessins.
Wata tint à lui faire emprunter les transports en commun pour le ramener chez lui. Ils n’échangèrent que quelques commentaires d’ordre pratique dans le wagon bondé et dans les rues animées.
Une fois dans l’appartement, Wata sortit immédiatement le magazine dans lequel était publié leur aventure sur l’île.
Lukas s’assit sur une chaise tandis que Wata restait debout, à regarder par dessus son épaule pour guetter sa réaction.
Si Lukas commençait à connaître les hiraganas et les katanas, il ne pouvait prétendre lire le japonais, pas alors que les kanjis demeuraient indéchiffrables en l’absence de furiganas, les dessins étaient heureusement assez parlant et sa version de papier barbu avait une bonne bouille. Il sourit en voyant son double dessiné jeté son harpon de fortune d’un geste furieux sur le sable, frustré d’avoir échoué une fois de plus à attraper un poisson.
Il n’y avait là rien de compromettant ou de gênant.
Lukas était surtout admiratif de la manière dont Wata avait réussi à croquer leur vie sur l’île.
Il feuilleta différents numéros de plus en plus fasciné par le travail de Wata. Il remarqua que leur rapprochement physique était suggéré sans être montré, même s’il était peut-être verbalement explicité.
Lukas complimenta Wata qui parut ne plus savoir où se mettre.
1 commentaire:
Trop choupi ^o^ Maintenant il ne reste lus qu'à Wata à montrer la version non censuré de son manga :)
Merci pour l'épisode, j'ai hâte de lire le prochain ^___^
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