Il ouvrit les yeux sur un ciel bleu pur comme s’il n’y avait pas eu d’horrible tempête, de quasi-naufrage et de chute dans les flots. Il était allongé sur du sable chaud. Vivant, il était vivant !
Il se redressa avec difficulté, l’océan s’étendait à perte vue devant lui. Du bleu partout devant ses yeux. Cela aurait pu être beau, si cela n’avait pas été un cauchemar. Il n’avait pas la moindre idée où il était, cependant, vu le trajet de la croisière, il était peu probable qu’il ait échoué sur une terre habitée. Il soupçonnait se trouver sur une île déserte où le courant l’avait porté par miracle.
Il se mit debout avec peine. Des souvenirs de Robinson Crusoé, de Vendredi ou la vie sauvage et du film Seul au monde avec Tom Hanks remontèrent à son esprit comme des épaves.
Dans son cas, il n’avait rien à récupérer, puisque le naufrage avait à priori été évité. Il n’avait à sa disposition que ce qu’il avait sur le dos : un gilet de sauvetage orange, un chemise blanche, un pantalon en coton léger, des chaussures toilées et un maillot de bain noir – il avait escompté se rendre à la piscine du paquebot, seulement la tempête l’avait distrait de ses plans. Ses poches étaient vides : pas le plus petit briquet, pas le moindre couteau suisse. Il n’avait même pas sa Rolex.
Il inspira à fond, il était inutile de paniquer. Il lui fallait juste s’organiser : dénicher de l’eau douce, de quoi manger, écrire un message de secours, fabriquer un abri ou en trouver un.
Il défit son encombrant gilet de sauvetage et le déposa sur le sable – vu qu’il était orange vif, ce serait facile de le repérer et récupérer plus tard. A pas lents, il avança ensuite sur la plage, regardant s’il y avait des choses utiles ou comestibles autour de lui. Il ramassa un coquillage, puis un bâton, mais les laissa tomber à la vue d’une silhouette étendue sur le sable.
Il se précipita à la fois surpris et soucieux. La personne était allongée face contre terre. Il la retourna avec précaution.
C’était un jeune asiatique en short et t-shirt par dessus lequel il portait un gilet de sauvetage identique à celui de Lukas. Apparemment, il n’était pas le seul passager à être passé par dessus bord. L’inconnu respirait et à l’exception d’une vilaine bosse sur la tempe, il ne semblait pas blessé.
Lukas hésita sur la marche à suivre : devait-il attendre que le jeune homme revienne à lui ou bien tenter de le réveiller ?
Il se redressa avec difficulté, l’océan s’étendait à perte vue devant lui. Du bleu partout devant ses yeux. Cela aurait pu être beau, si cela n’avait pas été un cauchemar. Il n’avait pas la moindre idée où il était, cependant, vu le trajet de la croisière, il était peu probable qu’il ait échoué sur une terre habitée. Il soupçonnait se trouver sur une île déserte où le courant l’avait porté par miracle.
Il se mit debout avec peine. Des souvenirs de Robinson Crusoé, de Vendredi ou la vie sauvage et du film Seul au monde avec Tom Hanks remontèrent à son esprit comme des épaves.
Dans son cas, il n’avait rien à récupérer, puisque le naufrage avait à priori été évité. Il n’avait à sa disposition que ce qu’il avait sur le dos : un gilet de sauvetage orange, un chemise blanche, un pantalon en coton léger, des chaussures toilées et un maillot de bain noir – il avait escompté se rendre à la piscine du paquebot, seulement la tempête l’avait distrait de ses plans. Ses poches étaient vides : pas le plus petit briquet, pas le moindre couteau suisse. Il n’avait même pas sa Rolex.
Il inspira à fond, il était inutile de paniquer. Il lui fallait juste s’organiser : dénicher de l’eau douce, de quoi manger, écrire un message de secours, fabriquer un abri ou en trouver un.
Il défit son encombrant gilet de sauvetage et le déposa sur le sable – vu qu’il était orange vif, ce serait facile de le repérer et récupérer plus tard. A pas lents, il avança ensuite sur la plage, regardant s’il y avait des choses utiles ou comestibles autour de lui. Il ramassa un coquillage, puis un bâton, mais les laissa tomber à la vue d’une silhouette étendue sur le sable.
Il se précipita à la fois surpris et soucieux. La personne était allongée face contre terre. Il la retourna avec précaution.
C’était un jeune asiatique en short et t-shirt par dessus lequel il portait un gilet de sauvetage identique à celui de Lukas. Apparemment, il n’était pas le seul passager à être passé par dessus bord. L’inconnu respirait et à l’exception d’une vilaine bosse sur la tempe, il ne semblait pas blessé.
Lukas hésita sur la marche à suivre : devait-il attendre que le jeune homme revienne à lui ou bien tenter de le réveiller ?
2 commentaires:
Haaaaaa !!!!!! Quel épisode je sens déjà que les choses vont devenir intéressante avec ces 2 naufragés seuls sur une île ^___^
Merci pour l'épisode, j'ai hâte de lire la suite :)
Tête à tête obligatoire ! :)
Enregistrer un commentaire