Lukas émergea en douceur grâce à son réveil à simulateur d’aube. Il se leva aussitôt, ses pieds nus s’enfonçant dans la moelleuse moquette bleu roi et enfila la tenue de sport qu’il avait préparé la veille afin d’effectuer sa gymnastique quotidienne dans la salle aménagée à cet effet dans son appartement.
Après avoir mis à profit le tapis de course et le rameur, il prit une douche, yeux mi-clos, laissant l’eau chaude délasser ses muscles. Il se savonna ensuite et la senteur coco du gel douche ne tarda pas à embaumer la spacieuse cabine carrelée. Enfin, il se sécha dans une épaisse serviette éponge, se rasa et retourna à pas tranquilles dans sa chambre.
Il sélectionna dans sa penderie un costume bleu-gris, une chemise blanche, une ceinture, un boxer, des chaussettes et des souliers noirs. Une fois habillé, il savoura un petit déjeuner diététique : un grand verre de jus de fruits frais, une coupe de yaourt saupoudrée de flocons d’avoines et de baies séchées.
Dimanche ou pas, il consulta ses mails, y répondit et passa quelques coups de téléphone à des associés et des clients qui ne considéraient pas le dernier jour de la semaine comme particulier ou pour lesquels c’était encore samedi.
Quand il jeta finalement un œil à sa Rolex, il se rendit compte que l’heure tournait et que s’il ne voulait pas être en retard chez sa mère, il devait partir maintenant. A en croire la météo, le temps estival ensoleillé le dispensait de prendre un manteau. Il glissa son portefeuille et son trousseau de clefs dans la poche de son pantalon et quitta l’appartement.
L’ascenseur le conduisit au garage où l’attendait trois voitures : une Chevrolet décapotable, une Mercedes et une Porsche. Il opta pour cette dernière.
Cela bouchonna sur le trajet, mais la musique classique qui remplissait l’habitacle l’empêcha de ressentir un quelconque énervement. Il se gara à quelques mètres de la maison de son enfance, un pavillon des années 1920 au jardin impeccablement entretenu. Il avait sa clef et s’en servit pour surprendre sa mère dans la cuisine.
Elle l’accueillit avec le sourire et l’invita à se mettre à table. Lukas ne se fit pas prier. Sa maman mettait toujours un point d’honneur à préparer ses mets préférés quand il venait – salade composée, lasagnes et tarte aux pommes.
Durant le déjeuner, il prit de ses nouvelles et elle lui parla de ses fleurs et de ses visites aux musées.
Après avoir mis à profit le tapis de course et le rameur, il prit une douche, yeux mi-clos, laissant l’eau chaude délasser ses muscles. Il se savonna ensuite et la senteur coco du gel douche ne tarda pas à embaumer la spacieuse cabine carrelée. Enfin, il se sécha dans une épaisse serviette éponge, se rasa et retourna à pas tranquilles dans sa chambre.
Il sélectionna dans sa penderie un costume bleu-gris, une chemise blanche, une ceinture, un boxer, des chaussettes et des souliers noirs. Une fois habillé, il savoura un petit déjeuner diététique : un grand verre de jus de fruits frais, une coupe de yaourt saupoudrée de flocons d’avoines et de baies séchées.
Dimanche ou pas, il consulta ses mails, y répondit et passa quelques coups de téléphone à des associés et des clients qui ne considéraient pas le dernier jour de la semaine comme particulier ou pour lesquels c’était encore samedi.
Quand il jeta finalement un œil à sa Rolex, il se rendit compte que l’heure tournait et que s’il ne voulait pas être en retard chez sa mère, il devait partir maintenant. A en croire la météo, le temps estival ensoleillé le dispensait de prendre un manteau. Il glissa son portefeuille et son trousseau de clefs dans la poche de son pantalon et quitta l’appartement.
L’ascenseur le conduisit au garage où l’attendait trois voitures : une Chevrolet décapotable, une Mercedes et une Porsche. Il opta pour cette dernière.
Cela bouchonna sur le trajet, mais la musique classique qui remplissait l’habitacle l’empêcha de ressentir un quelconque énervement. Il se gara à quelques mètres de la maison de son enfance, un pavillon des années 1920 au jardin impeccablement entretenu. Il avait sa clef et s’en servit pour surprendre sa mère dans la cuisine.
Elle l’accueillit avec le sourire et l’invita à se mettre à table. Lukas ne se fit pas prier. Sa maman mettait toujours un point d’honneur à préparer ses mets préférés quand il venait – salade composée, lasagnes et tarte aux pommes.
Durant le déjeuner, il prit de ses nouvelles et elle lui parla de ses fleurs et de ses visites aux musées.
1 commentaire:
Un 1er épisode qui pose les bases et dans lequel nous découvrons Lukas fils de riche ^__^ Hâte d'en lire plus
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