« D'après nos renseignements, il ne s'en prend qu'aux femmes. »
Ça ne rassurait pas plus que cela Zack. Il fallait être un monstre pour tuer.
« La peur est saine, car elle implique la prudence. Mais il ne faut pas qu'elle paralyse non plus. »
Zack avait choisi de travailler dans un centre sportif, pas une carrière dans la police.
— Je suis certaine qu'il ne m'a pas menti. Il était trop content de se vanter que lui resterait dans l'histoire comme Paul Adchmidi, le violeur et tueur aux appartements, alors que moi je sombrerai dans l'oubli, anonyme victime.
C'était bien qu'ils aient un nom, mais ce n'était pas comme s'ils avaient des preuves tangibles de la culpabilité du type.
« Chaque chose en son temps » le morigéna gentiment Kazuya.
— Il demeurera peut-être dans les mémoires, mais pas impuni, comme certains.
— Je partirai tranquille quand il aura été condamné sachant qu'il ne peut plus nuire.
— Vous ne voulez pas retourner à l'appartement pendant que nous découvrons où habite à l'heure actuelle ce Paul Adchmidi ?
Zack aurait voulu laisser la police s'en charger. Hélas, ils ne pouvaient décemment se présenter au poste et annoncer qu'ils tenaient de source sûre – une de ses victimes décédées ! – que Paul Adchmidi était un tueur.
— Je préfèrerai vous accompagner. J'en ai assez d'être enfermée entre quatre murs.
Kazuya, même s'il tenait à ce que Nino soit libre d'être à nouveau lui-même, n'insista pas.
Sur une suggestion mentale de Zack, ils se rendirent dans un internet café pour consulter les pages jaunes. Par chance, l'horrible Paul était dedans et il y en avait qu'un seul. Par contre, il vivait dans une autre ville, ce qui nécessitait de reprendre le train. Comment allaient-ils faire avec l'étudiant ? Pourraient-ils boucler l'enquête rapidement ? La femme, à l'intérieur de Nino, n'était pas pénible, mais tout de même...
Zack était en panique et Kazuya l'exhorta au calme.
« Je vais me charger de tout. »
Une nouvelle multitude de questions envahit l'esprit de Zack, mais Kazuya, plutôt que d'y répondre, s'adressa à la femme :
— Il faut que vous sortiez de ce corps. Ce qui va suivre est un travail de longue haleine. Je vous promets que nous viendrons vous informer.
— Je ne sais pas si je peux vous faire confiance. La dernière fois, ça m'a coûté la vie !
— L'ayant perdu, vous ne risquez plus grand chose, si ?
S'il avait pu, Zack aurait applaudi cette répartie.
Ça ne rassurait pas plus que cela Zack. Il fallait être un monstre pour tuer.
« La peur est saine, car elle implique la prudence. Mais il ne faut pas qu'elle paralyse non plus. »
Zack avait choisi de travailler dans un centre sportif, pas une carrière dans la police.
— Je suis certaine qu'il ne m'a pas menti. Il était trop content de se vanter que lui resterait dans l'histoire comme Paul Adchmidi, le violeur et tueur aux appartements, alors que moi je sombrerai dans l'oubli, anonyme victime.
C'était bien qu'ils aient un nom, mais ce n'était pas comme s'ils avaient des preuves tangibles de la culpabilité du type.
« Chaque chose en son temps » le morigéna gentiment Kazuya.
— Il demeurera peut-être dans les mémoires, mais pas impuni, comme certains.
— Je partirai tranquille quand il aura été condamné sachant qu'il ne peut plus nuire.
— Vous ne voulez pas retourner à l'appartement pendant que nous découvrons où habite à l'heure actuelle ce Paul Adchmidi ?
Zack aurait voulu laisser la police s'en charger. Hélas, ils ne pouvaient décemment se présenter au poste et annoncer qu'ils tenaient de source sûre – une de ses victimes décédées ! – que Paul Adchmidi était un tueur.
— Je préfèrerai vous accompagner. J'en ai assez d'être enfermée entre quatre murs.
Kazuya, même s'il tenait à ce que Nino soit libre d'être à nouveau lui-même, n'insista pas.
Sur une suggestion mentale de Zack, ils se rendirent dans un internet café pour consulter les pages jaunes. Par chance, l'horrible Paul était dedans et il y en avait qu'un seul. Par contre, il vivait dans une autre ville, ce qui nécessitait de reprendre le train. Comment allaient-ils faire avec l'étudiant ? Pourraient-ils boucler l'enquête rapidement ? La femme, à l'intérieur de Nino, n'était pas pénible, mais tout de même...
Zack était en panique et Kazuya l'exhorta au calme.
« Je vais me charger de tout. »
Une nouvelle multitude de questions envahit l'esprit de Zack, mais Kazuya, plutôt que d'y répondre, s'adressa à la femme :
— Il faut que vous sortiez de ce corps. Ce qui va suivre est un travail de longue haleine. Je vous promets que nous viendrons vous informer.
— Je ne sais pas si je peux vous faire confiance. La dernière fois, ça m'a coûté la vie !
— L'ayant perdu, vous ne risquez plus grand chose, si ?
S'il avait pu, Zack aurait applaudi cette répartie.
2 commentaires:
J'adore kazuya ^^
Par contre la femme elle est insistante ....
Bon d'un côté elle a pas eu une super mort... La pauvre =S
Je me demande comment ça va se passer avec ce Paul et si c'est vraiment lui ...
Merci.
Ho ho on rentre dans l'enquête sur ce tueur mystérieux, cela promet du suspens pour la suite des aventures de notre trio ^o^
Merci pour cet épisode un peu plus sombre que les autres cela rajoute du piment à l'histoire et nous tiens en haleine :)
Vivement la suite XD
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