— Bonjour, nous venons pour le fantôme, déclara Kazuya-Zack.
L'étudiant regarda à droite et à gauche, vérifiant qu'aucun de ses voisins de pallier n'était là pour entendre et les fit entrer.
La pièce à vivre était en bazar, pleine de cartons à moitié déballés. Une étagère était montée et quasi-vide, l'autre encore au sol. Nino trébucha presque immédiatement, mais le désordre n'y était pour rien, Zack en aurait mis sa main à couper.
Kazuya-Zack interrompit le jeune homme fatigué qui leur expliquait à nouveau les phénomènes étranges auxquels il avait assisté depuis son emménagement.
— Vous n'êtes pas fou. Il y a bien un fantôme. Nous reviendrons demain.
— Hein ? Quoi ? Mais ça ne fait pas trois minutes que vous êtes arrivés !?
Kazuya-Zack entraîna Nino et le fantôme qui avait dû s'introduire en lui par le bras vers la sortie sans tarder.
Pour l'étudiant, leur comportement était bizarre et inexplicable. Zack avait suggéré que la discussion avec le fantôme se déroule en sa présence, mais Nino et Kazuya avaient jugé qu'il était préférable que cela se fasse en dehors de lui. Croire aux fantômes et accepter le phénomène de possession étaient selon eux deux choses différentes.
— Mais c'est n'importe quoi ! s'écria l'étudiant.
— Il nous faut le matériel adéquat à ce type de fantôme, répliqua Kazuya-Zack sans un regard en arrière pour le jeune homme dégingandé.
Celui qui occupait Nino ne protesta pas. Il les suivit en bas gentiment, l'étudiant aussi. Ce dernier s'arrêta cependant à la porte de l'immeuble, car dans la précipitation, il était parti sans son manteau.
— Vous ne serez pas payé si vous ne revenez pas !
— A demain ! assura Kazuya-Zack sans se retourner, en accélérant le pas et obligeant Nino à faire de même.
Ils s'arrêtèrent dans la rue, au premier banc venu, le long d'une route où les voitures vrombissaient. Zack maugréa intérieurement : ils étaient encore bon pour se les geler et cette fois le cadre n'avait rien pour lui.
— Pouvez-vous nous dire pourquoi vous dérangez ce jeune homme ? demanda Kazuya-Zack.
— Je n'avais jamais fait ça, mais il aime regarder des vidéos pornos violentes et je ne peux le supporter. Quant à votre ami, j'ai senti qu'il pouvait m'aider. Et c'est ce qu'il a l'air de souhaiter. Je voudrais que l'homme qui m'a condamné à hanter cet appartement soit mis derrière les barreaux afin qu'il ne puisse plus nuire à personne.
Cette femme fantôme voulait justice. C'était une bonne nouvelle, excepté que réussir à capturer ce meurtrier qui sévissait depuis quinze ans risquait d'être fort long, voire impossible.
L'étudiant regarda à droite et à gauche, vérifiant qu'aucun de ses voisins de pallier n'était là pour entendre et les fit entrer.
La pièce à vivre était en bazar, pleine de cartons à moitié déballés. Une étagère était montée et quasi-vide, l'autre encore au sol. Nino trébucha presque immédiatement, mais le désordre n'y était pour rien, Zack en aurait mis sa main à couper.
Kazuya-Zack interrompit le jeune homme fatigué qui leur expliquait à nouveau les phénomènes étranges auxquels il avait assisté depuis son emménagement.
— Vous n'êtes pas fou. Il y a bien un fantôme. Nous reviendrons demain.
— Hein ? Quoi ? Mais ça ne fait pas trois minutes que vous êtes arrivés !?
Kazuya-Zack entraîna Nino et le fantôme qui avait dû s'introduire en lui par le bras vers la sortie sans tarder.
Pour l'étudiant, leur comportement était bizarre et inexplicable. Zack avait suggéré que la discussion avec le fantôme se déroule en sa présence, mais Nino et Kazuya avaient jugé qu'il était préférable que cela se fasse en dehors de lui. Croire aux fantômes et accepter le phénomène de possession étaient selon eux deux choses différentes.
— Mais c'est n'importe quoi ! s'écria l'étudiant.
— Il nous faut le matériel adéquat à ce type de fantôme, répliqua Kazuya-Zack sans un regard en arrière pour le jeune homme dégingandé.
Celui qui occupait Nino ne protesta pas. Il les suivit en bas gentiment, l'étudiant aussi. Ce dernier s'arrêta cependant à la porte de l'immeuble, car dans la précipitation, il était parti sans son manteau.
— Vous ne serez pas payé si vous ne revenez pas !
— A demain ! assura Kazuya-Zack sans se retourner, en accélérant le pas et obligeant Nino à faire de même.
Ils s'arrêtèrent dans la rue, au premier banc venu, le long d'une route où les voitures vrombissaient. Zack maugréa intérieurement : ils étaient encore bon pour se les geler et cette fois le cadre n'avait rien pour lui.
— Pouvez-vous nous dire pourquoi vous dérangez ce jeune homme ? demanda Kazuya-Zack.
— Je n'avais jamais fait ça, mais il aime regarder des vidéos pornos violentes et je ne peux le supporter. Quant à votre ami, j'ai senti qu'il pouvait m'aider. Et c'est ce qu'il a l'air de souhaiter. Je voudrais que l'homme qui m'a condamné à hanter cet appartement soit mis derrière les barreaux afin qu'il ne puisse plus nuire à personne.
Cette femme fantôme voulait justice. C'était une bonne nouvelle, excepté que réussir à capturer ce meurtrier qui sévissait depuis quinze ans risquait d'être fort long, voire impossible.
2 commentaires:
Je l'aime bien ce fantôme ^^
Mais ils vont avoir du boulot xD
Merci, bon week-end =)
Ho ho ce fantôme est donc une femme... Maintenant je suis de plus en plus curieuse de connaitre son histoire et de savoir comment nos héros vont si prendre pour retrouver le meurtrier :)
Merci aussi pour l'épisode du jour XD
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