Le lendemain matin, Zibulinion se réveilla à l'aube avec une érection avant même de regarder Folebiol qui dormait à moitié dénudé, serrant entre ses bras et ses jambes sa couette comme si elle avait été une personne.
Zibulinion aurait donné cher pour être à sa place, et s'imaginer ainsi étreint par Folebiol l'excita davantage qu'il ne l'était.
Il ne s'était encore jamais vraiment masturbé de sa vie, mais il commençait à comprendre l'envie de se soulager, de se libérer de ce trop plein de désir qui gonflait son sexe.
Il mit longtemps à se calmer et, comme les autres matins, dès que la cloche eut sonné, il préféra filer au plus vite.
Au petit déjeuner, il termina son orange bien avant que Zurmmiel et Joathilde n'eurent bu leur bol de lait. Il avait encore faim et aurait bien mangé encore un autre fruit. Le régime qu'on lui faisait suivre était excessivement sévère.
Comme premier cours de la journée, ils avaient dessin. Zibulinion qui avait été rendu optimiste par la journée de la veille fut bien déçu. La professeur de dessin avait un sens prononcé de l'esthétique et comme la professeur d'élégance, elle lui demanda de ne plus paraître devant elle avant que « ses formes grossières ne se soient affinées. » Une boule dans la gorge, Zibulinion se réfugia à la bibliothèque et suivit seul les instructions du manuel de dessin féerique.
Il retrouva ses camarades de classe en cours de couture où la professeur le laissa assister au cours sans commentaire, se contentant de lui lancer quelques regards étranges. Zibulinion se révéla maladroit en couture : il était loin d'avoir les « doigts de fée » que la professeur se faisait fort de leur donner.
A midi, son assiette de carottes coupées en rondelles accompagnée d'une pomme le laissa affamé et c'est l'estomac gargouillant qu'il entra dans la serre où se déroulait le cours de flore. Au milieu de la profusion de plantes communes et exotiques, les tables et les chaises semblaient être une anomalie. La professeur dotée de longs cheveux noisette et de grands yeux bleu-verts, avait un air familier.
Cela se sentait qu'elle adorait les plantes et elle se montra sévère quand une des fillettes renversa par mégarde un pot, abîmant l'arbrisseau qu'il contenait. Elle traita Zibulinion comme un élève normal, ni plus ni moins, si bien que l'adolescent put apprécier le cours, même s'il regretta que la professeur suive de trop près le manuel. Il avait comme une sensation de déjà-entendu.
Puis ce fut l'heure du dernier cours de la semaine, celui de soins.
La professeur Xylvania était très jolie, tout en pastel avec de centaines de minuscules perles dans les cheveux. Elle était très chaleureuse et présenta son cours avec enthousiasme. Il y avait un côté cours de biologie avec la découverte du corps humain, mais aussi psychologique et médicinal au cours de soins. Zibulinion, fort intéressé, prit de nombreuses notes.
A la fin du cours, l'adolescent qui était content d'être passé « inaperçu » auprès de la professeur, déchanta quand Xylvania lui demanda de rester parce qu'elle souhaitait lui parler. Les camarades de classe de Zibulinion chuchotèrent entre elles et toutes traînèrent pour quitter les lieux, sans doute curieuses de savoir ce que la professeur avait à dire à l'adolescent. Cependant, Xylvania attendit patiemment qu'il n'y ait plus qu'elle et Zibulinion dans la salle de classe.
L'adolescent était sur les nerfs quand ils se retrouvèrent enfin seuls. Qu'est-ce qu'elle lui voulait ? Allait-elle lui débiter des horreurs comme la professeur d'élégance ou celle de dessin ? Pourtant, elle paraissait si gentille...
Zibulinion aurait donné cher pour être à sa place, et s'imaginer ainsi étreint par Folebiol l'excita davantage qu'il ne l'était.
Il ne s'était encore jamais vraiment masturbé de sa vie, mais il commençait à comprendre l'envie de se soulager, de se libérer de ce trop plein de désir qui gonflait son sexe.
Il mit longtemps à se calmer et, comme les autres matins, dès que la cloche eut sonné, il préféra filer au plus vite.
Au petit déjeuner, il termina son orange bien avant que Zurmmiel et Joathilde n'eurent bu leur bol de lait. Il avait encore faim et aurait bien mangé encore un autre fruit. Le régime qu'on lui faisait suivre était excessivement sévère.
Comme premier cours de la journée, ils avaient dessin. Zibulinion qui avait été rendu optimiste par la journée de la veille fut bien déçu. La professeur de dessin avait un sens prononcé de l'esthétique et comme la professeur d'élégance, elle lui demanda de ne plus paraître devant elle avant que « ses formes grossières ne se soient affinées. » Une boule dans la gorge, Zibulinion se réfugia à la bibliothèque et suivit seul les instructions du manuel de dessin féerique.
Il retrouva ses camarades de classe en cours de couture où la professeur le laissa assister au cours sans commentaire, se contentant de lui lancer quelques regards étranges. Zibulinion se révéla maladroit en couture : il était loin d'avoir les « doigts de fée » que la professeur se faisait fort de leur donner.
A midi, son assiette de carottes coupées en rondelles accompagnée d'une pomme le laissa affamé et c'est l'estomac gargouillant qu'il entra dans la serre où se déroulait le cours de flore. Au milieu de la profusion de plantes communes et exotiques, les tables et les chaises semblaient être une anomalie. La professeur dotée de longs cheveux noisette et de grands yeux bleu-verts, avait un air familier.
Cela se sentait qu'elle adorait les plantes et elle se montra sévère quand une des fillettes renversa par mégarde un pot, abîmant l'arbrisseau qu'il contenait. Elle traita Zibulinion comme un élève normal, ni plus ni moins, si bien que l'adolescent put apprécier le cours, même s'il regretta que la professeur suive de trop près le manuel. Il avait comme une sensation de déjà-entendu.
Puis ce fut l'heure du dernier cours de la semaine, celui de soins.
La professeur Xylvania était très jolie, tout en pastel avec de centaines de minuscules perles dans les cheveux. Elle était très chaleureuse et présenta son cours avec enthousiasme. Il y avait un côté cours de biologie avec la découverte du corps humain, mais aussi psychologique et médicinal au cours de soins. Zibulinion, fort intéressé, prit de nombreuses notes.
A la fin du cours, l'adolescent qui était content d'être passé « inaperçu » auprès de la professeur, déchanta quand Xylvania lui demanda de rester parce qu'elle souhaitait lui parler. Les camarades de classe de Zibulinion chuchotèrent entre elles et toutes traînèrent pour quitter les lieux, sans doute curieuses de savoir ce que la professeur avait à dire à l'adolescent. Cependant, Xylvania attendit patiemment qu'il n'y ait plus qu'elle et Zibulinion dans la salle de classe.
L'adolescent était sur les nerfs quand ils se retrouvèrent enfin seuls. Qu'est-ce qu'elle lui voulait ? Allait-elle lui débiter des horreurs comme la professeur d'élégance ou celle de dessin ? Pourtant, elle paraissait si gentille...
2 commentaires:
Merci pour l'épisode du jour ^^
Zibulinion me fais de la peine avec son régime stricte, j'espère au moins qu'il va perdre ses rondeurs, qu'il ne fasse pas tout ce travail pour rien ^__^
J'ai hâte de voir ce que la prof lui veux, rendez-vous sans faute au prochain épisode :D
Aaaaah!!! Vivement demain pour savoir ce qu'elle va lui dire! :)
Je pense qu'elle est gentille et qu'elle va lui être agréable. Mais on verra bien!!!
Et je ne pense malheureusement pas que Buli va maigrir avec ce régime puisqu'il avait dit qu'il ne maigrissait jamais même en faisant des régimes! Le pauvre! ><
Merci pour l'épisode!!! ;)
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