Après la confection des guirlandes, ils s'attaquèrent au sapin. Puis, dans la pénombre de la nuit tombante, ils s'occupèrent des décorations extérieures avant de peindre sur les vitres.
Quand Ludovic vit qu'il était près de vingt heures, il eut du mal y croire. L'après-midi avait filé en un éclair. Hélas, la maisonnette était à présent décorée pour les fêtes et il était temps de prendre en congé.
– Je vais y aller, il est l'heure de dîner, déclara-t-il.
– Papa, M.Yamatatomo ne peut pas rester manger avec nous ? demanda spontanément l'enfant en se tournant vers son père.
– Voyons, il faut laisser ton instituteur rentrer chez lui, répondit Vlad en ébouriffant avec tendresse les cheveux blond pâle de son fils.
Ludovic qui aurait bien eu envie de demeurer un peu plus longtemps en compagnie du père et de l'enfant fut déçu que Vlad ne cherche pas à le retenir, mais il n'essaya pas de s'imposer.
Il reconfirma l'heure à laquelle il devait venir le 24 décembre, enfila son manteau et ses chaussures et s'en fut, regrettant que la mode de se serrer la main pour se dire au revoir se soit perdue et que la bise ne se fasse pas entre hommes.
De retour chez lui, il eut un moment de mélancolie. Les branches de son sapin acheté quinze jours plus tôt pendaient déjà tristement vers le bas. Après les chaudes couleurs de la maisonnette des Glonorov, son appartement aux murs blancs lui semblait froid et... vide.
Ludovic inspira à fond et décida d'aller manger devant la télévision. Il n'était pas dans ses habitudes de dîner devant le poste télé, mais il avait besoin de chasser ce désagréable sentiment de solitude. Il alluma le poste en guise de bruit de fond, prit le temps de se préparer un bon petit plat, le posa sur un plateau en bambou, puis vint regarder ce qui se passait à l'écran.
Cependant, il eut du mal à se concentrer sur l'émission. Sans cesse, il repensait à M.Glonorov. Il venait tout juste de le rencontrer, mais il avait l'impression de le connaître depuis plus longtemps. Il était complètement sous le charme, désespérément amoureux.
Alors que Ludovic était passé au dessert, il entendit sonner. Il fantasma un instant, imaginant que Vlad lui ramenait quelque chose qu'il avait oublié, puis alla ouvrir. C'était Aoki.
Surpris par cette visite inopinée, Ludovic s'exclama :
– Bah alors ! Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu ne devais pas passer le week-end avec Tony ?
Quand Ludovic vit qu'il était près de vingt heures, il eut du mal y croire. L'après-midi avait filé en un éclair. Hélas, la maisonnette était à présent décorée pour les fêtes et il était temps de prendre en congé.
– Je vais y aller, il est l'heure de dîner, déclara-t-il.
– Papa, M.Yamatatomo ne peut pas rester manger avec nous ? demanda spontanément l'enfant en se tournant vers son père.
– Voyons, il faut laisser ton instituteur rentrer chez lui, répondit Vlad en ébouriffant avec tendresse les cheveux blond pâle de son fils.
Ludovic qui aurait bien eu envie de demeurer un peu plus longtemps en compagnie du père et de l'enfant fut déçu que Vlad ne cherche pas à le retenir, mais il n'essaya pas de s'imposer.
Il reconfirma l'heure à laquelle il devait venir le 24 décembre, enfila son manteau et ses chaussures et s'en fut, regrettant que la mode de se serrer la main pour se dire au revoir se soit perdue et que la bise ne se fasse pas entre hommes.
De retour chez lui, il eut un moment de mélancolie. Les branches de son sapin acheté quinze jours plus tôt pendaient déjà tristement vers le bas. Après les chaudes couleurs de la maisonnette des Glonorov, son appartement aux murs blancs lui semblait froid et... vide.
Ludovic inspira à fond et décida d'aller manger devant la télévision. Il n'était pas dans ses habitudes de dîner devant le poste télé, mais il avait besoin de chasser ce désagréable sentiment de solitude. Il alluma le poste en guise de bruit de fond, prit le temps de se préparer un bon petit plat, le posa sur un plateau en bambou, puis vint regarder ce qui se passait à l'écran.
Cependant, il eut du mal à se concentrer sur l'émission. Sans cesse, il repensait à M.Glonorov. Il venait tout juste de le rencontrer, mais il avait l'impression de le connaître depuis plus longtemps. Il était complètement sous le charme, désespérément amoureux.
Alors que Ludovic était passé au dessert, il entendit sonner. Il fantasma un instant, imaginant que Vlad lui ramenait quelque chose qu'il avait oublié, puis alla ouvrir. C'était Aoki.
Surpris par cette visite inopinée, Ludovic s'exclama :
– Bah alors ! Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu ne devais pas passer le week-end avec Tony ?
2 commentaires:
Ho ho ^______^ entrée en scène d'un nouveau perso lol
Pauvre Ludovic à peine rencontré Vlad qu'il est fou d'amoûr pour lui ^^ j'ai hâte de voir ce que ça va donner :)
c'était le coup de foudre pour Ludovic :)
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