Ses camarades de nurserie se moquaient de lui parce qu'il était le dernier de la couvée à être sorti de son oeuf. « Larve, larve... » scandaient-ils en ondoyant autour de lui...
Ses camarades d'école le chahutaient dans la cour de récréation, riant de ses cris...
Ses camarades pilotes, devant la baie vitrée teintée de rouge, pariaient qu'il ne reviendrait pas de son premier combat...
La voix rageuse d'Ellarg ramena Izeark à la situation présente :
– Si tu ne quittes pas ce corps, je vais m'emparer de celui d'un de tes amis ici présent. Tu m'entends, Izeorg ?!
La menace fit frémir Izeark, mais il ne put se résoudre à obéir, car il savait que sans lui, le coeur d'Isaak s'arrêterait de battre. Heureusement, il se rappelait désormais de beaucoup de choses sur les Almortiens...
– Bougez le plus que vous pouvez ! Il aura du mal à vous infiltrer ! s'écria-t-il.
Aucun des officiers ne réagit, car ils lui faisaient pas confiance. En revanche, Elxy, Paterfils et Suénor s'empressèrent d'agiter leurs bras et leurs jambes dans tous les sens. Dambert fit de même, mais seulement après avoir aidé Maïlka dont les mouvements étaient limités, à régler son fauteuil flottant pour qu'il se balance de gauche à droite.
Ellarg, avec un glapissement de rage, pénétra à l'intérieur de l'officier situé derrière Izeark, en ressortit promptement et plongea dans celui d'à côté, décidé à causer le plus grand nombre de morts possible.
Quand le premier officier s'écroula comme une poupée de chiffons, les autres prirent peur et se mirent à suivre le conseil d'Izeark. Seul celui qui venait d'être infiltré par Ellarg resta immobile. L'Almortien, voyant que toutes ses victimes potentielles étaient en mouvement, hésitait sur la marche à suivre.
Dambert, lui, ne tergiversa pas. Il se précipita sur l'officier qui n'agissait pas comme les autres et lui tordit le cou. Pendant que le cri d'agonie d'Ellarg résonnait dans la tête d'Izeark, les officiers qui n'avaient pas compris le drame qui venait de se jouer se jetèrent sur Dambert pour le maîtriser.
A ce moment-là, les généraux à l'écran qui avaient été quelque peu dépassés par l'enchaînement rapide des évènements reprirent le contrôle de la situation.
– Cessez ! C'est un ordre !
Les officiers arrêtèrent de rudoyer le commandant et un silence terrible s'abattit sur la sinistre pièce où trois cadavres étaient à présent allongés.
Ses camarades d'école le chahutaient dans la cour de récréation, riant de ses cris...
Ses camarades pilotes, devant la baie vitrée teintée de rouge, pariaient qu'il ne reviendrait pas de son premier combat...
La voix rageuse d'Ellarg ramena Izeark à la situation présente :
– Si tu ne quittes pas ce corps, je vais m'emparer de celui d'un de tes amis ici présent. Tu m'entends, Izeorg ?!
La menace fit frémir Izeark, mais il ne put se résoudre à obéir, car il savait que sans lui, le coeur d'Isaak s'arrêterait de battre. Heureusement, il se rappelait désormais de beaucoup de choses sur les Almortiens...
– Bougez le plus que vous pouvez ! Il aura du mal à vous infiltrer ! s'écria-t-il.
Aucun des officiers ne réagit, car ils lui faisaient pas confiance. En revanche, Elxy, Paterfils et Suénor s'empressèrent d'agiter leurs bras et leurs jambes dans tous les sens. Dambert fit de même, mais seulement après avoir aidé Maïlka dont les mouvements étaient limités, à régler son fauteuil flottant pour qu'il se balance de gauche à droite.
Ellarg, avec un glapissement de rage, pénétra à l'intérieur de l'officier situé derrière Izeark, en ressortit promptement et plongea dans celui d'à côté, décidé à causer le plus grand nombre de morts possible.
Quand le premier officier s'écroula comme une poupée de chiffons, les autres prirent peur et se mirent à suivre le conseil d'Izeark. Seul celui qui venait d'être infiltré par Ellarg resta immobile. L'Almortien, voyant que toutes ses victimes potentielles étaient en mouvement, hésitait sur la marche à suivre.
Dambert, lui, ne tergiversa pas. Il se précipita sur l'officier qui n'agissait pas comme les autres et lui tordit le cou. Pendant que le cri d'agonie d'Ellarg résonnait dans la tête d'Izeark, les officiers qui n'avaient pas compris le drame qui venait de se jouer se jetèrent sur Dambert pour le maîtriser.
A ce moment-là, les généraux à l'écran qui avaient été quelque peu dépassés par l'enchaînement rapide des évènements reprirent le contrôle de la situation.
– Cessez ! C'est un ordre !
Les officiers arrêtèrent de rudoyer le commandant et un silence terrible s'abattit sur la sinistre pièce où trois cadavres étaient à présent allongés.
2 commentaires:
Merci pour l'épisode ^^
Pinaise je sais pas comment tu vas faire pour dénouer tout ça lol
J'ai hâte de voir ça :)
Je ne vais rien faire du tout, je laisse aux généraux le soin de tout régler... :op
Enregistrer un commentaire