Maïlka qui pressentait que, comme la veille, Elxy ne prendrait pas la peine de le prévenir s'il retrouvait Isaak, décida de se rendre lui-même chez Suénor. Si jamais Isaak ne s'y trouvait pas, il irait au gymnase et au magasin de ravitaillement. Inquiet, Maïlka ne prit pas le temps de troquer son pyjama à étoiles contre une combinaison et s'élança dans le couloir.
En chemin, il rencontra un pilote qui lui jeta un regard surpris. Le jeune homme regretta de ne pas s'être changé, mais continua sa route. Il était de toute façon à présent plus près de la chambre de Suénor que de la sienne.
Soudain, au détour d'un couloir, il vit le commandant Dambert. Son cœur rata un battement. S'il avait imaginé une seule seconde qu'il pouvait le croiser dans le quartier des pilotes, jamais il ne serait sorti dans ce pyjama informe. Maïlka voulut faire demi-tour, mais Dambert l'interpella :
– Pilote Maïlka !
– Commandant ? balbutia le jeune homme.
– Puis-je savoir pourquoi vous vous promenez en pyjama ? demanda Dambert d'une voix lourde de reproches.
Le jeune homme piqua du nez, embarrassé. S'il avait été en âge, il aurait pu raconter qu'il avait été mis à la porte par son amant, mais dans le cas présent, ce genre d'explication n'aurait fait qu'aggraver sa situation. Il ne pouvait pas révéler la vérité, car elle impliquait de parler de l'amnésie d'Isaak. Résultat, il n'avait pas de bonnes excuses à donner.
– Je... j'étais... pressé...
Djklo Dambert attendit en vain que le jeune homme apporte un complément d'information. Le jeune pilote avait de tout évidence des problèmes avec l'habillement. A la fête qui avait tourné court quelques jours plus tôt, il portait une combinaison pour le moins indécente et à présent, il se baladait en tenue de nuit dans les quartiers des pilotes célibataires en âge. Ses hormones devaient le travailler. Il avait peut-être même transgressé le règlement et eut des rapports sexuels avec un pilote. Tout en se disant qu'il aurait dû le sermonner, Djklo décida de lui donner le bénéfice du doute et de faire preuve d'indulgence.
– Je vous raccompagne à votre chambre.
Maïlka qui n'en croyait pas ses oreilles, releva la tête, les yeux brillants.
– Vraiment ?
– Oui, afin de m'assurer que vous vous habillez.
Maïlka dut se retenir de sauter de joie : il allait pouvoir passer quelques minutes en tête à tête avec son cher commandant. Il avait de la chance dans sa malchance initiale.
En chemin, il rencontra un pilote qui lui jeta un regard surpris. Le jeune homme regretta de ne pas s'être changé, mais continua sa route. Il était de toute façon à présent plus près de la chambre de Suénor que de la sienne.
Soudain, au détour d'un couloir, il vit le commandant Dambert. Son cœur rata un battement. S'il avait imaginé une seule seconde qu'il pouvait le croiser dans le quartier des pilotes, jamais il ne serait sorti dans ce pyjama informe. Maïlka voulut faire demi-tour, mais Dambert l'interpella :
– Pilote Maïlka !
– Commandant ? balbutia le jeune homme.
– Puis-je savoir pourquoi vous vous promenez en pyjama ? demanda Dambert d'une voix lourde de reproches.
Le jeune homme piqua du nez, embarrassé. S'il avait été en âge, il aurait pu raconter qu'il avait été mis à la porte par son amant, mais dans le cas présent, ce genre d'explication n'aurait fait qu'aggraver sa situation. Il ne pouvait pas révéler la vérité, car elle impliquait de parler de l'amnésie d'Isaak. Résultat, il n'avait pas de bonnes excuses à donner.
– Je... j'étais... pressé...
Djklo Dambert attendit en vain que le jeune homme apporte un complément d'information. Le jeune pilote avait de tout évidence des problèmes avec l'habillement. A la fête qui avait tourné court quelques jours plus tôt, il portait une combinaison pour le moins indécente et à présent, il se baladait en tenue de nuit dans les quartiers des pilotes célibataires en âge. Ses hormones devaient le travailler. Il avait peut-être même transgressé le règlement et eut des rapports sexuels avec un pilote. Tout en se disant qu'il aurait dû le sermonner, Djklo décida de lui donner le bénéfice du doute et de faire preuve d'indulgence.
– Je vous raccompagne à votre chambre.
Maïlka qui n'en croyait pas ses oreilles, releva la tête, les yeux brillants.
– Vraiment ?
– Oui, afin de m'assurer que vous vous habillez.
Maïlka dut se retenir de sauter de joie : il allait pouvoir passer quelques minutes en tête à tête avec son cher commandant. Il avait de la chance dans sa malchance initiale.
2 commentaires:
Trop mignon cet épisode ^___^
J'aimerais bien savoir si le commandant Dambert en pince pour Maïlka :)
Encore et toujours merci pour l'histoire fantastique que tu nous offre ^^
Les sentiments de Dambert sont Top Secret. :D
Merci de me lire. :)
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