Rasséréné, le prince essaya de nouveau de capturer les lèvres de Youri qui, cette fois, se laissa faire.
– Tu ne m'en veux plus ? demanda-t-il ensuite à l'oreille du jeune homme.
– Non. Mais j'espère qu'un jour tu réussiras à apprécier mon frère.
– Je te promets que j'essayerai...
Maintenant qu'il n'était plus jaloux... enfin, presque plus... cela serait plus facile.
– J'aimerais aussi tu lui accordes ta confiance.
– Tu sais cela ne me poserait pas de problème de donner des détails à Demian au sujet de Léo et d'Equilia, mais des gens mal intentionnés pourraient intercepter le message. En revanche, si tu le souhaites, tu peux inviter ton frère à revenir à la Cour. Nous serons alors en mesure de le tenir au courant si nous parvenons à obtenir des nouvelles de Léo.
– Je comprends... Sinon, j'avais déjà proposé à Demian de revenir ici dans la lettre que j'avais confié pour lui à Léo, mais à priori, il n'y tient pas, puisqu'il n'y a pas fait allusion...
– En même temps, si j'en crois sa lettre, il se plaît beaucoup au manoir des Lyonn.
– Oui... Ceci dit, il y serait plus heureux si Léo était avec lui. S'il revient d'Equilia, peut-être pourrais-tu le laisser y demeurer à plein temps.
– Quand il reviendra, rectifia Aldrick qui se refusait à penser que Léo puisse perdre la vie là-bas. Je serais bien ennuyé de me passer de lui, mais c'est envisageable, ajouta-t-il.
– Parfait... Mais, laissons ton frère et le mien de côté... déclara Youri.
A présent qu'il s'était assuré du bonheur futur de son frère, le jeune homme était désireux de travailler au sien.
– Ai-je bien entendu ? demanda Aldrick avec un large sourire.
– Oui, parfaitement... confirma Youri en glissant une main dans le pyjama du prince.
– Tu deviens bien entreprenant, dis-moi... commença Aldrick.
Youri fit mine de retirer sa main.
– Et ce n'est pas pour me déplaire, termina Aldrick.
Youri se mit alors à le caresser. Faire l'amour, voilà une manière bien agréable de se réconcilier... C'était également une bonne méthode pour oublier tout ce qui le tracassait : les Astriens et leurs petites manigances, les Iridiens et l'éventuel mariage avec Paprika, les Equiliens et l'absence d'informations sur le devenir de la délégation envoyée dans leur royaume...
– Tu ne m'en veux plus ? demanda-t-il ensuite à l'oreille du jeune homme.
– Non. Mais j'espère qu'un jour tu réussiras à apprécier mon frère.
– Je te promets que j'essayerai...
Maintenant qu'il n'était plus jaloux... enfin, presque plus... cela serait plus facile.
– J'aimerais aussi tu lui accordes ta confiance.
– Tu sais cela ne me poserait pas de problème de donner des détails à Demian au sujet de Léo et d'Equilia, mais des gens mal intentionnés pourraient intercepter le message. En revanche, si tu le souhaites, tu peux inviter ton frère à revenir à la Cour. Nous serons alors en mesure de le tenir au courant si nous parvenons à obtenir des nouvelles de Léo.
– Je comprends... Sinon, j'avais déjà proposé à Demian de revenir ici dans la lettre que j'avais confié pour lui à Léo, mais à priori, il n'y tient pas, puisqu'il n'y a pas fait allusion...
– En même temps, si j'en crois sa lettre, il se plaît beaucoup au manoir des Lyonn.
– Oui... Ceci dit, il y serait plus heureux si Léo était avec lui. S'il revient d'Equilia, peut-être pourrais-tu le laisser y demeurer à plein temps.
– Quand il reviendra, rectifia Aldrick qui se refusait à penser que Léo puisse perdre la vie là-bas. Je serais bien ennuyé de me passer de lui, mais c'est envisageable, ajouta-t-il.
– Parfait... Mais, laissons ton frère et le mien de côté... déclara Youri.
A présent qu'il s'était assuré du bonheur futur de son frère, le jeune homme était désireux de travailler au sien.
– Ai-je bien entendu ? demanda Aldrick avec un large sourire.
– Oui, parfaitement... confirma Youri en glissant une main dans le pyjama du prince.
– Tu deviens bien entreprenant, dis-moi... commença Aldrick.
Youri fit mine de retirer sa main.
– Et ce n'est pas pour me déplaire, termina Aldrick.
Youri se mit alors à le caresser. Faire l'amour, voilà une manière bien agréable de se réconcilier... C'était également une bonne méthode pour oublier tout ce qui le tracassait : les Astriens et leurs petites manigances, les Iridiens et l'éventuel mariage avec Paprika, les Equiliens et l'absence d'informations sur le devenir de la délégation envoyée dans leur royaume...
(Fin du chapitre 17)