Alex savait qu’il devait maintenant abaisser les paupières, et se contenter de l’audio et des informations que lui transmettraient ses capteurs sensoriels.
— Tu n’es pas… commença Val, mais il s’interrompit et tendit la langue.
Alex ferma les yeux.
Les attentions que prodigua Val à son pénis provoquèrent une érection.
Val le lécha pendant 9 minutes et 43 secondes avant de s’arrêter.
— Je…
Il y avait une note de détresse dans la voix de Val.
Alex rouvrit les yeux et reconnut de l’inquiétude et de l’inconfort sur les traits de son amoureux.
— A mon tour, déclara-t-il.
— Mais je n’ai pas réussi à te faire jouir... souffla Val.
Ce qui n’était pas sa faute. Alex était programmé pour donner du plaisir, pas en prendre. Il était supposé pouvoir éjaculer, mais l’orgasme de son ou sa partenaire primait. Tout cela, il n’était cependant pas autorisé à l’expliquer, aussi aida-t-il Val à se relever, et il abaissa ses habits en douceur, paupières mi-closes, ne pouvant se résoudre à les clore complètement, parce qu’il avait… envie de lire le plaisir sur son visage.
Il libéra le pénis engorgé de Val et l’enfourna jusqu’à ce que ses lèvres entrent en contact avec ses poils pubiens.
Val gémit de plus en en plus fort, ses hanches tressautant.
— Oh, Alex… Alex !
Le pénis de Val pulsa et Alex avala tout son sperme. Ensuite, il se redressa et réajusta les habits de Val, puis les siens.
— Tu… murmura Val, jambes tremblantes.
Sa faculté langagière et sa fonction motrice étaient à priori endommagées. Alex le fit s’asseoir sur le lit.
— C’était comme dans un porno, parvint finalement déclarer Val. Non que j’en ai vu beaucoup, précisa-t-il avec embarras. Je ne pensais pas que c’était vraiment possible de faire ça. Moi, à côté, je suis tout, sauf doué… continua-t-il. Je m’entraînerai ! s’écria-t-il.
Alex l’embrassa longuement jusqu’à ce que Val s’écarte, le souffle court.
Peut-être qu’Alex devrait également fixer une limite maximale à la durée de leurs baisers, même quand ils étaient seuls. Respirer était une fonction vitale pour les humains et à priori, être bouche contre bouche conduisait à manquer d’air. Pour contourner cela, marquer une pause dans le baiser semblait constituer une bonne solution.
Des bruits se firent entendre dans le bas de la maison, repoussant le moment de tester.
— Tu n’es pas… commença Val, mais il s’interrompit et tendit la langue.
Alex ferma les yeux.
Les attentions que prodigua Val à son pénis provoquèrent une érection.
Val le lécha pendant 9 minutes et 43 secondes avant de s’arrêter.
— Je…
Il y avait une note de détresse dans la voix de Val.
Alex rouvrit les yeux et reconnut de l’inquiétude et de l’inconfort sur les traits de son amoureux.
— A mon tour, déclara-t-il.
— Mais je n’ai pas réussi à te faire jouir... souffla Val.
Ce qui n’était pas sa faute. Alex était programmé pour donner du plaisir, pas en prendre. Il était supposé pouvoir éjaculer, mais l’orgasme de son ou sa partenaire primait. Tout cela, il n’était cependant pas autorisé à l’expliquer, aussi aida-t-il Val à se relever, et il abaissa ses habits en douceur, paupières mi-closes, ne pouvant se résoudre à les clore complètement, parce qu’il avait… envie de lire le plaisir sur son visage.
Il libéra le pénis engorgé de Val et l’enfourna jusqu’à ce que ses lèvres entrent en contact avec ses poils pubiens.
Val gémit de plus en en plus fort, ses hanches tressautant.
— Oh, Alex… Alex !
Le pénis de Val pulsa et Alex avala tout son sperme. Ensuite, il se redressa et réajusta les habits de Val, puis les siens.
— Tu… murmura Val, jambes tremblantes.
Sa faculté langagière et sa fonction motrice étaient à priori endommagées. Alex le fit s’asseoir sur le lit.
— C’était comme dans un porno, parvint finalement déclarer Val. Non que j’en ai vu beaucoup, précisa-t-il avec embarras. Je ne pensais pas que c’était vraiment possible de faire ça. Moi, à côté, je suis tout, sauf doué… continua-t-il. Je m’entraînerai ! s’écria-t-il.
Alex l’embrassa longuement jusqu’à ce que Val s’écarte, le souffle court.
Peut-être qu’Alex devrait également fixer une limite maximale à la durée de leurs baisers, même quand ils étaient seuls. Respirer était une fonction vitale pour les humains et à priori, être bouche contre bouche conduisait à manquer d’air. Pour contourner cela, marquer une pause dans le baiser semblait constituer une bonne solution.
Des bruits se firent entendre dans le bas de la maison, repoussant le moment de tester.
3 commentaires:
Merci pour l'épisode du jour ^o^
J'espère qu'au fil du temps Alex sera reprogrammé pour prendre du plaisir en même temps que son compagnon :)
J'ai vraiment hâte de voir jusqu'où tu vas nous emmener dans cette histoire ^^
Vivement la suite :D
Alors il serait même capable d'éjaculer…
Par contre pauvre Valérian qui se croit incapable de lui donner du plaisir. ><
Bonne analyse ! laisse lui le temps de respirer. ^-^
Merci pour cet épisode et bon week-end. ^^
Je valide à 100% "pauvre Valérian"...
En attendant, Alex évolue peu à peu et apprend (y compris à mieux embrasser !)... Du coup, c'est peut-être moins sa programmation qui va avoir besoin de changer que lui-même.
Bon week-end et à lundi pour la suite ! :)
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