Alex étant mal en point, au lieu de faire les présentations, Valérian expliqua vite fait, mal fait ce qui s’était passé à ses parents et sa sœur qui l’aida à installer Alex sur le lit dans sa chambre.
Sa mère ramena un verre d’eau et un morceau de sucre.
— Mer-ci, répondit Alex avant de boire quelques gorgées et de manger.
Il ne paraissait pas plus pâle que d’habitude, mais ses mouvements étaient ralentis. Le contre-coup du sauvetage.
Valérian se sentait parfaitement inutile.
— Je pourrais le ramener chez lui, en voiture, proposa son père.
— Après s’être reposé, il ira mieux, assura Valérian, parce que c’est ce qu’il espérait.
— Il a sauvé un enfant, c’est ça ? demanda sa sœur.
Valérian, répondant aux différentes questions de sa famille, raconta à nouveau la manière dont le garçon avait échappé à sa mère et sauté sur la route et comment Alex lui avait couru après, le mettant in extremis hors de danger.
Sa sœur semblait incrédule.
— Pourriez-vous me laisser seul un petit moment ? demanda Alex.
— Oui, bien sûr, tu dois avoir besoin de calme, dit sa mère, les poussant vers la porte, Valérian compris, malgré ses protestations.
— Il se prend pour qui, celui-là ? grommela sa sœur dans le couloir. Nous sommes chez nous.
C’est sûr que comme première impression, on pouvait mieux faire. Elle ne voyait pas Alex sous son meilleur jour.
Valérian essaya de le défendre, mais elle l’interrompit :
— Tu as dressé un portrait super flatteur de lui, mais il n’a rien de spécial.
— Allons, ma chérie, tu devrais prendre en compte les circonstances, intervint leur mère.
— Il faut être un idiot pour se jeter sous les roues d’une voiture.
— Même pour sauver un enfant ? s’insurgea Valérian.
— Ne vous disputez pas, coupa leur père. Descendons plutôt.
— Je préfère rester à l’étage. Je veux pouvoir entendre Alex.
— Tu devrais le laisser se reposer tranquille.
Au final, Valérian fut contraire de suivre le mouvement, mais il n’écouta que distraitement la conversation et il retourna dans sa chambre, une fois que vingt longues minutes se furent écoulées.
Alex était assis sur le lit.
— Tu te sens mieux ? demanda Valérian en se précipitant vers lui.
— Oui, affirma Alex. Je vais présenter mes excuses à tes parents et sa sœur, ajouta-t-il en se levant.
— Non, c’est bon, ne t’inquiète pas. Il n’y a pas d’urgence.
Sa mère ramena un verre d’eau et un morceau de sucre.
— Mer-ci, répondit Alex avant de boire quelques gorgées et de manger.
Il ne paraissait pas plus pâle que d’habitude, mais ses mouvements étaient ralentis. Le contre-coup du sauvetage.
Valérian se sentait parfaitement inutile.
— Je pourrais le ramener chez lui, en voiture, proposa son père.
— Après s’être reposé, il ira mieux, assura Valérian, parce que c’est ce qu’il espérait.
— Il a sauvé un enfant, c’est ça ? demanda sa sœur.
Valérian, répondant aux différentes questions de sa famille, raconta à nouveau la manière dont le garçon avait échappé à sa mère et sauté sur la route et comment Alex lui avait couru après, le mettant in extremis hors de danger.
Sa sœur semblait incrédule.
— Pourriez-vous me laisser seul un petit moment ? demanda Alex.
— Oui, bien sûr, tu dois avoir besoin de calme, dit sa mère, les poussant vers la porte, Valérian compris, malgré ses protestations.
— Il se prend pour qui, celui-là ? grommela sa sœur dans le couloir. Nous sommes chez nous.
C’est sûr que comme première impression, on pouvait mieux faire. Elle ne voyait pas Alex sous son meilleur jour.
Valérian essaya de le défendre, mais elle l’interrompit :
— Tu as dressé un portrait super flatteur de lui, mais il n’a rien de spécial.
— Allons, ma chérie, tu devrais prendre en compte les circonstances, intervint leur mère.
— Il faut être un idiot pour se jeter sous les roues d’une voiture.
— Même pour sauver un enfant ? s’insurgea Valérian.
— Ne vous disputez pas, coupa leur père. Descendons plutôt.
— Je préfère rester à l’étage. Je veux pouvoir entendre Alex.
— Tu devrais le laisser se reposer tranquille.
Au final, Valérian fut contraire de suivre le mouvement, mais il n’écouta que distraitement la conversation et il retourna dans sa chambre, une fois que vingt longues minutes se furent écoulées.
Alex était assis sur le lit.
— Tu te sens mieux ? demanda Valérian en se précipitant vers lui.
— Oui, affirma Alex. Je vais présenter mes excuses à tes parents et sa sœur, ajouta-t-il en se levant.
— Non, c’est bon, ne t’inquiète pas. Il n’y a pas d’urgence.
2 commentaires:
Ah super il a pu se recharger discrètement.
Elle n'a pas l'air facile la sœur de Valérian.
Merci pour cet épisode. ^^
Merci pour l'épisode :)
Alex aurait-il utilisé une batterie de secours pour se recharger un peu?... J'espère que la soeur de Val va changer d'avis sur lui ^^
Hâte de lire la suite en tout cas
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