Lukas réunit sa verge et celle de Wata. La friction jointe de leurs pénis était enivrante comme un alcool fort et son prénom prononcé d’une voix haletante par Wata acheva Lukas. L’intensité de son orgasme le laissa pantelant et perplexe.
Même en l’absence de seins et de courbes féminines, il avait ressenti un plaisir plus fort qu’avec ses dernières partenaires. Peut-être était-ce en raison des circonstances particulières – seuls au monde à se débattre pour survivre – peut-être parce que c’était Wata. Ce n’était pas une inconnue croisée et séduite avec des bavardages inconséquents, c’était quelqu’un avec lequel il partageait une expérience difficile. Paradoxalement, alors qu’ils étaient incapables de comprendre le langage de l’autre, leurs échanges étaient allés plus loin.
Tandis que Lukas réfléchissait encore au pourquoi du comment, Wata s’endormit la tête nichée sur son torse, son corps blotti contre le sien, ce qui était incontestablement mieux que la nuit précédente.
Au matin, le tour physique qu’avait pris leur relation se confirma. Ils se caressèrent de concert avant de reprendre le fil de leur routine sur l’île. Cependant, lors des pauses au lieu de jouer, chanter ou dessiner, ils explorèrent le corps l’un de l’autre.
Lukas lécha les tétons de Wata et s’émerveilla de la sensibilité du jeune homme. Lui, cela ne lui faisait guère d’effet et certaines femmes qu’il avait connues en avaient d’ailleurs était surprises, car apparemment c’était une zone érogène pour pas mal d’hommes. Wata, lui, découvrit que Lukas réagissait fortement aux baisers dans le cou et se transforma en petit vampire. Lukas ne pouvait nier adorer caresser Wata et aimait sentir les mains du jeune homme sur lui, mais quand Wata s’agenouilla devant lui avec l’intention évidente de lui faire une fellation, Lukas l’aida à se relever, non pas parce qu’il n’en avait pas envie, mais parce que tant qu’il ne se voyait pas rendre la pareille à Wata, il ne voulait pas profiter de lui. Ce n’était pas tant le caractère gay de la chose qui le bloquait que leur manque d’hygiène.
Wata parut déçu. Lukas se demanda s’il avait de l’expérience dans l’acte, s’il se souvenait l’avoir pratiqué. Il ne chercha pas à l’interroger pour autant. L’amnésie de son compagnon était un sujet délicat et de toute façon, discuter avec lui était compliqué entre leur vocabulaire limité et leur absence de grammaire.
Même en l’absence de seins et de courbes féminines, il avait ressenti un plaisir plus fort qu’avec ses dernières partenaires. Peut-être était-ce en raison des circonstances particulières – seuls au monde à se débattre pour survivre – peut-être parce que c’était Wata. Ce n’était pas une inconnue croisée et séduite avec des bavardages inconséquents, c’était quelqu’un avec lequel il partageait une expérience difficile. Paradoxalement, alors qu’ils étaient incapables de comprendre le langage de l’autre, leurs échanges étaient allés plus loin.
Tandis que Lukas réfléchissait encore au pourquoi du comment, Wata s’endormit la tête nichée sur son torse, son corps blotti contre le sien, ce qui était incontestablement mieux que la nuit précédente.
Au matin, le tour physique qu’avait pris leur relation se confirma. Ils se caressèrent de concert avant de reprendre le fil de leur routine sur l’île. Cependant, lors des pauses au lieu de jouer, chanter ou dessiner, ils explorèrent le corps l’un de l’autre.
Lukas lécha les tétons de Wata et s’émerveilla de la sensibilité du jeune homme. Lui, cela ne lui faisait guère d’effet et certaines femmes qu’il avait connues en avaient d’ailleurs était surprises, car apparemment c’était une zone érogène pour pas mal d’hommes. Wata, lui, découvrit que Lukas réagissait fortement aux baisers dans le cou et se transforma en petit vampire. Lukas ne pouvait nier adorer caresser Wata et aimait sentir les mains du jeune homme sur lui, mais quand Wata s’agenouilla devant lui avec l’intention évidente de lui faire une fellation, Lukas l’aida à se relever, non pas parce qu’il n’en avait pas envie, mais parce que tant qu’il ne se voyait pas rendre la pareille à Wata, il ne voulait pas profiter de lui. Ce n’était pas tant le caractère gay de la chose qui le bloquait que leur manque d’hygiène.
Wata parut déçu. Lukas se demanda s’il avait de l’expérience dans l’acte, s’il se souvenait l’avoir pratiqué. Il ne chercha pas à l’interroger pour autant. L’amnésie de son compagnon était un sujet délicat et de toute façon, discuter avec lui était compliqué entre leur vocabulaire limité et leur absence de grammaire.
2 commentaires:
Merci pour cette suite, Lukas est un mec bien, on sent bien qu'il ne veux pas profiter de Wata
Ils sont si mignons tout les deux ^o^
Petite info en passant : nous avons le point de vue de Lukas pour le moment, mais je compte aussi donner celui de Wata par la suite ! :)
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