Lukas entonna une interprétation toute personnelle de « La mer qu’on voit danser » en agitant les bras avec emphase et beaucoup de lalala pour compléter toutes les paroles qui lui manquaient.
Wata le regarda avec de grands yeux écarquillés, son étonnement se transformant en amusement avant que finalement un rire franc ne lui échappe.
Lukas, content d’avoir réussi à changer les idées à son compagnon prétendit malgré tout être indigné, et le pointa du doigt, avant de s’asseoir.
— A ton tour, si tu penses pouvoir faire mieux !
Trop tard, il se demanda s’il n’était pas en train de réappuyer où ça faisait mal, car peut-être Wata ne se souvenait d’aucune chanson.
Mais heureusement, après un silence, le jeune homme se leva et se mit à chanter d’une voix claire.
Wata termina sa prestation par une courbette et Lukas applaudit bien fort.
C’était agréable de se détendre, de penser à autre chose que la nécessité de trouver de quoi manger en attendant des secours qui n’arrivaient pas...
Ils auraient dû intégrer des moments comme celui-là dans leur quotidien plus tôt. Mais évidemment, en bon Stakhanov du travail, cela n’avait pas effleuré Lukas et Wata qui l’accompagnait dans ses occupations avait été en quelque sorte obligé de suivre le même régime.
Même s’il était le plus âgé, Lukas n’aurait pas dû décider de tout en permanence. Wata n’était pas un de ses employés et quand bien même il l’aurait été, laisser l’initiative de temps à autre était important.
Lukas se retint de suggérer qu’ils aillent chercher de l’eau et attendit de voir ce que Wata allait faire.
Le jeune homme croisa les bras, le regardant, sans doute dans l’expectative des directions de Lukas.
Pendant un long moment, ni l’un ni l’autre ne bougèrent, avec pour seul fond sonore le bruit des vagues, presque comme si le but du jeu était demeurer immobile et silencieux et que le perdant serait celui qui craquerait.
— Naze watashitachiha mizu o tori ni ikanai nodesu ka?
Même si Wata n’avait pas mimer l’action de boire, Lukas aurait reconnut le mot mizu.
— Oui, allons-y, répondit Lukas.
Il se mit debout, secouant le sable resté collé sur ses habits plus par réflexe qu’autre chose vu l’état dans lesquels ils étaient.
Wata le regarda avec de grands yeux écarquillés, son étonnement se transformant en amusement avant que finalement un rire franc ne lui échappe.
Lukas, content d’avoir réussi à changer les idées à son compagnon prétendit malgré tout être indigné, et le pointa du doigt, avant de s’asseoir.
— A ton tour, si tu penses pouvoir faire mieux !
Trop tard, il se demanda s’il n’était pas en train de réappuyer où ça faisait mal, car peut-être Wata ne se souvenait d’aucune chanson.
Mais heureusement, après un silence, le jeune homme se leva et se mit à chanter d’une voix claire.
Wata termina sa prestation par une courbette et Lukas applaudit bien fort.
C’était agréable de se détendre, de penser à autre chose que la nécessité de trouver de quoi manger en attendant des secours qui n’arrivaient pas...
Ils auraient dû intégrer des moments comme celui-là dans leur quotidien plus tôt. Mais évidemment, en bon Stakhanov du travail, cela n’avait pas effleuré Lukas et Wata qui l’accompagnait dans ses occupations avait été en quelque sorte obligé de suivre le même régime.
Même s’il était le plus âgé, Lukas n’aurait pas dû décider de tout en permanence. Wata n’était pas un de ses employés et quand bien même il l’aurait été, laisser l’initiative de temps à autre était important.
Lukas se retint de suggérer qu’ils aillent chercher de l’eau et attendit de voir ce que Wata allait faire.
Le jeune homme croisa les bras, le regardant, sans doute dans l’expectative des directions de Lukas.
Pendant un long moment, ni l’un ni l’autre ne bougèrent, avec pour seul fond sonore le bruit des vagues, presque comme si le but du jeu était demeurer immobile et silencieux et que le perdant serait celui qui craquerait.
— Naze watashitachiha mizu o tori ni ikanai nodesu ka?
Même si Wata n’avait pas mimer l’action de boire, Lukas aurait reconnut le mot mizu.
— Oui, allons-y, répondit Lukas.
Il se mit debout, secouant le sable resté collé sur ses habits plus par réflexe qu’autre chose vu l’état dans lesquels ils étaient.
1 commentaire:
Génial cet épisode merci ^___^
Lukas a raison de laisser un peu d'initiatives à Wata ça pourrait porter ses fruits pour la suite de leurs péripéties :)
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