L’alcool coulait à flots. Wyatt avait déjà été à des fêtes arrosées de bière (et parfois un peu plus que ça), mais là, cela dépassait l’entendement. L’ambiance avait été bonne au début, mais les choses avaient vite dégénéré.
Il y avait des gars bourrés au mètre carré et c’était plus pitoyable qu’autre chose. Des élèves plus âgés l’avaient encouragé à boire avec une insistance déplaisante, mais Wyatt avait tenu bon. Le verre de vodka-orange qu’il avait pris était déjà plus qu’assez pour lui. Il voulait garder les idées claires et pas se retrouver à rouler sous la table ou danser nu dessus comme ce gars qui risquait fort de retrouver sa photo sur les réseaux sociaux demain…
Wyatt se décida à s’éclipser. Une bonne moitié de l’assemblée aurait un souvenir plus que brumeux de leur journée et des gens avec lesquels ils avaient discuté. Conclusion, il était vain de leur parler, surtout que la plupart ne tenait plus que des propos incohérents. De façon décevante, le week-end d’intégration était en fait surtout un prétexte à boire.
Wyatt galéra à récupérer sa veste enfouie sous des dizaines d’autres, mais finit par mettre la main dessus et sortit.
Hélas, au lieu d’une bonne bouffée d’air frais après la fumée des cigarettes et les vapeurs alcoolisées, il dut faire face à une odeur écœurante de vomi.
Il commençait à rédiger mentalement un mail à Kembou sur les « joies » du week-end d’intégration quand la porte s’ouvrit à la volée derrière lui. Il eut juste le temps de s’écarter pour éviter de se la prendre de plein fouet. L’afflux soudain de lumière et de bruit le fit cligner des yeux.
Un petit groupe se disputait : trois garçons, une fille.
— Mais fichez-moi la paix !
— C’est de ta faute…
— Ouais, enchérit l’un des types en attrapant le poignet de la fille.
Il y en avait peu en école d’ingénieurs, et cela ne surprit guère Wyatt que l’une d’elles se fasse embêter.
Sans réfléchir, il s’emmêla :
— Laissez-la tranquille !
— Non, mais occupe-toi de tes oignons, grommela le gars qui avait empoigné la demoiselle.
L’un des garçons ricana :
— En voilà un qui se prend pour un chevalier…
Wyatt qui ne s’était jamais battu de sa vie, se demanda si cela allait tourner à la bagarre et d’instinct, serra les poings.
Il y avait des gars bourrés au mètre carré et c’était plus pitoyable qu’autre chose. Des élèves plus âgés l’avaient encouragé à boire avec une insistance déplaisante, mais Wyatt avait tenu bon. Le verre de vodka-orange qu’il avait pris était déjà plus qu’assez pour lui. Il voulait garder les idées claires et pas se retrouver à rouler sous la table ou danser nu dessus comme ce gars qui risquait fort de retrouver sa photo sur les réseaux sociaux demain…
Wyatt se décida à s’éclipser. Une bonne moitié de l’assemblée aurait un souvenir plus que brumeux de leur journée et des gens avec lesquels ils avaient discuté. Conclusion, il était vain de leur parler, surtout que la plupart ne tenait plus que des propos incohérents. De façon décevante, le week-end d’intégration était en fait surtout un prétexte à boire.
Wyatt galéra à récupérer sa veste enfouie sous des dizaines d’autres, mais finit par mettre la main dessus et sortit.
Hélas, au lieu d’une bonne bouffée d’air frais après la fumée des cigarettes et les vapeurs alcoolisées, il dut faire face à une odeur écœurante de vomi.
Il commençait à rédiger mentalement un mail à Kembou sur les « joies » du week-end d’intégration quand la porte s’ouvrit à la volée derrière lui. Il eut juste le temps de s’écarter pour éviter de se la prendre de plein fouet. L’afflux soudain de lumière et de bruit le fit cligner des yeux.
Un petit groupe se disputait : trois garçons, une fille.
— Mais fichez-moi la paix !
— C’est de ta faute…
— Ouais, enchérit l’un des types en attrapant le poignet de la fille.
Il y en avait peu en école d’ingénieurs, et cela ne surprit guère Wyatt que l’une d’elles se fasse embêter.
Sans réfléchir, il s’emmêla :
— Laissez-la tranquille !
— Non, mais occupe-toi de tes oignons, grommela le gars qui avait empoigné la demoiselle.
L’un des garçons ricana :
— En voilà un qui se prend pour un chevalier…
Wyatt qui ne s’était jamais battu de sa vie, se demanda si cela allait tourner à la bagarre et d’instinct, serra les poings.
1 commentaire:
Ho ho cela ne se passe pas si bien pendant ce week-end d'intégration ^_^"
Merci pour l'épisode, j'ai du retard à rattraper avec mon ordi qui était fichu, obligé d'en racheter un :)
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