L'intérieur était semblable à celui d'un grotte préhistorique avec des peintures couleur sienne d'étranges animaux sur les parois.
L'homme qui les accueillit était vêtu d'un peau de bête. Il avait la peau noire, ce qui faisait ressortir les deux canines blanches étincelantes qui dépassaient de sa bouche.
— Il ne manquait plus qu'un mort-vivant, laissa échapper Grégoire dans un murmure.
Il fut hélas entendu à sa grande honte.
— Il existe des humains capables de se relever après leur trépas ? A Versélia, seuls les phénix renaissent de leurs cendres.
Grégoire n'eut plus qu'à justifier sa remarque, mais il ne lui fut pas facile d'expliquer que les vampires appartenaient au domaine de la fiction, au même titre que les fées.
Sergeï intervint :
— Au risque de décevoir, mon cœur n'a jamais cessé de battre. Je suis un suceur. Tous les types de fluides me conviennent avec une préférence pour les corporels. Ce point éclairci, que me vaut votre visite ?
Saphir mit au parfum le vampire, ou plutôt le suceur, avant que Grégoire ne le fasse.
Sergeï darda ses yeux noirs sur Grégoire qui esquissa un sourire poli.
— C'est rare que l'on requiert mes services pour cela… Mais asseyez-vous, je vous prie, dit-il en leur indiquant de gros cailloux au dos rond placés en cercle devant un petit feu.
Saphir et Crystal obtempèrent et Grégoire aussi avec un temps de décalage. Il aurait donné cher pour être ailleurs.
— Dégage ton cou, exigea Sergeï, ses dents s'allongeant encore.
Grégoire rentra la tête dans les épaules. Suceur ou vampire, Sergeï avait l'intention de lui ponctionner du sang !
— Si tu ne veux pas, il te faut pleurer. Autrement, il reste la fellation.
Grégoire sursauta.
— Il est très doué, glissa le fée aux cheveux bleus.
— Saphir ! C'est donc pour cette raison que tu le connais si bien ! s'écria Crystal entre surprise et indignation.
— Eh bien quoi, chacun ses plaisirs.
Grégoire regarda la bouche de Sergeï, puis le petit pénis de Saphir qui avait abandonné en cours de route sa taille humaine, puis il se représenta le suceur entre ses jambes, son souffle sur son membre et il se mit à durcir. Il s'ébroua.
Même si la pudeur n'était pas de mise sur Versélia, ce n'était pas une raison pour se laisser contaminer.
Grégoire déboutonna le haut de sa chemise et ouvrit largement son col.
Sergeï n'eut pas besoin d'autre invitation. Il se pencha et planta ses dents pointues dans la chair offerte.
La douleur fut brève et la succion bizarrement excitante.
L'homme qui les accueillit était vêtu d'un peau de bête. Il avait la peau noire, ce qui faisait ressortir les deux canines blanches étincelantes qui dépassaient de sa bouche.
— Il ne manquait plus qu'un mort-vivant, laissa échapper Grégoire dans un murmure.
Il fut hélas entendu à sa grande honte.
— Il existe des humains capables de se relever après leur trépas ? A Versélia, seuls les phénix renaissent de leurs cendres.
Grégoire n'eut plus qu'à justifier sa remarque, mais il ne lui fut pas facile d'expliquer que les vampires appartenaient au domaine de la fiction, au même titre que les fées.
Sergeï intervint :
— Au risque de décevoir, mon cœur n'a jamais cessé de battre. Je suis un suceur. Tous les types de fluides me conviennent avec une préférence pour les corporels. Ce point éclairci, que me vaut votre visite ?
Saphir mit au parfum le vampire, ou plutôt le suceur, avant que Grégoire ne le fasse.
Sergeï darda ses yeux noirs sur Grégoire qui esquissa un sourire poli.
— C'est rare que l'on requiert mes services pour cela… Mais asseyez-vous, je vous prie, dit-il en leur indiquant de gros cailloux au dos rond placés en cercle devant un petit feu.
Saphir et Crystal obtempèrent et Grégoire aussi avec un temps de décalage. Il aurait donné cher pour être ailleurs.
— Dégage ton cou, exigea Sergeï, ses dents s'allongeant encore.
Grégoire rentra la tête dans les épaules. Suceur ou vampire, Sergeï avait l'intention de lui ponctionner du sang !
— Si tu ne veux pas, il te faut pleurer. Autrement, il reste la fellation.
Grégoire sursauta.
— Il est très doué, glissa le fée aux cheveux bleus.
— Saphir ! C'est donc pour cette raison que tu le connais si bien ! s'écria Crystal entre surprise et indignation.
— Eh bien quoi, chacun ses plaisirs.
Grégoire regarda la bouche de Sergeï, puis le petit pénis de Saphir qui avait abandonné en cours de route sa taille humaine, puis il se représenta le suceur entre ses jambes, son souffle sur son membre et il se mit à durcir. Il s'ébroua.
Même si la pudeur n'était pas de mise sur Versélia, ce n'était pas une raison pour se laisser contaminer.
Grégoire déboutonna le haut de sa chemise et ouvrit largement son col.
Sergeï n'eut pas besoin d'autre invitation. Il se pencha et planta ses dents pointues dans la chair offerte.
La douleur fut brève et la succion bizarrement excitante.
2 commentaires:
Oh mon dieu *o* j'adore Sergeï j'espère que tu vas exploiter toute ses capacités car je suis conquise et j'ai très envie d'en apprendre plus sur lui même si j'aime aussi beaucoup Saphir :)
Merci pour l'épisode,pauvre Grégoire avec tout ça je ne m'étonnerai pas qu'il pète un câble XD
Je suis hyper impatiente de lire la suite et j’échafaude déjà des plans sur qui va finir avec qui ^____^
Les prétendants potentiels ne manquent pas pour Grégoire, mais je crois qu'il est impossible de deviner à ce stade.
Il faut dire que pleins de personnages auront le droit à leur propre histoire, ce qui ne les empêchera pas de jouer leur rôle dans celle-là. :)
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