Grégoire Beaujack, au volant de sa spacieuse voiture métallisée, suivait de façon scrupuleuse les consignes du GPS intégré. Son travail nécessitait qu'il se déplace souvent de ville en ville.
Il s'engagea sans sourciller sur la route qui serpentait entre les grands arbres.
Il roulait depuis un moment quand le bitume laissa place à des gravillons, puis à de la simple terre battue.
Malgré l'excellente suspension de son véhicule, il commençait à être secoué et envisageait de faire demi-tour, raccourci ou pas, quand il cala. Il avait pourtant assez d'essence, ayant pris soin de faire le plein avant son départ.
Ses tentatives pour redémarrer échouèrent, ne lui laissant d'autre choix que de descendre pour effectuer le tour de sa voiture, mais il ne vit aucun pneu crevé ou obstacle expliquant la panne.
Avec un soupir résigné, il ôta la veste de son costume gris pour ne pas le salir, l'allongea sur la banquette arrière de façon à ne pas le froisser et remonta les manches de sa chemise blanche avant d'ouvrir le capot pour examiner le moteur. Rien ne semblait clocher, ce qui signifiait que le problème devait être électronique, ce qui dépassait les compétences mécaniques de Grégoire.
Il sortit de la poche de son pantalon son téléphone pour appeler un dépanneur, et eut la mauvaise surprise de découvrir qu'il n'y avait pas de réseau. Il ne pourrait même pas prévenir de son retard.
Il passa une main ennuyée dans ses courts cheveux blonds, se donna la peine de pousser sa voiture sur le bas-côté, et remit sa veste.
Il faisait doux en cette fin de printemps aussi ne prit-il pas son léger manteau avant de se mettre en marche, en espérant tomber sur une habitation.
Ses souliers de ville cirés n'étaient pas adaptés aux longues marches et il ne tarda pas à avoir mal aux pieds. Il continua néanmoins à avancer, mais à force de croisements, d'embranchements et de sentiers qui ne menaient nulle part, il lui fallut se rendre à l'évidence : il était perdu.
Il s'immobilisa, tenta en vain de retracer ses pas pour revenir à sa voiture, puis se rappela que la règle si on n'arrivait pas à se repérer était de de ne plus bouger jusqu'à être retrouvé.
Sachant que les secours ne risquaient pas de débarquer avant plusieurs heures, le temps que son absence à la réunion soit actée et son entreprise contactée, il chercha un endroit confortable pour s'installer.
Il s'engagea sans sourciller sur la route qui serpentait entre les grands arbres.
Il roulait depuis un moment quand le bitume laissa place à des gravillons, puis à de la simple terre battue.
Malgré l'excellente suspension de son véhicule, il commençait à être secoué et envisageait de faire demi-tour, raccourci ou pas, quand il cala. Il avait pourtant assez d'essence, ayant pris soin de faire le plein avant son départ.
Ses tentatives pour redémarrer échouèrent, ne lui laissant d'autre choix que de descendre pour effectuer le tour de sa voiture, mais il ne vit aucun pneu crevé ou obstacle expliquant la panne.
Avec un soupir résigné, il ôta la veste de son costume gris pour ne pas le salir, l'allongea sur la banquette arrière de façon à ne pas le froisser et remonta les manches de sa chemise blanche avant d'ouvrir le capot pour examiner le moteur. Rien ne semblait clocher, ce qui signifiait que le problème devait être électronique, ce qui dépassait les compétences mécaniques de Grégoire.
Il sortit de la poche de son pantalon son téléphone pour appeler un dépanneur, et eut la mauvaise surprise de découvrir qu'il n'y avait pas de réseau. Il ne pourrait même pas prévenir de son retard.
Il passa une main ennuyée dans ses courts cheveux blonds, se donna la peine de pousser sa voiture sur le bas-côté, et remit sa veste.
Il faisait doux en cette fin de printemps aussi ne prit-il pas son léger manteau avant de se mettre en marche, en espérant tomber sur une habitation.
Ses souliers de ville cirés n'étaient pas adaptés aux longues marches et il ne tarda pas à avoir mal aux pieds. Il continua néanmoins à avancer, mais à force de croisements, d'embranchements et de sentiers qui ne menaient nulle part, il lui fallut se rendre à l'évidence : il était perdu.
Il s'immobilisa, tenta en vain de retracer ses pas pour revenir à sa voiture, puis se rappela que la règle si on n'arrivait pas à se repérer était de de ne plus bouger jusqu'à être retrouvé.
Sachant que les secours ne risquaient pas de débarquer avant plusieurs heures, le temps que son absence à la réunion soit actée et son entreprise contactée, il chercha un endroit confortable pour s'installer.
2 commentaires:
Un épisode plein de mystère quand à la direction que va prendre cette nouvelle histoire ^o^
Hâte d'en lire plus :)
C'est vrai que je n'ai pas proposé de résumé... Oups... En tout cas, il m'aura donné du fil à retordre ce début !
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