Nino lâcha la taille de Zack.
— Tu ne peux pas... commença-t-il.
Kazuya-Zack rentra dans la maison.
C'était n'importe quoi.
« Pas plus que ton attitude. »
Zack fut obligé d'en convenir. Ces dernières semaines à trois avaient été idylliques. Tout remettre en question parce que Nino et Kazuya pouvaient se débrouiller sans lui, était excessif.
« Exactement. Tu doutes trop de toi et de nos sentiments. »
C'était vrai. Mais à sa décharge, il était fatigué et l'attitude de sa mère, contente qu'il soit enfin casé, lui avait fait prendre conscience qu'il s'était sacrément éloigné du schéma normal. En même temps, sa réalité avait sacrément changé depuis qu'il connaissait l'existence des fantômes.
— Qu'est-ce qui se passe à la fin !? s'écria Nino, désavantagé par le fait qu'il n'avait pas accès à leur débat en interne.
Kazuya cessa de maintenir Zack sous son joug et quitta son corps. Il savait qu'il n'avait plus l'intention de quitter les lieux.
— Je me suis senti de trop, avoua Zack.
— Ce n'est pas le cas, répliqua Nino.
— Mais toi et Kazuya, vous filiez le parfait amour avant, alors...
— Et après ? Je ne sais pas pourquoi Kazuya et toi, vous tenez tant que cela à ce que je sois avec l'un ou l'autre d'entre vous ! Si ça continue, c'est moi qui vais aller voir ailleurs. Je croyais que nous étions d'accord pour demeurer ensemble, merde quoi !
— Bien envoyé ! lança Kazuya.
Il était à deux contre un. Zack leva les mains.
— Je me rends. J'admets que j'étais en tort, mais...
— Rien du tout ! trancha Nino.
— Je n'aurais pas mieux dit, enchérit le fantôme. Nous ferions mieux à présent de rentrer à l'appartement où vous serez tout les deux au chaud. Lequel d'entre vous veut m'accueillir en lui ?
Quand il tournait les choses comme cela, la possession avait un caractère sexuel si marqué que cela en était excitant.
Zack et Nino se portèrent volontaire d'une seule voix.
Zack qui avait été si hostile à la possession en saisissait désormais tous les avantages, même s'il n'oubliait pas pour autant les inconvénients.
— Votre enthousiasme fait plaisir, déclara Kazuya avec un large sourire.
Il plongea dans Nino sur ces mots, mais Zack n'eut pas le temps de sentir jaloux, car l'instant d'après il ressortait pour s'enfoncer en lui.
« J'ai préféré expliquer de cette façon à Nino que c'était mieux que cela soit toi pour aujourd'hui. Il était d'accord. »
C'était dommage que le 7 de la rue des Sycomores soit le seul endroit où Kazuya soit visible et puisse les posséder ainsi l'un après l'autre dans la foulée.
« Oui, hanter ton appartement serait idéal, mais je n'ai pas encore trouvé d'autre moyen que la possession pour m'éloigner d'ici. »
Zack lui répondit qu'il était déjà content qu'il ne soit pas nécessaire qu'ils séjournent dans cette maison glaciale en permanence.
— Tu ne peux pas... commença-t-il.
Kazuya-Zack rentra dans la maison.
C'était n'importe quoi.
« Pas plus que ton attitude. »
Zack fut obligé d'en convenir. Ces dernières semaines à trois avaient été idylliques. Tout remettre en question parce que Nino et Kazuya pouvaient se débrouiller sans lui, était excessif.
« Exactement. Tu doutes trop de toi et de nos sentiments. »
C'était vrai. Mais à sa décharge, il était fatigué et l'attitude de sa mère, contente qu'il soit enfin casé, lui avait fait prendre conscience qu'il s'était sacrément éloigné du schéma normal. En même temps, sa réalité avait sacrément changé depuis qu'il connaissait l'existence des fantômes.
— Qu'est-ce qui se passe à la fin !? s'écria Nino, désavantagé par le fait qu'il n'avait pas accès à leur débat en interne.
Kazuya cessa de maintenir Zack sous son joug et quitta son corps. Il savait qu'il n'avait plus l'intention de quitter les lieux.
— Je me suis senti de trop, avoua Zack.
— Ce n'est pas le cas, répliqua Nino.
— Mais toi et Kazuya, vous filiez le parfait amour avant, alors...
— Et après ? Je ne sais pas pourquoi Kazuya et toi, vous tenez tant que cela à ce que je sois avec l'un ou l'autre d'entre vous ! Si ça continue, c'est moi qui vais aller voir ailleurs. Je croyais que nous étions d'accord pour demeurer ensemble, merde quoi !
— Bien envoyé ! lança Kazuya.
Il était à deux contre un. Zack leva les mains.
— Je me rends. J'admets que j'étais en tort, mais...
— Rien du tout ! trancha Nino.
— Je n'aurais pas mieux dit, enchérit le fantôme. Nous ferions mieux à présent de rentrer à l'appartement où vous serez tout les deux au chaud. Lequel d'entre vous veut m'accueillir en lui ?
Quand il tournait les choses comme cela, la possession avait un caractère sexuel si marqué que cela en était excitant.
Zack et Nino se portèrent volontaire d'une seule voix.
Zack qui avait été si hostile à la possession en saisissait désormais tous les avantages, même s'il n'oubliait pas pour autant les inconvénients.
— Votre enthousiasme fait plaisir, déclara Kazuya avec un large sourire.
Il plongea dans Nino sur ces mots, mais Zack n'eut pas le temps de sentir jaloux, car l'instant d'après il ressortait pour s'enfoncer en lui.
« J'ai préféré expliquer de cette façon à Nino que c'était mieux que cela soit toi pour aujourd'hui. Il était d'accord. »
C'était dommage que le 7 de la rue des Sycomores soit le seul endroit où Kazuya soit visible et puisse les posséder ainsi l'un après l'autre dans la foulée.
« Oui, hanter ton appartement serait idéal, mais je n'ai pas encore trouvé d'autre moyen que la possession pour m'éloigner d'ici. »
Zack lui répondit qu'il était déjà content qu'il ne soit pas nécessaire qu'ils séjournent dans cette maison glaciale en permanence.